Écrit par Hilary White
ex-correspondante à Rome
Le 6 juin 2017
SOURCE : The Remnant
J'ai débattu avec des gens à propos des principaux motifs des efforts actuels du régime à Rome pour bloquer ou démanteler toutes les tentatives de retourner l'Église à son cours Catholique d'origine. Beaucoup ont dit, non sans justification, que nous devons suivre la piste financière. Certes, dans presque tous les cas d'une attaque concertée par les Bergogliens contre une organisation Catholique, des sommes d'argent étonnamment importantes sont presque toujours impliquées. Pourtant, nous ne pouvons pas écarter le motif idéologique non plus.
Mais « suivre la piste financière » n'est jamais un mauvais conseil pour un journaliste. Cette semaine, notre ami Marco Tosatti a suscité le débat à nouveau quand il nous a donné un autre aperçu fascinant de la persécution du Vatican envers le Saint Père Stefano Manelli et l'Ordre qu'il a fondé, les Frères Franciscains de l'Immaculée.
(Comme d'habitude, les réserves s'appliquent : c'est ce que les journalistes appellent une « pièce d'analyse » — qui, dans le langage journalistique, signifie que l'écrivain met des choses ensemble pour voir s'il y a un récit qui a du sens. Ce n'est pas censé être une nouvelle ne serait-ce que de la nourriture pour la pensée. Encore moins est-ce une prédiction émanant de toute source de haut niveau. Mais mettons juste quelques choses ostensiblement disparates ensemble et voyons si cela dessine un portrait, ça va ?)
Apparemment, la Congrégation pour les Religieux du Vatican a exigé que le Père Manelli lui transfère les actifs réels que la Congrégation continue à maintenir que le Père Manelli retient d’elle.
Marco écrit :
« Le patrimoine n'est pas négligeable : environ 59 bâtiments, 17 parcelles de terrain, 5 centrales photovoltaïques, 102 voitures, plus de nombreux comptes bancaires. Ce sont des biens saisis par le Commissaire précédent [Volpi]. Le juge a décidé qu'ils devaient être « dé-séquestrés » et retournés aux associations de laïcs qui en étaient les propriétaires, en raison du vœu absolu de pauvreté pratiqué par les FFI ».
« Rejeté par la justice ordinaire, la Congrégation [pour les religieux] a exercé une pression accrue contre le Père Manelli, âgé de 83 ans, forcé par le Vatican à une forme de séclusion... Entre autres choses, le Père Manelli a récemment été formellement demandé au nom du Pape de confirmer sa fidélité et son obéissance au Pape lui-même. Ce qu'il a fait ».
« Il y a environ quinze jours, le Père Manelli a reçu une lettre de la Congrégation pour les Religieux dans laquelle il a été invité à mettre en disponibilité les biens temporels de l'Église maintenant sous le contrôle des associations laïques. Si cela semble familier, c'est parce que nous avons été sur ce chemin mensonger auparavant. Ce sont des propriétés et d'autres objets qui sont évalués à environ 30 millions d'Euros. Les propriétés exactes qu'un tribunal a jugées, il y a quelques années, n'étaient pas des dons au Père Manelli — et ce n’était donc pas au Vatican à les exiger ».
En juillet 2015, un tribunal d'Avellino a statué que les accusations proférées par le Père Fidenzio Volpi, le Commissaire du Vatican, était totalement infondées. Il avait accusé le Père Manelli de lui échapper la propriété de l’Ordre en la transférant à des laïcs fidèles à lui. Volpi avait déposé une poursuite pour soupçon de fraude, falsification de documents et détournement de fonds, et le Père Manelli leur a répondu avec une poursuite pour libelle diffamatoire contre le Père Volpi. Le tribunal, après une enquête, a ordonné au Père Volpi de retourner les biens qu'il avait déjà confisqués, lui a infligé une amende de 20 000 Euros et lui a ordonné de faire des excuses publiques.
