François dit Le Vert :« Lorsque les leaders dans divers domaines me demandent des conseils, ma réponse est toujours la même : dialogue, dialogue, dialogue »
— Pape François, au Brésil
Article écrit par Elisabeth Yore
Le 14 septembre 2017
Elizabeth Yore est une avocate internationale spécialisée en matière des droits de l'enfant, de la famille et un membre de l'Institut Heartland.Elle a enquêté sur plusieurs cas d'abus sexuels de l’Église.
Elle suit à la loupe la cause de l'environnement des Nations Unies car ils entendent propager dans leurs programmes l'avortement et la contraception. Ça l'horripile de voir l'Église copiner avec les Nations Unies sans ne rien dire sur ces aspects.
Le Pape du Dialogue a jusqu'ici claqué les portes en bronze de Saint-Pierre sur tout dialogue concernant la question du réchauffement climatique. (Beaucoup de Catholiques font valoir que tout le reste est possible comme dialogue avec ce Pape).
En dépit de ses discours incessants sur la nécessité de dialoguer, le changement climatique est hors limites. Selon les paroles de son maître sur le réchauffement planétaire, l’Évêque Sanchez Sorondo, le changement climatique est élevé au statut de « Magistère », méritant une Exhortation apostolique et l'approbation pontificale du précieux Traité de Paris sur le Climat. François a rejoint le choeur des faux-fuyants globalistes à savoir que la « science l’a établi ». Son architecte du réchauffement climatique, l'Évêque Sorondo fustige les sceptiques du réchauffement climatique « en disant que si nous devions compter sur le charbon et le pétrole, ce serait comme dire que la terre n'est pas ronde. C'est une absurdité dictée par la nécessité de faire de l'argent ». Sorondo répète également la même claque globaliste classique bidon que les négateurs sont financés par l'industrie pétrolière.
Réveillez-vous, il n'y a tout simplement aucun dialogue avec ce Vatican sur toute question, non approuvée par les mondialistes des Nations Unies et ses bureaucrates.
En avril 2015, l'Institut Heartland, un groupe de réflexion indépendant situé à Chicago, qui réfute l'agenda politique du réchauffement climatique causé par l'homme, a envoyé une délégation d'experts au Vatican pour tenter de présenter au Pape un autre point de vue plus scientifique sur le changement climatique. En tant que membre de cette délégation, j'ai vu de mes yeux vus et j'ai appris que ce Pape n'avait aucun intérêt à dialoguer sur le réchauffement climatique causé par l'homme. François et son Vatican n'avaient pas le temps pour les experts hautement accrédités du Heartland, qui étaient composés des scientifiques de la NASA qui mettent des hommes sur la lune aux scientifiques du MIT ( Massachusetts Institute of Technology ), aux climatologues et aux experts en science climatique mondiale.
Néanmoins, François a choisi de ne pas dialoguer.
Après tout, François préférait écouter un amateur politique mondialiste, comme le Secrétaire Général de l'ONU, Ban Ki Moon. En dépit de pontifier sur l'importance du dialogue, l'esprit du pontife avait déjà décidé d'écouter les partisans du contrôle de la population et du réchauffement climatique comme le non scientifique Jeffrey Sachs, le non scientifique Naomi Klein et, le non scientifique Hans Schellnhuber réputé pour son leitmotiv : « La population du monde ne devrait être que de 1 milliard de personnes », pour n'en citer que quelques-uns. En clair, les portes du dialogue du Vatican n'étaient ouvertes qu'aux « verts » du contrôle de la population.
L'un des membres de la délégation de Heartland, E. Calvin Beisner, fondateur de l'Alliance de Cornwall pour l'Intendance de la Création, a également publié une lettre ouverte au Pape François approuvée par plus de 100 scientifiques et théologiens. La lettre exhortait le Pape sur le fait que les modèles du changement climatique « ne fournissent aucune base rationnelle de prévoir un réchauffement climatique dangereux provoqué par l'homme et, par conséquent, aucune base rationnelle pour les efforts visant à réduire le réchauffement en limitant l'utilisation des combustibles fossiles ou tout autre moyen ».
Néanmoins, François a choisi de ne pas dialoguer.
Quelques mois plus tard, son Encyclique écologique décousue, Laudato Si, qui appelle les Catholiques à une nouvelle conversion environnementale et à un spiritualisme environnemental. L'Exhortation apostolique de 191 pages comprenait un mélange collectif de sentimentalisme du Nouvel Âge, pollué par une diatribe anti-capitaliste et de fausses catastrophes prédictives Ehrlichiennes (LS # 24). François a réussi à s’enfoncer à un seuil théologique historique tout en demandant la réduction des climatiseurs dans une encyclique papale. (LS # 55) C’est incroyable !
