mardi 16 août 2016

Quelques perles abjectes de Luther

AVIS
Aux moins de 18 ans, prière de vous abstenir
Langage cru et offensant



Par : David Martin
SOURCE : One Peter Five



Les Évêques Catholiques de l'Allemagne font l'éloge de Martin Luther, le qualifiant de « Témoin de l’Évangile et de Maître de la Foi » et déplorent que l'Église ne lui ait pas donné une « audience adéquate ».

Dans un rapport publié le 9 août par la Conférence des Évêques Allemands, Mgr Gerhard Feige, président de la Commission œcuménique des Évêques Allemands déclare que l'« histoire de la Réforme a rencontré une réception variable dans l'Église Catholique, où son événement et ses protagonistes ont été longtemps vus dans une lumière négative désobligeante ». Le rapport affirme que les différences théologiques ont été « réévaluées » et que « l'Église Catholique d'aujourd'hui peut reconnaître ce qui était important dans la Réforme ».

Dans un rapport de 206 pages, intitulé « La réforme dans une perspective œcuménique » l’Évêque Gerhard Feige de Magdebourg, président de la Commission œcuménique des Évêques Allemands, a déclaré que l'« histoire de la Réforme a rencontré une réception variable dans l'Église Catholique, alors que son événement et ses protagonistes ont été longtemps vus dans une lumière négative désobligeante ».

« Alors que les blessures se font encore sentir de nos jours, il est encourageant de constater que la théologie Catholique a réussi, dans l'intervalle, à réexaminer sobrement les événements du 16ème siècle » a-t-dit dans le rapport publié cette semaine par la Conférence des Évêques de l'Allemagne basée à Bonn -.

Mgr Feige a dit que l’« histoire et les conséquences » de la Réforme seraient débattues au cours du 500e anniversaire à venir, mais il a ajouté qu'il y avait consensus que les condamnations réciproques antérieures étaient invalides.

« Les souvenirs de la Réforme et la séparation ultérieure du Christianisme occidental ne sont pas libres de la douleur » a dit l’Évêques Feige. « Mais à travers un long dialogue œcuménique, les différences théologiques enracinées dans la période ont été réévaluées — comme cela est documenté dans le travail présenté par notre Commission œcuménique »

Est-ce que les Évêques Allemands osent remettre en question la dénonciation par l'Église de Martin Luther ? Sont-ils en train d’accuser le Concile de Trente d'avoir été « dépréciatif » après qu’il ait légitimement réfuté les erreurs de Luther pour la plus grande liberté du Peuple de Dieu ? S'il y a une figure de l'histoire de l'Église qui pourrait être appelée désobligeante, c’est Martin Luther. Considérez ses propres paroles à propos de l'Église Catholique :

« Nous étions autrefois trop coincés dans le derrière de cette putain d'enfer, la nouvelle église du pape ... si bien que nous regrettons d’avoir passé tant de temps et d'énergie dans ce trou vil. Mais Dieu soit loué et remercié qu’Il nous a sauvés de la prostituée écarlate. » (Luther Works, Vol. 41, p. 206)

Encore une fois Luther dit :

« Je peux avec bonne conscience considérer le pape comme un pète-cul (anglais : fart-ass) et un ennemi de Dieu. Il ne peut pas me considérer comme un trou du cul car il sait que j’en connais plus sur les Écritures que lui et tous ses trous du cul ». (P. 344) « Le trou du cul du pape veut être le maître de l'Église bien qu’il ne soit pas un Chrétien , qu’il ne croit rien et ne peut plus rien faire d’autre que de péter du cul ». (p. 358)

Nous semblons avoir oublié que Luther était un hérétique délirant qui a été amené par le diable à déchirer la foi en pièces en Europe. Sa définition de la « repentance » était de rejeter le Catholicisme, comme en témoigne par ses paroles haineuses contre la Messe :

« C’est en effet sur la Messe tel un rocher que l'ensemble du système papal est construit, avec ses monastères, ses évêchés, ses églises collégiales, ses autels, ses ministères, sa doctrine, à savoir avec toutes ses tripes. Tout cela ne peut manquer de s'effriter une fois que leur Messe sacrilège et abominable tombe ». (Martin Luther contre Henri, roi d'Angleterre, 1522, Werke, vol. X, p. 220.)