Rien de cela qui a changé le parcours du bulldozer du Vatican d'un pouce, en dépit du fait que, outre un dégoût pour la liturgie traditionnelle, ce sont les seules accusations importantes jamais faites contre le Père Manelli ou l’Ordre. La Cour d'Avellino a jugé qu'il n'y avait eu aucune inconduite de quelque nature que ce soit par le Père Manelli ou toute autre personne associée aux FFI et a ordonné la libération des biens appartenant à la Mission de la Médiatrice Immaculée (MMI) et le Troisième Ordre des Frères Franciscains de l'Immaculée (TOFI) que Volpi avait saisis. Peu de temps après, le rude Père Volpi a eu un accident vasculaire cérébral, est mort et a été remplacé par le Cardinal persécuteur de la FFI avec un ton Salésien plus modéré, moins adonné aux accusations hystériques, mais pas moins déterminé à réorienter les FFI afin qu’ils se conforment plus étroitement au nouveau paradigme Catholique.
Mettons-nous en mode « Avance rapide » jusqu'à aujourd'hui et — apparemment sans le moindre scrupule devant le fait que le reste d'entre nous regardons tous les mouvements et les diffusons dans le monde entier — voici le même Vatican qui dit au Père Manelli : « Maintenant, vous remettez tout simplement l'argent et le reste vous sera facile, voyez-vous ? Voilà un bon mec. Ne soyez pas difficile et fichez-vous de ce que les tribunaux ont dit ». Je dois dire que l'on admire leur culot, si rien d'autre. Et c'est une très bonne esquive. Il transmet les biens et ils reçoivent de l'argent, ou il refuse et ils l'accusent — pour la toute première fois — de désobéissance, et ils se débarrassent d'un prêtre particulièrement ennuyant et populaire. Quoi qu'il en soit, c'est une victoire.
Nous entendons maintenant que le Père Sabino Ardito, un Salésien choisi pour continuer le travail du Père Volpi va réécrire les Constitutions de l'Institut. Compte tenu de ce que nous avons entendu jusqu'à présent — à savoir que les plaintes contre l'Ordre portaient principalement sur leur « dérive traditionnelle définitive » — il est difficile d'imaginer que cette réécriture ne sera rien de plus que la même chose : le dépouillement obstiné des Franciscains de l'Immaculée du Vatican de leur charisme fondateur. (Et on est obligé de rire sombrement à l'accusation, que nous pouvons supposer qui tient encore, à savoir que l'Institut développe un ton « lefèbvrien ». C'est comme le Pape François qui est apparemment en train de faire des ouvertures amicales à la SSPX, soyez cohérents, les gars.)
En d'autres termes, le Vatican continue avec la transformation de l'Institut d'un bastion florissant et fidèle de l'orthodoxie et de la piété Catholique, pour lequel il a attiré des vocations du monde entier vers une autre zone morte post-conciliaire.
Et je parie que je sais exactement où le Père Ardito ira après. Quelle était la chose pour laquelle les Immaculés étaient connus ? (Indice : c'est direct dans le nom.)
Pendant un certain temps, il y a eu des histoires lugubres autour d'un mystérieux « vœu secret » que l'Ordre « força » les soeurs à prendre. Une de ces histoires est apparue dans le Daily Mail ainsi que des allégations juteuses d'une « ancienne sœur » qui a déclaré qu'on lui avait dit de se « flageller ». (On peut supposer que nous parlons de « la discipline ».) Cela a certainement alimenté un anti-Catholicisme britannique latent mais toujours présent qui aime toujours une histoire croustillante du style Maria Monk au sujet des couvents. Mais la réalité est que les Frères et les Sœurs de l'Immaculée prennent (ou ont) un « quatrième vœu » spécial, après la pauvreté, la chasteté et l'obéissance ; celui-là implique la Consécration Mariale entière.
