mercredi 3 août 2016

La cause fondamentale de la violence Islamique



Par Andrew Bieszad
Le 3 août, 2016
SOURCE : One Peter Five





Les plus récents commentaires du Pape François pour tenter de séparer les croyances religieuses Islamiques de la violence Islamique sont profondément trompeuses. Ils ne sont pas juste un peu ou partiellement incorrects, mais dangereusement erronés. Ils sont en contradiction directe avec l'Église et la longue histoire de l'expérience et de la compréhension du monde Islamique par ses saints.

Dans le cadre d'une autre entrevue en avion – cette fois de retour des Journées Mondiales de la Jeunesse en Pologne, François a été invité à discuter de la menace posée par la violence Islamique — qui se produit actuellement avec une fréquence alarmante dans le monde entier —dans le contexte de l'assassinat du prêtre français, le Père Jacques Hamel, aux mains des djihadistes alors qu’il célébrait la Messe. J’ai inclus le texte intégral des commentaires du Pape ci-dessous dans les citations des blocs foncés, répartis en sections pour permettre mon commentaire :

« Je n’aime pas parler de violence islamique, parce qu’en feuilletant les journaux je vois tous les jours que des violences, même en Italie : celui-là qui tue sa fiancée, tel autre qui tue sa belle-mère, et un autre… et ce sont des catholiques baptisés ! ». « Dans presque toutes les religions, il y a toujours un petit groupe de fondamentalistes… nous catholiques, nous en avons aussi

Cette réponse est une diversion complète. Bien sûr, il y a des gens violents dans toutes les religions, les races, ou les cultures. Ce fait est un résultat indéniable de notre nature déchue à cause du péché originel. Alors oui, il y a des gens violents partout.

Mais ce qui rend la violence Islamique unique sont ses origines et son but. D'où vient-elle, vers qui est-elle dirigée et comment elle est justifiée ne peut pas être simplement ignoré ni rejeté. Dans un contexte Islamique, l'utilisation de la violence contre une autre personne est enracinée dans la compréhension Islamique de la personne. Par la théologie Islamique, l'homme est une simple création qui n’est pas faite à l'image de Dieu, mais comme un simple animal. Son humanité est considérée comme une qualité extrinsèque qui lui est accordée avec sa création, mais n’est pas une composante permanente de lui. Au contraire, c’est la croyance Islamique que, pour être un humain, c’est être un Musulman en règle.

En ce qui concerne les non-Musulmans, l'Islam les considère comme des hommes et des femmes qui se sont mutilés eux-mêmes en rejetant l'Islam. Il est donc permis de tuer ces incroyants en raison de leur incroyance. Dans le cas des enfants, l'enseignement de l'Islam est qu'ils n'ont pas eu le « choix » de leur « apostasie », ils peuvent donc être légitimement enlevés de leurs familles et les convertir de force à l'Islam.

En ce qui concerne le traitement Musulman de d'autres Musulmans, on croit que le Musulman qui ne pratique pas l'Islam ou qui pratique une forme hétérodoxe d’Islam se rend apostat lui-même et peut être traité comme un non-Musulman. Alors que la violence n’est pas obligatoire dans l'Islam, elle est entièrement autorisée et aucune sanction morale n’est attachée à son utilisation. C’est un choix permissible personnel et un Musulman ne peut pas dire, dans un sens moral, à un autre Musulman de ne pas recourir à la violence contre un non-Musulman si ce dernier souhaite faire ainsi.

Le modèle parfait pour le comportement et la vie Islamique est nul autre que Muhammad lui-même. Les Chrétiens disent « Que ferait Jésus ? » et les Musulmans disent « Qu'est-ce que Muhammad ferait ? ». Muhammad est même appelé « al-insan al-kamil » qui signifie « l'homme parfait » parce que toutes ses actions sont considérées comme un modèle parfait pour le comportement de l'homme. La question alors pour évaluer la moralité de l'action Islamique selon leur propre système interne de croyance devient donc : qu’est-ce que Muhammad a fait ? Selon toutes les explications Islamiques orthodoxes, Muhammad était un meurtrier de masse, un pédophile, un nécrophile, un violeur en série, un homme qui prétendait qu’il était possédé par des démons, un voleur de grand chemin, un menteur, un trompeur et un tyran qui a utilisé son concept de béatitude divine au service de sa propre acquisition du pouvoir, d'argent et de sexe dans cette vie avec la promesse que ces mêmes plaisirs mal acquis dureraient perpétuellement dans l'au-delà. Comme Saint Alphonse de Liguori a dit : « Le paradis mahométan dessert seulement les bêtes car seul le plaisir sensuel sale est là ».

