Acceptez-vous Vatican II
et toutes ses œuvres et ses pompes ?
Écrit par Hilary White
ex-correspondante à Rome
Le 4 septembre 2017
SOURCE : The Remnant
Note du traducteur : À l'occasion d'une première visite chez elle de son curé dans la nouvelle paroisse où elle réside depuis le tremblement de terre de Norcia en Italie, Hilary White a eu plusieurs idées qui ont meublé sa conversation avec celui-ci. Mais les idées lui viennent plus claires depuis qu'il est parti ! Elle profite donc de l'Internet pour communiquer ces idées. |
Tout d'abord, définissons nos termes
Il y a quelques semaines, lors d'une visite inattendue de notre curé local, je me suis rendue compte qu'il pourrait y avoir une solution plus facile pour convertir de beaux jeunes prêtres Novusordoistes à la plénitude de la Tradition que je l'avais cru auparavant. Il me semble que nous avons un énorme avantage dans la forme polie de combat connue sous le nom de « débat » ; ils ne connaissent pas nos positions. On ne leur a rien appris sur les propositions et les arguments Traditionalistes.
Au cours de notre conversation, ce bon jeune prêtre a réussi à confirmer presque tout ce que j'avais prévu de la qualité de l'éducation au séminaire en ce qui concerne les préoccupations des Traditionalistes. En effet, comme nous l'avons dit, j’ai pensé que tout ce qu'il avait à l’esprit n’était rien d’autre qu'un ensemble de slogans, quelques phrases enseignées aux jeunes gens dans des séminaires qui sont plus ou moins répétés textuellement chaque fois qu'un d'entre eux rencontre quelqu'un comme moi. Je voulais lui dire : « Vous ne savez pas combien de fois j'ai entendu exactement cette même phrase. Est-ce qu'ils vous enseignent cela au séminaire ? »
Dans une discussion comme celle-ci, si votre interlocuteur a, comme tous les Catholiques restants qui fréquentent la Messe, un désir fondamentalement honnête d'être aussi Catholique que possible — un point de départ que nous pourrions utiliser comme une définition du « conservatisme » — votre seule tâche est de contrer les slogans avec des faits. Vous devez montrer que les slogans utilisés sont aussi peu valables que des points de discussion rhétorique peu profonds ; essentiellement il s’agit de forcer la personne à comprendre qu'elle ne sait pas ce qu'elle pense savoir.
Avant cela, bien sûr, la tâche est pour les Tradis de se familiariser non seulement avec les faits, mais avec certaines des techniques de discussion rhétorique classique.
Qu'a t'il dit ? Tous les Tradis vont le reconnaître : « Acceptez-vous le Concile ? [1] » Et ma réponse vient directement de ma formation en politique : « Eh bien, nous allons définir nos termes, n’est-ce pas ? Soyez spécifique. Que voulez-vous dire par « accepter » ?
« Vous me demandez si j'accepte » qu'un Concile œcuménique a été convoqué par le Pape Jean XXIII ? « C'est un fait historique sur lequel il n'y a rien à accepter ou à rejeter. Si, cependant, vous me demandez d'accepter chaque mot qui a été publié dans ses documents, nous devrons commencer à être très précis. Il n'y a rien dans le Dépôt de la Foi qui exige que chaque mot d'un Concile œcuménique soit « accepté » par les fidèles. Encore moins, tout Catholique doit-il « accepter » des « interprétations » contradictoires et confuses des documents d'un Concile ».
« En fait, il y a eu beaucoup de Conciles œcuméniques tout au long de l'histoire de l'Église ; certains ont défini des Doctrines, mais certains ont été des échecs. En fait, l'un d'eux a condamné à titre posthume un Pape pour ne pas défendre la Foi avec un zèle suffisant. Donc, soyons spécifiques ».
( Ça aide rendu à ce point si vous avez un look Irlandais perçant et ironique que vous pouvez afficher ).