Cela leur vient de suivre la spiritualité de Saint Maximilien Kolbe. Le Frère Manelli a basé son « Traccia Mariana », le manifeste Marial de l'Ordre, sur l’œuvre de Kolbe, approuvé par le Pape Jean-Paul II. Le Traccia appelle les membres de l'Institut à se consacrer à « une vie vécue totalement pour Dieu à travers l'Immaculée » afin qu’« Elle nous transforme, comme Saint François, en Jésus Crucifié et nous laisse consumer dans la conquête de toutes les âmes pour Dieu ».
Je suppose qu'il était trop difficile de circonscrire cette notion de conquête de toutes les âmes pour Dieu à travers l'Immaculée avec Nostra Aetate [document du Vatican favorisant l’intégration confessionnelle ] et la paix nouvellement trouvée de l'Église avec nos frères séparés et nos amis musulmans.
Avec l'objection principale dans l'affaire des FFI restant officiellement non dite, je pense que nous pouvons être justifiés de faire quelques déductions logiques. Toutes les sources disent que c’était la crainte d'être qualifiés de « traditionalistes » au sens théologique — par opposition à une simple préférence esthétique pour l’encens et les clochettes — que le Père Manelli redoutait le plus. Ils disent qu'il était « en peine » de toujours être vu à célébrer à la fois les Anciens et les Nouveaux Rites, et qu'il était interdit dans l'institut de dire des choses négatives sur Vatican II. Et je pense, en lisant le Traccia, que l'inconfort du Père Manelli avec le Nouveau Paradigme de Vatican II, s'il existait comme tel, doit être un développement ultérieur. Le Traccia est plein de références positives au Pape Paul VI, pas quelque chose qu'on pourrait trouver dans un document « crypto-lefèbvrien ». Il est possible, je suppose, que leurs protestations « d'accepter » le Concile soient authentiques. En effet, il est difficile d'imaginer un tel homme se dissimuler derrière des raisons politiques.
Il est bien connu, cependant, que dans la politique ecclésiale Italienne, le simple fait d'être accusé de sympathie ou de similitude envers l'Archevêque Marcel Lefebvre est l'équivalent d'une accusation de communisme par le comité HUAC [House Committee on Un-American Activities --- Commission de la Chambre sur les activités antiaméricaines, ]. Mais la documentation montre que les FFI ont été extrêmement prudents de ne jamais critiquer la Forme Ordinaire ou l'un des résultats de Vatican II ; ils ont introduit l’Ancien Rite de façon incrémentielle et ne l’ont jamais ordonné de façon générale dans chaque maison.
Mais arrêtez-vous un moment ; Qu'est-ce que vous faites réellement lorsque vous niez chaudement ne pas être Traditionaliste ? Quelle est la chose qui sépare les Catholiques Traditionalistes des Catholiques Novus-Ordoistes simplement conservateurs ? Ce n'est pas la Messe. Ce n'est pas une question de préférence pour le Latin, l'encens ou toute autre chose extérieure. C'est le Règne Social du Christ Roi ; la « conquête de toutes les âmes pour Dieu », comme le Traccia du Père Manelli le dit. Les Catholiques Traditionalistes croient que c'est le but de l'Église, fondée et mandatée par le Christ, de convertir chaque être humain sur terre à la Foi et d'avoir des principes Catholiques guidant chaque nation.
Maintenant, qu'est-ce que le Vatican de François fait le plus énergiquement ces derniers temps ?
Vous verrez immédiatement le problème. C'était le conflit, la contradiction, que les FFI essayaient d'éviter mais qui leur fut finalement contraint de faire face : un choix entre le nouveau paradigme Catholique tellement énergiquement promu par le Pape François et Co., ou la Foi de nos pères et tous ses objectifs. Dans les années 70, cette incompatibilité n'était peut-être pas si claire. Mais c'est assez clair maintenant.
C'est en fait le choix que tout le monde va devoir faire à un moment donné, car il semble clair que la machine de François ne va pas s'arrêter jusqu'à ce que tout le monde soit avec eux ou en dehors. Et le fait que les FFI ont été choisis, seuls parmi toutes les communautés religieuses, pour en être un exemple, en dit beaucoup à leur sujet et à toutes les autres communautés « conservatrices » qui n'ont pas été attaquées.