La déclaration de François est tout simplement fausse. Dans le système de croyance Islamique, la violence est une bénédiction divine d'une manière qu'aucune autre religion ne le fait.

« Si je parle de violence islamique, je dois parler de violence catholique. Non, les Musulmans ne sont pas tous violents, les Catholiques ne sont pas tous violents.

La violence Catholique ? Quelle sorte de violence Catholique, exactement ? Je n'ai jamais vu un Catholique faire sauter un autobus d'écoliers Musulmans tout en criant « Jésus est le Seigneur » ou utiliser des lames émoussées pour décapiter des Musulmans innombrables dans des vidéo sur Internet — tout en louant les saints — ou un nombre quelconque de plusieurs de ces choses horribles qui sont une souffrance quotidienne pour les Chrétiens et les autres personnes vivant dans les pays Musulmans. Au contraire, dans mes nombreuses années à étudier l'Islam, j'ai vu les Musulmans faire ces choses régulièrement et en toute impunité.

Pour suggérer que même une équivalence existe entre la brutalité Islamique et une certaine « violence Catholique » imaginaire est un blasphème contre le vrai Dieu et une insulte envers ces personnes qui souffrent sous le joug de la tyrannie Islamique très réelle.

« Si « C'est comme dans la macédoine, il y a de tout… Il y a des violents de cette religion…... «Une chose est vraie: je crois qu'il y a presque toujours dans toutes les religions un petit groupe de fondamentalistes. Nous en avons. Quand le fondamentalisme arrive à tuer… mais on peut tuer avec la langue comme le dit l'apôtre Jacques, ce n'est pas moi qui le dit. On peut aussi tuer avec le couteau, non? » .

Encore une fois, François utilise le « fondamentalisme » comme étant péjoratif, comme il a si souvent fait déjà. Mais cela ne constitue pas une utilisation précise du terme.

Le mot « fondamentalisme » trouve son origine dans une série de livres Protestants publiés au début du 20e siècle. Ces livres se sont mis à articuler les « fondamentaux » de la Foi Protestante. En tant que tel, le « fondamentalisme » dans un sens moderne signifie la croyance dans les principes fondamentaux de la Foi — ce qui n’est pas une mauvaise chose en relation avec la Foi en laquelle il vaut la peine de croire. Comme mentionné plus tôt, cependant, pour un Musulman, le « fondamentalisme » signifie la négation de l'humanité des non-Musulmans et la suprématie de l'Islam — qui conduit à la violence haineuse, à l'incompatibilité culturelle et plus encore. Les principes fondamentaux de l'Islam ne sont donc pas favorablement disposés vers un monde pacifique ou de co-existence des Musulmans avec des non-Musulmans.

Dans un sens Catholique, le « fondamentalisme » pourrait être simplement un autre terme pour « orthodoxie ». Le « fondamentalisme » Catholique est certes rare aujourd'hui, mais il est nécessaire. Le « fondamentalisme » Catholique — suivant les principes fondamentaux de la Foi — est un chemin de sainteté. Tous les saints, bienheureux et saints hommes et femmes de l'Église, étaient des fondamentalistes ; ils pratiquaient l'essence même de ce qu'enseigne la Foi Catholique. Le plus « fondamentaliste » que devient un Catholique, plus ils grandit dans la Foi, l'Espérance et la Charité.

Un fondamentaliste Catholique va probablement offrir sa messe tous les jours et son chapelet pour vous.

Un Musulman fondamentaliste attaquerait et vous décapiterait.

Ces deux types de fondamentalisme ne peuvent pas être plus différents. Pour les traiter comme étant la même chose est une tromperie diabolique.

« Je crois qu'il n'est pas juste d'identifier l'islam avec la violence, ce n'est pas juste et ce n'est pas vrai. J'ai eu un long dialogue avec le grand Iman de l'université Al-Azhar et je sais ce qu'ils pensent…. »

C’est ironique alors que ce soit le même Imam qui a dit que les apostats de l'Islam doivent être exécutés. Ce n'est pas unique ou surprenant en dépit de l'ignorance de François sur ce sujet. Une telle pensée est la doctrine Islamique et l’a été pendant 14 siècles.

