par Christopher A. Ferrara
SOURCE : Fatima Network Perspectives
Le 14 juin 2017
Après quatre années d'affliction par l'occupant actuel de la Chaire de Pierre, il est clair que le Pape Bergoglio, aussi incroyable que cela puisse paraître, s'engage selon un programme bien établi à accommoder l'adultère, la sodomie et même la tolérance de l'avortement dans la vie de l'Église. Si cette affirmation semble très extrême, considérez les preuves irréfutables suivantes : |
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Le Pape Bergoglio accueille, embrasse et embrasse un ancien élève « gay » et
son ami « gay » de coeur à la réunion qu'il a personnellement arrangé.
Mgr Ángel José Macín (50 ans) de Reconquista, Argentine, que François a fait Évêque pendant la première année de son pontificat, vient de présider une messe sacrilège « au cours de laquelle il a réadmis une trentaine de couples de divorcés civilement remariés à la « pleine Communion Sacramentelle » avec l'Église », renversant ainsi la discipline Eucharistique bimillénaire de l'Église en défense de son infaillible enseignement sur l'indissolubilité du mariage sacramentel.
Ces couples seront maintenant autorisés à participer régulièrement à la Sainte Eucharistie tout en continuant des relations sexuelles avec des personnes auxquelles ils ne sont pas mariés. Citant Amoris Laetitia comme sa seule autorité, Macín a créé un « chemin de discernement » bidon consistant en des réunions du samedi des couples adultères au cours desquels ils « ont discerné » qu'ils étaient prêts à recevoir la Sainte Communion tout en continuant à vivre dans l'adultère.
Il n'y a plus de question — s'il y en a déjà eu — que cette abomination est exactement ce que François a tracé et tenté d'introduire dans la vie de l'Église à partir du moment où il a émergé du Conclave papal de 2013. Rappelons qu'il a commencé le processus en louangeant le livre du Cardinal Kasper sur la « miséricorde » lors de son premier discours papal depuis le balcon des appartements papaux qu'il avait abandonnés comme résidence. À la suite du « Synode sur la Famille » pipé, il a bouclé la boucle en informant les Évêques de Buenos Aires, en réponse à leur requête (qu'il avait probablement sollicitée), qu’« il n'y a pas d'autre interprétation » d’Amoris laetitia que celle que Macín vient tout juste d’y donner.
Après avoir démoli l'Académie Pontificale pour la Vie de Jean-Paul II en renvoyant chacun de ses membres et ayant son nouveau président, l'Archevêque « pro-gay » Vincenzo Paglia (à la renommée de la murale obscène), élabore de nouveaux statuts pour l'Académie, le Pape Bergoglio a approuvé en tant que l'un des nouveaux nommés Nigel Biggar, professeur Anglican de « théologie morale et pastorale » à Oxford, qui, comme le rapporte Edward Pentin, « dans le passé a soutenu l'avortement légalisé jusqu'à 18 semaines et a exprimé son soutien nuancé à l'euthanasie ».
N'oubliez pas que le Pape Bergoglio a aboli le serment pro-vie précédemment pris par les membres de l'Académie. En outre, dans la lettre visant à accorder aux prêtres le pouvoir qu'ils avaient déjà d'absoudre le péché de l'avortement, il a qualifié l'avortement comme étant une « décision agonisante et douloureuse » — comme si le meurtre délibéré d'un innocent n'était qu'une « décision » (cependant pécheresse) qui trouble la mère par opposition à un acte meurtrier qui est l'un des péchés qui crient au ciel pour sa rétribution. Le Pape Bergoglio s'est également éloigné du mouvement pro-vie en Italie, tout en remplaçant un Évêque Argentin férocement pro—vie rejeté comme aumônier militaire par le gouvernement de gauche de l'Argentine avec un prélat convenablement calme qui ne dérangera pas les plumes de l'élite dirigeante.
Également dénombré parmi les nouveaux nommés à l'Académie, il n'y a nul autre qu’Anne-Marie Pelletier, professeure en Écriture Sainte, Bible et Liturgie à l'École Cathédrale de Paris, que le Pape François a endossé pour écrire ses méditations au Colisée cette année. Comme le note Edward Pentin, Pelletier — surprise, surprise — est une « partisane de certains divorcés remariés recevant la Sainte Communion ... »
Pire encore, Pelletier a assisté au « Synode des ombres » de 2015 qui « a cherché des moyens de mieux accueillir les personnes vivant dans des unions stables de même sexe ». François a précisé qu'il n'avait aucun problème avec les « unions stables de même sexe » en accordant des audiences privées aux couples « homosexuels » et « transgenres » qu'il a embrassés et en refusant de s'opposer à la légalisation des « unions homosexuelles » en Italie.
Et n'oublions pas que c'est le Pape Bergoglio qui a lu et approuvé le fameux « rapport de mi-parcours » du Synode Bidon de 2014, où nous lisons que « les homosexuels sont des dons et des qualités à offrir à la communauté Chrétienne », que l'Église doit être « capable » de pourvoir à cela, d'accepter et de valoriser leur orientation sexuelle » et que « les unions homosexuelles » fournissent « l'entraide au point de sacrifier [ce qui] constitue un soutien précieux dans la vie des partenaires ». Rappelez-vous aussi que François a insisté pour que cet abominable document, une disgrâce à l'Épouse du Christ, soit inclus dans les débats du Synode 2015 même s'il a été rejeté par les Pères Synodaux.
D'un point de vue purement historique, le pontificat Bergoglien constituerait, pour l'historien interrogateur, l'anomalie la plus fascinante de toute l'histoire de l'Église : un Pape qui attaque les fondements de l'édifice moral de l'Église en sapant son enseignement sur le mariage, la procréation et la sexualité. Pour les fidèles Catholiques, cependant, ce pontificat est un désastre ecclésial inégalé de proportions véritablement apocalyptiques. Nous ne devons jamais nous permettre de devenir blasés devant cette parodie morale, mais plutôt de l'exposer et de l'opposer en priant pour la délivrance de l'Église de la règle du Pape le plus délirant que l'Église n’ait jamais vu.
Notre-Dame de Fatima, intercédez pour nous !
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