Aussi Luther a contribué à l'assassinat en masse des 70 000 à 100 000 paysans au cours de la Guerre des Paysans Allemands (1524-1525) que sa Réforme a contribuée à susciter. Considérez ce qui suit de Luther :

« Tuer un paysan n’est pas un meurtre ; ça contribue à éteindre la conflagration. Laissez donc quiconque qui peut, frapper, tuer, et poignarder secrètement ou ouvertement, se souvenant que rien ne peut être plus toxique, blessant ou diabolique qu'un rebelle .... En ce qui concerne les paysans obstinés, endurcis, aveuglés que personne n'aie pitié, mais laissez quiconque qui est capable, les abattre, les poignarder et les tuer comme des chiens enragés ». (Erlangen édition des œuvres de Luther, Vol. 24)

En 1526, Luther a justifié la mise à mort des paysans en disant :

« Moi, Martin Luther, ai tué pendant la rébellion tué tous les paysans, car c’était moi qui a ordonné qu’ils soient frappés à mort ». (Erlangen LW, Vol. 59, p. 284)

Luther en outre a blasphémé le Christ, révélant ainsi son déficit de foi. Par exemple, il a dit :

« Le Christ a commis l’adultère d’abord avec la femme au puits ... Ensuite avec Marie-Madeleine et enfin avec la femme adultère ». (De Luther Works, American Edition, Volume 54, p. 154, Concordia Publishing House)

Quant à son enseignement sur le salut et la justification, cet homme était un hurluberlu théologique qui a appelé l’humble contrition de l’« hypocrisie » et a insisté pour dire que Jésus est mort sur la Croix afin que nous puissions pécher librement sans la crainte du châtiment éternel. Considérez les propres paroles de Luther :

« Soyez un pécheur et péchez hardiment, mais croyez et réjouissez-vous dans le Christ encore plus hardiment ... Aucun péché ne peut nous séparer du Christ même si nous nous engageons dans la fornication et l’assassinat mille fois par jour ». (De la lettre de Luther à Philippe Melanchthon, Août 1 1521 LW Vol. 48, pp. 281-282)

Chacune des charges de Luther contre l'Église Catholique étaient irrationnelles et fausses. Par exemple, il a accusé le clergé de vendre des « indulgences » dans le confessionnal ce qui est faux. Lorsque les pénitents venaient à la confession, ils étaient au courant à l'époque que les prêtres administraient une pénitence sous la forme de déposer de l'argent dans le trésor de l'Église parce que ces fonds étaient nécessaires pour achever la Basilique Saint-Pierre de Rome. On pourrait dire qu’un Denier de Pierre était levé, ce qui aurait dû recevoir des éloges enthousiastes, mais ça a mis Luther en furie parce qu'il ne pouvait pas tolérer la notion de financer le « cochon papal» et son palais.

Si Luther avait toutes les marques classiques d'un franc-maçon, c’est précisément parce qu'il était membre honoraire de la franc-maçonnerie rosicrucienne, ce qui expliquerait pourquoi il rejetait six livres de la Bible et pourquoi il a mené sa révolte haineuse contre le Christ, ce qui a conduit la moitié de l'Europe à s’éloigner de la Foi Chrétienne.

Est-ce que ça n’a pas traversé l’esprit des Évêques Allemands que Luther, loin d'avoir mérité une « audience adéquate » comme étant un « Témoin de l’Évangile et un Maître de la Foi » semble plus susceptible d'avoir été possédé par Satan ? Certes, il était le pion de Lucifer, déchirant et brisant l'Église en morceaux parce qu’il était en désaccord avec le Christ. Ce fut pour cette raison que le Pape Léon X a surnommé Luther « le sanglier sauvage dans la vigne ». Il est l'hypocrite classique et le Pharisien, constamment à se « justifier » lui-même et accusant tout le monde de ce dont il était coupable lui-même. Ce qui peut être dit des pires païens et infidèles de l'histoire pouvait surtout s'appliquer à Luther : il n'avait pas la « Foi » ou la « Grâce ».

L'Église Catholique n'a commis aucune faute dans sa réponse à la soi-disant Réforme il y a cinq siècles, ce qui signifie qu’il n’y a pas d'excuses qui sont dues. La condamnation papale de Luther en 1521 était vraiment l’oeuvre du Saint-Esprit et reste obligatoire pour les fidèles à ce jour. Toute tentative visant à exonérer ou à « réévaluer » Martin Luther encourt la culpabilité d’un péché grave.




David Martin a abandonné une carrière prometteuse en tant que pianiste de concert en 1980 pour qu’il puisse s'engager à la défense de la foi et de la propagation de la prophétie Catholique. Il est l'auteur de trois livres et a écrit des articles qui ont paru dans de nombreuses publications comme le Remnant et le Canada Free Press. Actuellement, il réside à Los Angeles, en Californie, où il mène une vie simple de célibataire.

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