samedi 13 août 2016

Grande médaillée d'Or aux JO de Rio
Et pourtant on vous en parlera très peu

14 médailles dont 10 médailles d'or en carrière... Pourquoi ?
Réponse possible : elle n'est ni Musulmane ni transgenre
C'est une Catholique Romaine qui dit son chapelet avant chaque événement !


Par : Michael Matt | Editorialiste principal
Le 12 août 2016

SOURCE : The Remnant










Simone Ariane Biles des États-Unis est née le 14 mars 1997. L'autre soir, elle est devenue championne du concours général individuel aux Olympiques 2016. Mais ce petit dynamo n’est pas étrangère à la victoire. Elle a été trois fois championne mondiale du concours général individuel, trois fois championne Mondiale pour les exercices au sol, deux fois championne Mondiale à la poutre, quatre fois championne du concours général individuel aux États-Unis et membre des équipes américaines médaillées d'or aux Championnats du Monde de gymnastique artistique de 2014 et 2015 ainsi qu’aux Jeux Olympiques d'été de 2016 à Rio de Janeiro.

Plus important encore de notre point de vue, Simone Biles est une Catholique Romaine qui a été éduquée à la maison et qui aurait pu être une victime de l'avortement si sa mère biologique avait été quelqu'un d'autre que Shannon Biles qui souffrait de toxicomanie et d'alcoolisme mais, plutôt que de faire avorter son bébé, elle a donné Simone en adoption.

L'histoire ressemble à un vrai beau film avec la petite Simone — plutôt que de se retrouver dans une benne à ordures ou aspirée sous vide ou d'avoir la tête poignardée par un médecin avorteur — elle a une chance de vivre et puis elle passe pour devenir la première femme dans l'histoire à remporter trois titres généraux Mondiaux consécutifs et, en passant, la gymnaste américaine la plus décorée de l'histoire des Championnats du Monde avec un total de quatorze médailles dont dix d'entre elles d’or.

Pourquoi ? Parce qu'elle a été prise en charge par une famille aimante et généreuse qui a cru en elle, l’a remise en question et lui montra comment aimer le Christ et garder sa Foi Catholique — tout cela a été possible parce que la mère biologique de Simone se souciait plus du caractère sacré de la vie de son enfant que de ses propres « droits reproductifs en tant que femme ».

En 2003, les grands-parents de Simone prirent l'enfant et sa sœur, Adria, d’une famille d'accueil afin de leur donner un foyer aimant et une chance de prospérer malgré tout ce qu'elles avaient vécu. Le grand-père de Simone est un contrôleur de la circulation aérienne à la retraite tandis que sa grand-mère est une ancienne co-propriétaire d'une chaîne de maisons de soins infirmiers et une femme visiblement bénie d’une grande compassion.

Simone Ariane Biles a suivi tout son enseignement secondaire à domicile et a gradué à l'été 2015. La famille est Catholique Romaine et la petite gymnaste, qui est en train de prendre le monde d'assaut, allume une bougie votive à la faveur de Saint-Sébastien (patron des athlètes) avant toutes ses rencontres. Elle garde aussi son chapelet avec elle en tout temps et n'a pas peur de l'admettre fièrement.

La jeune de 19 ans a dit au journal US Weekly que sa mère lui a donné ce chapelet chéri et qu'elle le garde avec elle en tout temps, le récitant avant chaque compétition « juste au cas où. »

Certains tweets récents de Simone sont tout à fait révélateurs. En voici quelques-uns :

Je (l’Éditorialiste Michael J. Matt parle ici ) ne suis pas vraiment un gars entiché des Jeux olympiques. Je suis fatigué de tous ces boniments politiquement corrects qui vont de pair avec les Jeux. De fait, je décourage mes propres enfants de leur porter attention. Mais je les trouve singulièrement ennuyeux quand les histoires « Intimes et Personnelles » qui dominent les titres olympiques sont au sujet des athlètes Musulmans, transsexuels ou dans ces genres et puis qu’une histoire comme celle d’Ariane Biles soit ignorée complètement —La gymnaste féminine la plus décorée de Rio est une enfant adoptée, éduquée à domicile, une Catholique Romaine qui prie le chapelet et qui compte sur Dieu et sur sa Sainte Mère pour l’aider à faire d'elle la meilleure personne ainsi que la meilleure athlète qu'elle peut être.

C’est une grosse affaire, non ? Sauf si vous êtes l'un des froids chroniqueurs de la Christophobie dans les médias traditionnels grand public — dans lequel cas c’est le temps d’étouffer l’affaire.

Peu importe. Les médias feront ce qu'ils font le mieux. Mais l'histoire de Simone Biles est un petit faisceau de la lumière dans un grand monde des ténèbres. C’est si encourageant de voir que, malgré tout, des petits miracles de ce genre se produisent encore chaque jour et partout dans le monde.

Une alcoolique et toxicomane vivant à Cleveland a eu assez de bonté de coeur pour faire la bonne chose même quand tout le monde lui disait de faire la mauvaise chose. Elle a gardé l'enfant, elle l’a placée pour adoption et de grandes choses sont arrivées.

Dieu est bon et tout n’est pas perdu. Que toute la gloire et l'honneur Lui reviennent et qu'Il bénisse et garde Shannon Biles pour donner à un monde triste de croire en quelque chose de bon pour faire changement — une petite gymnaste brillante qui est fièrement en amour avec Jésus-Christ.

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