Depuis la délégation de Heartland en 2015, le Pape a publié gaiement son Laudato Si, puis a parlé aux Nations Unies pour appuyer les Objectifs de Développement Durable de l'ONU et le Traité de Paris sur le Climat. François et Barack Obama ont étreint le même arbre du réchauffement climatique et, au plaisir du Pape, Obama a signé le Traité de Paris sur le Climat.
Était-ce la fin du débat sur le changement climatique ? À peine....
Ensuite, sort du ciel bleu profond un Donald Trump qui ne partage pas la vision du Pape sur le changement climatique et annule les obligations des États-Unis au Traité sur le changement climatique de Paris.
Le Pape n'est pas ravi que sa nouvelle doctrine morale sur l'homme qui a causé le réchauffement climatique ne soit pas partagée par l'homme le plus puissant au monde. En fait, François semble absolument irrité que ses meilleurs plans établis éclos avec l’élite des Élites du Contrôle de la Population à l'ONU aient été bloqués par ce sceptique récent du réchauffement climatique, Donald Trump.
François ravive sa chaleur rhétorique à propos des négateurs du climat, en utilisant durement la persuasion ou la convenance papale. Dans ses plus récentes conférences de presse d'avion infâmes moralement traîtres à 30 000 pieds d’altitude, le Pape ressemblant à Paul Ehrlich, le prédicteur maintenant réfuté entièrement et son livre Bombe P :
« On peut à présent traverser le Pôle Nord. C’est très clair, c’est très clair. Quand cette nouvelle a été communiquée par une université – je ne me souviens pas où – une autre est parue qui disait : « Nous n’avons que trois ans pour revenir en arrière, sinon les conséquences seront terribles ». Je ne sais pas si « trois ans », c’est vrai ou pas ; mais que, si nous ne revenons pas en arrière, nous allons « sombrer », cela est vrai ».
Malheureusement pour le Pape, l'Institut Heartland est persévérant et sans peur quant à la défense de la vérité et veut encore engager le Pape dans un dialogue sur la science du réchauffement climatique. Le nouveau Président de l'Institut Heartland, Tim Huelskamp, ancien député du Kansas, n'est pas quelqu’un qui évite une question controversée. Tim a eu l'habitude de lutter pour des causes conservatrices au Congrès de sorte qu'il ne prend pas légèrement l'attaque papale cinglante contre les scientifiques qui doutent que l'homme a causé le réchauffement climatique. Huelskamp, un Catholique fidèle a immédiatement répondu sur Twitter aux commentaires papaux :
François ne jouira plus de la vie facile concernant le changement climatique avec Donald Trump à la Maison Blanche et Tim Huelskamp à l’Institut Heartland. Tim a judicieusement décidé de défier la vanité sans faille du Pape à « dialoguer ». Dans une demande très puissante et persuasive au Pape, Huelskamp écrit à François [ extrait de la lettre affichée ):
« En tant que collègue Catholique, il est décevant de vous entendre, encore une fois, promouvoir les affirmations non fondées de la part des alarmistes du climat, comme Al Gore et mettre l'énorme poids moral de votre statut derrière une mauvaise science. Cela ne crée que de la confusion parmi plusieurs dans votre troupeau qui pourraient trouver moralement difficile d'interroger le Saint-Père sur toute question. Comme il s'agit de science, et non pas de Foi et ni de morale, il est juste de vous présenter une objection respectueuse ».
Ne retenez pas votre souffle dans l’attente d’une réponse. François répondra à votre offre de dialogue comme il l'a fait pour les Dubia… avec un silence et un mépris absolu.
Enfin, François a réfléchi à la conférence de presse d'avion sur la façon dont l'histoire jugera la science du changement climatique :
« Je dis : chacun a sa propre responsabilité morale, premièrement. Deuxièmement : si quelqu’un doute un peu que ce ne soit pas si vrai, qu’il demande aux scientifiques. Eux sont très clairs. Ce ne sont pas des opinions sans queue ni tête : ils sont très clairs. Puis, qu’il décide. Et l’histoire jugera les décisions ».
À ce propos, François a raison. L'histoire et Dieu jugeront ses décisions. Dans l'intervalle, faites-vous une faveur et apprenez la vérité sur le changement climatique auprès de certains scientifiques réels dont ceux de l'Institut ici (en anglais)
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