Si François savait vraiment à propos de l'Islam, il serait au courant de « taqiyya » qui est la doctrine qui permet aux Musulmans de mentir aux non-Musulmans pour la promotion de l'Islam. Dans les cas graves, il y a même la doctrine de « muruna », une sous-branche de la « taqiyya » qui permet la violation ouverte de la loi Islamique dans le but de faire progresser l'Islam parmi les non-Musulmans.

C’est l'une des principales raisons pour lesquelles on ne peut pas faire confiance aux Musulmans. Leur religion leur permet de mentir aux autres pour leur propre profit et ce n'est pas considéré comme un péché.

« Ils recherchent la paix, la rencontre. . . Le nonce d’un pays Africain m'a dit que, dans la capitale où il est, il y a une file de personnes, toujours pleine, à la Porte Sainte du Jubilé. Et certains approchent les confessionnaux — Catholiques — et d'autres les bancs pour prier, mais la majorité va à l'avant pour prier à l’autel de Notre-Dame ... Ce sont des Musulmans qui veulent faire le Jubilé. Ils sont frères, ils vivent ... Quand j'étais en Afrique centrale, je suis allé vers eux et, même l'Imam, est venu sur la papamobile ... »

Les Musulmans en Afrique sub-saharienne sont très différents que ceux du reste du monde Musulman. Les Musulmans Africains se sont révélés être les plus ouverts à devenir Chrétiens et, présentement, la plus grande expansion missionnaire en territoire Musulman est en cours dans cette zone. Alors oui, ce n’est pas surprenant que de nombreux Musulmans approchent la Foi, et cela est certainement pour le mieux. Cependant, dans le reste du monde, il a été perpétré par des Musulmans une augmentation de violence sur les citoyens de l’Occident (post-Chrétien, mais toujours identifiable avec le Christianisme) parce que l'Islam sanctionne cela.

J'écris aussi pour le site Shoebat.com dont l’auteur du site se décrit comme un ancien « Musulman radicalisé prêt à mourir pour la cause du Jihad » jusqu'à ce qu’il se soit converti au Christianisme et travaille maintenant à exposer les dures réalités de l'Islam. Pratiquement tous les jours, nous faisons un reportage sur un acte odieux de violence Musulmane dans les régions dominées par les Musulmans. Pour la majorité inconditionnelle des cas, ce sont (a) des Musulmans attaquant des Chrétiens parce que (b) ils sont des « infidèles » et (c) ils sont tout à fait injustifiés.

« Nous pouvons bien coexister ensemble... Il y a des petits groupes fondamentalistes. Et je me demande, c'est une question: combien de jeunes, nous, Européens, avons laissé, vides d'idéal, qui n'ont pas de travail, s'approchent de la drogue, de l'alcool? Ils vont là-bas et ils s'enrôlent dans les groupes fondamentalistes ».

Les Musulmans ne coexistent pas bien avec les autres. Il y a des périodes de paix où les Chrétiens et les Musulmans s’entendent bien, mais elles ne durent jamais parce que l'Islam est une religion qui cherche, puisque c’est question de sa propre idéologie, la domination complète sur tous les non-Musulmans. De tenter de réunir la patience de plusieurs Musulmans dans l’achèvement des objectifs Islamiques de concert avec la réalisation de la paix et de l'harmonie est une erreur. Avec l'Islam, c’est seulement une question de temps — c’est-à-dire de parvenir à une majorité démographique — avant que le masque tombe et que les vrais objectifs de la domination Islamique soient affirmés.

L'idée que la religion Islamique est accessoire à la violence perpétrée par les Musulmans ne pourrait pas être plus éloignée de la vérité. Ce sont les Musulmans vivant dans de bons foyers avec une forte éducation religieuse qui sont les plus susceptibles de devenir des terroristes. Cela a été montré pour être ainsi à plusieurs reprises parce que la violence de l'Islam est un fruit originaire de son dogme anti-humain et, en tant que tel, une personne qui a été bien formée dans l'enseignement Islamique sera plus susceptible de se radicaliser. D'autre part, un Musulman qui a été peu formé ou qui n’est pas particulièrement dévot dans sa pratique religieuse est beaucoup plus susceptible d'être laïque, « modéré » ou apostasier complètement.

Les prétentions que les désavantages économiques, le chômage ou le manque d'éducation sont les catalyseurs de la violence Islamique ont été démontrées à maintes reprises être une erreur. C’est une étude plus attentive de la Foi Islamique ou un évènement qui meut un Musulman à pratiquer cette foi de façon plus dévote, ce qui le mène le plus souvent à la radicalisation.