Comment ne pas être joué
Vous ne devez pas connaître tous les détails concernant Vatican II pour aller de l'avant avec une discussion, mais il y a des choses à retenir pour savoir si vous êtes accusés de ne pas « accepter le Concile ». Le Pape Jean XXIII lui-même a dit que Vatican II était un Concile « pastoral » qui ne concernerait pas le dogme. Cela a été interprété comme signifiant que Vatican II ne déclarerait aucun dogme pour exiger l'assentiment des fidèles. Mais en fait, même lui, il a refusé de définir ce terme ; personne ne sait à ce jour quelle est la différence et cette seule ambiguïté a permis de fomenter une confusion massive.
Vous pouvez demander : « Si les voix les plus éduquées et les plus illustres de la discussion théologique discutent encore, cinquante ans plus tard, sur « ce que le Concile a signifié », comment suis-je obligée de « l'accepter » comme vous semblez le dire ? Ne me dites-vous pas vraiment que je dois acheter une voiture sans regarder sous le capot ? »
Le jeu ici est d'essayer de vous forcer à être sur le mauvais terrain. Vous êtes censés réagir émotionnellement, et répondre avec un hurlement embarrassé : « BIEN SÛR ! J'accepte le Concile ! » [2] Mais une fois que vous avez fait cela, vous avez concédé le terrain et accepté le mauvais cadre de la discussion.
On s'attend à ce que vous soyez passionnés et indignés d'être un sédévacantiste. Mais c'est en fait une tactique de diversion. Ce qu'il ne veut pas faire, c'est débuter un débat de fond sur le Concile lui-même. Vous pouvez le mettre au défi : « Vous me demandez si je suis une sédévacantiste ? Si je l’étais, pensez-vous que nous aurions cette conversation ? Avez-vous rencontré des sédévacantistes ? »
Vatican II est Catholique ou il ne l’est pas ; de toute façon, nous sommes couverts
Votre réponse à la question de savoir si vous « acceptez le Concile » doit toujours et seulement être : « Pourquoi ? Est-ce que ce Concile propose quelque chose de nouveau ? Quelque chose qui contredit tout ce qui a précédé ? Parce que si c'est le cas, je n'ai aucune obligation de « l'accepter ». Bien au contraire. Mais s'il n'y a rien de nouveau à « accepter », pourquoi me le demandez-vous ? »
En réalité, le fait d’« accepter » ou de « rejeter » le Concile ne fait même pas partie de la discussion. La SSPX a été sollicitée à plusieurs reprises par Rome pour accepter ou acquiescer aux « enseignements » du Concile et, jusqu'à présent, ils ont répondu de la même manière :« Soyez précis ; quels enseignements exactement ? »
Un Catholique a, par définition, déjà donné son plein assentiment de son intelligence et de sa volonté sur tout ce que l'Église enseigne qui est en continuité avec la Doctrine de la Foi historique. Si, par conséquent, quelqu'un vous demande de « accepter » ou « d'acquiescer » au Concile car il présente quelque chose de nouveau, quelque chose qui est contraire à ce que l'Église a enseigné pendant les 1 963 années précédant Vatican II, alors votre interlocuteur est celui qui a le problème doctrinal. En tant que fidèle Catholique, non seulement je ne suis pas obligée de consentir à une nouvelle Doctrine contraire, je suis obligée sous peine de péché mortel de la rejeter.
Mais si le Concile était aussi inoffensif que les « conservateurs » novusordoistes aiment le réclamer, s'il ne « enseignait rien de nouveau » — si ce n'était qu'un « Concile pastoral » pour rendre l'Église pertinente pour le « monde moderne » ... ou quoi que ce soit de ce style, alors pourquoi est-ce que nous devons continuer à nous remplir la tête avec cela ? Vous pouvez souligner que, si tel est le cas, le « monde moderne » d'aujourd'hui est plutôt différent de celui de 1963, donc Vatican II par ses lumières est simplement dépassé et non pertinent.
Les contradictions des tactiques révolutionnaires sont ainsi révélées : soit Vatican II était en continuité avec tout ce que l'Église a enseigné avant et est ainsi parfaitement Catholique et — comme Concile « pastoral » non dogmatique — tout à fait anodin, ou il propose quelque chose de nouveau qui, récalcitrantes comme moi et la FSSPX sommes, doivent être forcés de donner notre assentiment. Ils ne peuvent pas l'avoir dans les deux sens.