Cela indique également que l'approche audacieuse n'est pas seulement plus honnête, mais plus efficace. Toutes les démarches sur la pointe des pieds et sur les coquilles d'oeufs des VaticanToistes, à savoir l'auto-censure, les accommodements et les tentatives de marcher ce mi-chemin « amicalement », « nous ne sommes pas méchants » , « nous sommes aussi conservateurs » entre les deux propositions concurrentes de l'Église contemporaine ne leur ont pas profité. Alors, la leçon est tirée, hé ? Soyez un Traditionaliste et ne vous en excusez pas. Ils vont vous haïr de toute façon, alors donnez-y à fond de train. Faites sauter le piège avant qu’il ne vous attrape.
Giuseppe Nardi, écrit en Allemand pour Katholisches, dit que maintenant, le Commissaire a effectivement admis que tout cela a été motivé par l'envie ; les Franciscains de l'Immaculée réussissaient massivement avec leur « dérive traditionnelle définie » et c'était quelque chose qui « évidemment ne devrait pas exister ». Cette information intéressante est particulièrement révélatrice puisque le Père Volpi était un Capucin et le Père Ardito est un Salésien, les deux Ordres qui se trouvent au bord de l'extinction depuis le début de la voie progressiste, Novus-Ordoiste, VaticanToist.
Et cela m'amène aux problèmes plus importants auxquels nous sommes tous confrontés en tant que Catholiques. Tosatti explique que la dernière tentative par les Romains de séparer l'Institut de sa propriété légitime vient non seulement du Préfet de la Congrégation pour les Religieux, le Cardinal Braz de Aviz, mais du lieutenant nommé par François, le Franciscain José Rodriguez Carballo. Cette nomination était celle qui n'a pas assez eu d'attention dans la presse de langue anglaise.
Carballo's est un nom célèbre en Italie ; ( présenté en toute douceur ), ça veut dire des transactions douteuses et venant à un cheveu de la faillite des Frères Franciscains Mineurs. Et pourtant, avant que l'enquête sur sa mauvaise gestion de millions d'euros soit terminée, le Pape François l'avait sorti de son travail qu'il avait tellement bâclé et — en remettant le fouillis au successeur — l'a fait Archevêque et l'a mis comme secrétaire pour la Congrégation pour les Religieux. En fait, Carballo était la première nomination du nouveau Pape, un scandale qui n’a pas passé inaperçu dans la presse Italienne.
Et c'est beaucoup le MO [ mode d’opération ] de Bergoglio. Il s'est toujours entouré de personnages ombragés, d'hommes à la réputation souvent étonnamment mauvaise, les mettant dans des postes de grande responsabilité en tant que ses hommes de main. Ce sont des hommes, bien sûr, qui sont faciles à contrôler par sa méthode brevetée à doubles faces de la carotte et du bâton, de la louange et de l'avancement d'un côté et des menaces d'exposition et de ruine de l'autre. C'est pourquoi nous avons toujours le célèbre homosexuel Monseigneur Battista Ricca chargé de la Maison Papale. Compte tenu de la rapidité et du caractère impitoyable avec lesquels l'attaque sur les FFI a été réalisée, il est clair que l’on a donné à Carballo cela comme tâche principale. En effet, le Père Volpi — quand il criait aux Évêques lors de la réunion de la CEI [ Conférence des Évêques Italiens ], exigeant que personne ne prenne des réfugiés FFI — a toujours insisté sur le fait qu'il travaillait sur les ordres directs « du Vicaire du Christ » et il n'y a aucune raison de ne pas le croire .
Il vaut la peine d'examiner plus attentivement ce Carballo en particulier à la lumière des accusations de mauvaise gestion financière levées contre le Père Manelli. Sous la gouverne de Carballo, l'Ordre fondé par le Père Séraphique, Saint François, avait investi « des dizaines de millions d'euros » dans une entreprise chargée d'enquêter sur le commerce illégal d'armes, le blanchiment d'argent et le trafic de drogue. Le nouveau Ministre Général de l'Ordre, le Père Américain Michael Perry, a averti les Frères dans une lettre que l'Ordre était dans une « grave, et je souligne « une grave » difficulté financière ».