« Oui, nous pouvons dire que le soi-disant ISIS est un État islamique qui se présente comme violent. Quand ils présentent leur carte d'identité, ils font voir comment ils tuent les Égyptiens sur les côtes libyennes ou autre, mais ceci est un petit groupe fondamentaliste, qui s'appelle ISIS. Mais on ne peut pas dire, ce n'est pas vrai et ce n'est pas juste, que l'Islam soit terroriste ».


Il serait intéressant d'identifier ces « Égyptiens » comme « Chrétiens », parce que c'est la raison pour laquelle ISIS les décapite.

Oui, ISIS est un groupe fondamentaliste. Ce sont des Musulmans fidèles à faire ce que Muhammad a fait. Si vous ne me croyez pas, lisez la première biographie de Muhammad jamais écrite — La Vie de Muhammad par Ibn Ishaq. Vous trouverez peu de différence entre les actions de Mahomet et ceux d'ISIS. Ou lisez la critique que l'État Islamique vient de publier en réponse aux tentatives du Pape François de cadrer l'Islam comme une religion de la paix. C’est un rejet complet des prétentions papales et ISIS cite l'enseignement Islamique pour soutenir sa thèse.

Oui, c’est vrai que pas tous les Musulmans (ou même plus) sont des terroristes. Cependant, le terrorisme fait partie intégrante de l'Islam. Le terrorisme est un moyen par lequel l'Islam contraint les hommes à se joindre à lui.

Izoard : Vos initiatives concrètes pour contrer le terrorisme, la violence ?

Pape François : « Le terrorisme est partout. Pensez au terrorisme tribal dans certains pays Africains. Le terrorisme est aussi… je ne sais pas si je peux le dire car c'est un peu dangereux, mais le terrorisme grandit lorsqu'il n'y a pas d'autre option. Et au centre de l'économie mondiale, il y a le Dieu argent, et non la personne, l'homme et la femme, voilà le premier terrorisme. Il a chassé la merveille de la création, l'homme et la femme, et il a mis là l'argent. Ceci est un terrorisme de base, contre toute l'humanité. Nous devons y réfléchir ».

J'y ai pensé pendant 18 ans finalement. J’ai commencé mes études intensives de l'Islam en 1998. J'ai passé plus de la moitié de ma vie dans ce domaine, donc je peux dire que je sais quelque chose à ce sujet.

Le terrorisme Islamique n’est pas la recherche de l'argent. Ni un manque d'éducation. Ni la politique. Ces facteurs peuvent, au mieux, influencer. Mais ils ne sont pas la cause.

La cause profonde est la théologie Islamique. La même théologie qui nie la nature intrinsèque de l'homme et qui met à sa place l’éternelle béatitude à poursuivre le chemin de l’ Arabe fou du 7ème siècle qui est considéré comme le modèle parfait pour l'humanité quand il fut l'un des hommes les plus inhumains qui ait jamais vécu.

Le problème est l'Islam et les Musulmans car c’est par les Musulmans que la puissance de l'Islam est capable de se manifester sur la terre.

Nous pouvons aimer les gens de toute la ferveur que nous voulons et être bons pour eux, mais cela ne signifie pas qu'ils vont être bons pour nous. Dans le cas de l'Islam, les Musulmans considèrent la charité Chrétienne ainsi que la miséricorde comme de la faiblesse et ils l'exploitent pour s’avancer eux-mêmes et l'Islam à nos frais.

La miséricorde, quelque chose dont parle François beaucoup, mais qui fait partie de l'amour qui est la nature de Dieu (1 Jean 4 : 8). L'autre partie est la justice. Alors que la justice sans miséricorde est du légalisme, la miséricorde sans justice est licence. Les deux sont des péchés.

Jésus a dit à Sainte Faustine : « Celui qui refuse de passer par la Porte de Ma Miséricorde doit passer par la Porte de Ma Justice ».

La hiérarchie de l'Église Catholique dans les temps modernes a été miséricordieuse envers les Musulmans au point de la licence. Pour l'honneur de Dieu et la dignité de la Foi, à l'égard de ce que l'Islam et les Musulmans ont fait, une forte dose de justice est nécessaire et attendue depuis longtemps. Cela commence par se permettre à comprendre la vérité de ce à quoi nous faisons face et non pas de se s’endormir avec des vœux pieux.

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