Les « Points vignette ! »
Pour récapituler : si un Novusordoiste « conservateur » demande si vous « acceptez le Concile », votre travail consiste à pénétrer au cœur de la question. Il pense qu'il est intelligent ; déséquilibrez-le en étant direct, en utilisant des mots interdits et en le mettant au défi.
• Demandez qu'il définisse ses termes. Que signifie « accepter » ?
• S'il demande si vous êtes un siègevacantiste, forcez-le à utiliser le terme et à poser la question avec honnêteté.
• Demandez de savoir exactement quelles doctrines qu’il pense que Vatican II enseigne qui sont différentes de tout ce qui a précédé.
Votre tâche rhétorique est de montrer que vous savez que c'est un subterfuge et de forcer la conversation sur les faits, sur l'ouverture et une franche honnêteté. Demandez les détails et ne craignez aucun mot.
Le fait de faire cela oblige votre interlocuteur à présenter quelque chose de plus que des slogans, des phrases et des trucs de rhétorique à rabais. À ce stade, c'est à votre tour de lui demander : « Qu’est-ce que le Vatican II, précisément, « enseigne », sur quoi vous pensez que j’ai besoin de donner mon assentiment ? J’écoute ». Faites-lui vous dire de quelles nouvelles doctrines il vous parle vraiment, faites-le accéder à ses références. C'est seulement à ce moment-là que vous pouvez vraiment avoir une conversation significative et peut-être même — pour lui — salutaire.
Vous êtes là pour l'aider
Rappelez-vous aussi que c'est un frère en Christ à qui vous parlez. Il pense qu'il vous met au défi, mais c’est vous qui êtes sortis de la matrice Novusordoiste. Vous en savez plus que lui et c'est votre tâche de le sauver. Vous n'êtes pas là pour gagner une discussion, mais pour sauver quelqu'un qui est en danger.
Offrez-lui de lui apporter des livres, si vous les avez, ou Internet si vous n’ avez pas de livres. Vos tâches — deux des sept Oeuvres spirituelles de la Miséricorde — sont d'instruire les ignorants et de conseiller ceux qui doutent. Vous avez maintenant réussi à le déséquilibrer suffisamment pour attirer son attention. Il va maintenant être réceptif à quelque chose de nouveau, quelque chose que vous avez à offrir.
De plus, dans les quelques échanges que vous avez eus pour en arriver à ce point, il a probablement appris des choses qu'il n'avait jamais entendus auparavant. « Concile pastoral ? Qu'est-ce que c’est cela ? » « Quel Concile a condamné un Pape et pour quelle raison ? » Ayez une discussion sur le véritable enseignement de l'Église au sujet de la « Liberté religieuse », commencez à parler de l’Oecuménisme ou du devoir de tous les États d'obéir au Christ ; déterrez la lettre de Mgr Lefebvre destinée aux « Catholiques perplexes », offrez-lui de lui lire l' intervention d’Ottaviani. Le tout pour le tout ; maintenant c’est votre chance de dire à un Novusordoiste qu'il a été gardé volontairement dans les ténèbres toute sa vie et offrez une porte de sortie. Vous avez la Pilule Rouge [ La « pilule rouge » est devenue une phrase populaire parmi la cyberculture et signifie une attitude de pensée libre et un réveil d'une vie « normale » de paresse et d'ignorance. ], et vous êtes moralement obligés de l'offrir aux autres [3] .
« Des slogans mais pas d'arguments ; des leçons tirées de l'activisme pro-vie »
Pour moi, ce fut une dure leçon d’apprendre que les gens n’ont pas vraiment beaucoup de connaissances. En 1998, j'étais complètement verte et surtout nouvelle dans le monde de la politique. J'étais très récemment « revenue » à la Foi. Je voulais aider, mais je souffrais de la confiance insensée que les gens qui ne savaient pas ce que je savais voudraient bien le savoir et changeraient d'avis quand je leur aurais dit. Ce fut une idée très difficile de désapprendre.