Bien que l'enquête ne soit pas encore terminée, on se demande ouvertement si Carballo a sciemment autorisé la mauvaise gestion intentionnelle des fonds par des personnes « en dehors de l'Ordre » qui se seraient enrichies. Étant donné qu'il est maintenant sous la protection du Vicaire du Christ, son ami personnel, nous ne le saurons peut-être jamais.
Carballo, en quelque sorte, était un choix naturel en tant que bourreau des FFI. En tant que groupe de rupture de ce corps principal qui s’étiole de la famille Franciscaine, leur succès étonnant pour attirer des vocations jeunes et dévotes était une réprimande continue. Pendant qu'il était Ministre Général, Carballo était particulièrement préoccupé par l'attitude « non seulement pré-conciliaire, mais aussi anti-conciliaire » des FFI, qu'il considérait comme une « trahison » contre le nouveau paradigme Catholique de Vatican II. Avec cet homme responsable, il ne faut pas être surprenant que l'une des contraintes accordées à l'adhésion des FFI restants soit une sorte de « vœu » de fidélité à Vatican II.
Carballo a été nommé le 6 avril 2013 et le décret contre les FFI, dissolvant leur Conseil de Direction, est venu de Rome le 11 juillet. Et je dois avouer une certaine curiosité quant à l'utilité que l'ancien Ministre Général des Frères Mineurs scandalisés par les finances réserve aux propriétés des FFI tertiaires dont nous nous rappelons qu’ils sont évalués à environ 30 millions d'Euros.
Tout cela ne consiste pas à absoudre le Cardinal Braz de Aviz. Il convient de noter que le Pape Benoît a nommé le Cardinal Brésilien — qui n'est pas membre d'un Ordre religieux — pour remplacer le Cardinal « conservateur » slovène Franc Rodé. Rodé avait reçu la tâche ingrate — 40 ans trop tard — de faire quelque chose au sujet de l'état catastrophique des Ordres religieux féminins dans les pays Occidentaux.
Mais le nouveau Préfet a amené tout l'effort à rien. Après 6 ans d'accusations criées par l'établissement libéral d'une « répression » et même d'une « inquisition » qui persécutait les soeurs — Braz de Aviz, un notable progressiste Bergoglien, a fait des gestes conciliants et a mis un terme à la question, à l'éloge retentissant des médias laïcs et les « sœurs » bien féminisées et sécularisées, qu'il a justifiées. Le Pape François a lissé la dernière des plumes ébouriffées en célébrant la Messe avec eux et les sœurs ont tourné leur attention à la fermeture ordonnée de leurs Ordres, vendant des propriétés pour payer les soins infirmiers pour leurs derniers membres restants.
De manière significative, c'était Rodé, l'un des rares Cardinaux connus pour célébrer la Messe selon l’Ancien Rite, qui était responsable de la Congrégation pour les Religieux quand les FFI ont commencé à adopter les formes traditionnelles en 2008. Mais ce soutien a fini brusquement lorsque Braz de Aviz a été nommé en janvier 2011. Le Cardinal avait déjà ordonné une enquête sur les affaires de l'Ordre en 2012. L'ironie a été largement notée lorsqu'il est devenu évident que Braz de Aviz attaquait déjà les FFI en 2014 lorsqu'il apaisait les soeurs féministes notoirement radicalisées et laïcisées avec une tape amicale sur la tête.
En revenant à ma question initiale de savoir si les FFI et les catastrophes connexes ont été motivés, comme certains l'ont dit, par la soif manifeste pour le sale lucre que nous voyons dans les cercles immédiats du Pape ou par une idéologie néo-moderniste pure, je pense que nous pouvons dire avec le Pape François que nous ne sommes pas là pour faire des choix artificiels, noirs et blancs, oui une interprétation oui ou non.
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