Connaissant de façon distante que j'avais besoin d'aide pour naviguer dans ce monde, j'ai entrepris des séances de formation en « apologétique pro-vie » dirigée par un gars qui a développé un programme complet pour aider les activistes pro-vie à développer leurs compétences rhétoriques. Dans ces séminaires, je fus étonnée d'entendre qu'il n'y a vraiment que cinq slogans qui existent pour promouvoir l'avortement légal. Étant nouvelle, je ne pouvais guère penser que l'ensemble de l'industrie globale de l'avortement avait été fondée sur ces cinq slogans fragiles et souvent rationnellement contradictoires. Mais dans les années qui suivirent, en entendant les cinq mêmes petites chansonnettes éculées vociférées encore et encore, je me devais d’admettre que notre instructeur, Scott Klusendorf, avait décrit la simple vérité.
Au cours de notre formation, Scott nous a donné les outils rhétoriques pour traiter les slogans de manière douce et efficace en appliquant une règle simple : ramèner toujours la discussion à la question dont nous parlons réellement. Dans le cas des premiers problèmes concernant la vie, on parle toujours de savoir si un être humain entier existe avant la naissance. Est-ce que cette chose vivant là dans le sein de la mère est un être humain ? Si tel est le cas, aucun argument sur les droits de la femme ni sur la pauvreté ou la surpopulation n'est pertinent. En fait, tous les slogans de l'avortement sont une tactique de déviation, une tentative d'éluder la seule question pertinente contre laquelle ils savent qu'ils n'ont aucun argument.
Ce qui m'a étonnée, c'est la confiance que les promoteurs de l'avortement avaient dans leurs slogans flagrants et irrationnels. Ils les déploient comme des armes, comme si elles étaient inattaquables, des vérités qui mettent fin à l'argumentation. Je suppose qu'ils ont de bonnes raisons de croire cela ; leur confiance dans l’émotivité et l'intimidation a accompli tout ce qu'ils voulaient, et plus. Mais la seule chose que Planned Parenthood et d’autres n'auront jamais, mais jamais, fait est de discuter de la nature de l'entité de l'être au sein d'une femme enceinte. Ces révolutionnaires sexuels ont gagné toute la guerre de la culture en pleurant dans les microphones et en évitant les faits.
Mais il faut presque rien—une simple bouffée de logique—pour révéler ces slogans aussi vides. Tout ce qu'il faut pour le faire, c’est du nerf. Les révolutionnaires — que ce soit dans l'Église ou dans le monde laïque — ont gagné par l’intimidation, en intimidant et en faisant tout leur possible pour effacer la réalité. Bref, ils sont des intimidateurs qui comptent sur la faiblesse émotionnelle et intellectuelle de leurs victimes pour obtenir ce qu'ils veulent. Tenez-vous debout devant eux, commencez à décortiquer leurs slogans, leurs assertions et demandez des détails, des faits et tout l'édifice s'effondrera [4]. Aucune révolution n'est jamais gagnée en créant des positions doctrinales clairement définies, soutenues par des faits et des arguments rationnels.
Et c'est le cas chaque fois qu'il y a un ensemble de slogans utilisés. Le but d'un slogan n'est pas la clarté, ce n'est pas vrai, ça ne vise pas le cœur de la question ; c'est pour taire quelqu'un. Des millions de Catholiques ont ramassé une série de slogans concernant Vatican II, la nouvelle Messe, la « liberté religieuse », « l'œcuménisme » et toute la liste de la proposition Novusordoiste. Ils l'ont ramassé de leurs prêtres qui leur était toute enseignée au séminaire. Et pour les séminaristes, on a souvent souligné que des questions gênantes sur ces sujets mettraient tout leur avenir en question.
Ce matin, ce qui m’était conté par mon jeune ami dans ma cuisine, était en fait une sorte de litanie de slogans. ( J'ajoute que c’était douteux de savoir si mon ami le curé comprenait vraiment de ce qu'il faisait. C’était évident qu'il s'agissait de « points de vignette » qu'il avait appris quelque part et que l'on croyait inattaquables, sans s’inquiéter d’une enquête rigoureuse à leur sujet. Les positions Traditionalistes ne sont pas beaucoup discutées dans les séminaires, sauf peut-être pour s’en moquer et les rejeter rapidement ). Ce qui était clair, c'est qu'il ne s’était jamais arrêté vraiment à penser à ce qu'il avait appris, et c'est évidemment la situation la plus commune dans l'Église moderne.
Les changements que nous avons observés dans les Doctrines de l'Église ont été amenés furtivement, par des effacements et par la création d'un système puissant d’« Omerta ». Ce qui n'est jamais, jamais prononcé ou mentionné ou qui est traité par n'importe qui, passera bientôt et à jamais dans le Trou de la Mémoire [ Référence au roman 1984 d’Orwell ]. Les révolutionnaires ont pris à coeur les leçons d'Orwell ; vous ne réussirez jamais à éradiquer une culture en répondant à ses affirmations. Pour effacer quelque chose à jamais, vous le diminuez d'abord par le ridicule en public ( soutenu par une discipline de fer, comme l'ont appris les séminaristes Traditionalistes ), puis assurez-vous que personne n’en parle jamais à nouveau.
« Les royaumes légendaires perdus »
L'autre jour, Aaron Seng a écrit relativement à sa propre expérience de l'apprentissage qu'il y a tout un ancien royaume perdu sous le faux plancher du Nouveau Catholicisme, un vaste et inimaginable riche trésor qui a été oublié parce qu'il a été délibérément enterré.
Il écrit [5] : « Plutôt que de proclamer ouvertement un contenu doctrinal ferme qui contredit le Dépôt de la Foi ( bien que cela commence à se produire dans certains secteurs ), l'approche a été de simplement garder le silence sur quelques-unes des Doctrines Catholiques qui ne sont plus à la mode, ou bien de les enterrer en quelque sorte dans une qualification théologique et un bafouillage à saveur psychologique afin qu'ils perdent leur clarté Évangélique et leur pouvoir vivifiant ».
Les Catholiques qui commencent à enquêter sur ce monde perdu « sont souvent surpris de trouver en route qu'avant le milieu du vingtième siècle, l'Église universelle parlait avec clarté et avec une voix cohérente sur des Doctrines que l'on entend rarement ( si on entend quelque doctrine que ce soit ) de la chaire aujourd'hui ».
Ce que Scott Klusendorf nous a enseigné dans notre formation, c'est que lorsque nous sommes dans une confrontation, nous ne cherchons pas une conversion immédiate. Dans la plupart des cas, dans une discussion en face-à-face, il y a trop d'émotions qui se passent trop rapidement pour l'autoriser. La seule chose que vous cherchez de votre interlocuteur est : « Vous savez, je n'ai jamais pensé de cette façon avant ». C'est le doux, très doux son d'une clé qui tourne dans une serrure.
[1] Ils diront souvent cette phrase comme une affirmation : « Vatican II était valide » mais la réponse est la même : pouvez-vous me définir s'il vous plaît le terme « valide » ?
[2] Pour une raison quelconque, ils s’attendent à ce que les Catholiques ordinaires soient aussi émotionnellement investis car ils sont dans la soumission allongée sur le dos envers le statu quo. Encore plus que de connaître votre matière, il est important de garder vos émotions hors de la situation. Restez calmes. Vous pouvez parfois le déséquilibrer simplement en ne répondant pas émotionnellement.
[3] Conseil d’expert : ne jamais essayer de faire cela dans un commentaire sur un site, dans une discussion Facebook ou sur Twitter. Il se passe quelque chose à propos d'avoir un public invisible qui rend presque impossible de reculer. J'ai eu des discussions utiles sur les messages privés, par Skype ou par courrier électronique, mais jamais dans une boîte de commentaires publics. Face à face, c'est ce qui est le mieux. Il est incroyablement facile d'oublier que vous êtes là pour aider la personne dont vous parlez si vous le faites en ligne.
[4] Je ne recommande pas vraiment des confrontations avec les révolutionnaires sécularistes sexuels (pro-choix). Depuis que j'ai pris cette formation, ce monde s'est transformé bizarrement en quelque chose de physiquement violent et assez dangereux. Laissez cela aux professionnels .
[5] M. Seng possède une liste de points vignette utile des enseignements Catholiques qui ont été délibérément jetés dans le Trou de la Mémoire depuis le Concile, ainsi qu'une liste de lecture précieuse pour ceux qui veulent en savoir plus.
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