jeudi 2 novembre 2017

L'auteur de la lettre au Pape qui fait tant de vague
Il avait demandé un signe à Jésus avant de l'écrire

Et il a eu ce signe BIEN CLAIR !





Écrit par Carl E. Olson, Éditeur en chef

Le 1er novembre2017
SOURCE : Catholic World Report



Pour ceux et celles qui ne sont pas familiers avec la lettre qu'il a écrite, cliquez ici, pour consulter les extraits les importants qui ont été traduits par Béatrice chez Benoît et moi.





Voici donc ce signe tel que décrit par le Père Thomas Weinandy, lui-même, OFM, membre de la Commission Théologique Internationale depuis 2014

À la fin du mois de mai dernier, j'étais à Rome pour assister à une réunion de la Commission Théologique Internationale dont je suis membre. J'ai séjourné à la Maison Sainte Marthe. Depuis mon arrivée, j'ai passé la majeure partie du dimanche après-midi avant la réunion du lundi à Saint Pierre, dans la chapelle Eucharistique. Je priais sur l'état actuel de l'Église et sur les angoisses que j'avais pour le pontificat actuel. Je suppliais Jésus et Marie, Saint Pierre et tous les Saints Papes qui sont enterrés là de faire quelque chose pour rectifier la confusion et l'agitation dans l'Église aujourd'hui, un chaos et une incertitude que j'ai ressentie et que le Pape François avait lui-même causés. Je me demandais aussi si je devais ou non écrire et publier quelque chose exprimant mes inquiétudes et mon anxiété. Le mercredi après-midi suivant, à la fin de ma réunion, je suis retourné à Saint-Pierre et j'ai prié de la même manière. Cette nuit-là, je n'ai pas pu dormir, ce qui est très inhabituel pour moi. C'était dû à tout ce que j'avais à l'esprit concernant l'Église et le Pape François. À 1 h 15, je me suis levé et je suis sorti dehors pour un court moment. Quand je suis retourné dans ma chambre, j'ai dit au Seigneur : « Si vous voulez que j'écrive quelque chose, vous devez me donner un signe clair. Voici ce que le signe doit être. Demain matin, je vais à Sainte Marie Majeure pour prier et ensuite je vais à Saint Jean de Latran. Après cela, je reviens à Saint-Pierre pour déjeuner avec un ami du séminaire. Pendant cet intervalle, il me faudra rencontrer quelqu'un que je connais mais que je n'ai pas vu depuis très longtemps et que je ne m'attendrais jamais à voir à Rome en ce moment. Cette personne ne peut pas provenir des États-Unis, du Canada ou de la Grande-Bretagne. De plus, cette personne doit me dire au cours de notre conversation : « Continuez votre bonne écriture ».

Le lendemain matin, j'ai fait tout ce qui précède et au moment où j'ai rencontré mon ami séminariste pour le déjeuner, ce que j'avais demandé au Seigneur la nuit suivante n'était plus en avant-plan dans mon esprit. Cependant, vers la fin du repas, un Archevêque est apparu entre deux voitures garées juste devant notre table ( nous étions assis dehors ). Je ne l'avais pas vu depuis plus de vingt ans bien avant qu’il ne devienne Archevêque. Nous nous sommes reconnus immédiatement. Ce qui rendait son apparence encore plus inhabituelle, c’était qu'en raison de ses circonstances personnelles récentes, je ne me serais jamais attendu à le voir à Rome ou ailleurs, si ce n'est dans son propre Archidiocèse. ( Il n'était pas originaire d'aucun des pays mentionnés ci-dessus. ) Nous avons parlé de sa venue à Rome et avons rattrapé un peu tout ce que nous avions fait et faisions. Je l'ai alors présenté à mon ami séminariste. Il a dit à mon ami que nous nous étions rencontrés il y a longtemps et qu'à ce moment-là, il venait juste de finir de lire mon livre sur l'immutabilité de Dieu et l'Incarnation. Il a dit à mon ami que c'était un excellent livre, que cela l'avait aidé à résoudre le problème et que mon ami devrait lire le livre. Puis il se tourna vers moi et dit : « Continuez votre bonne écriture ».

À la lumière de Jésus accomplissant mon « signe » exigeant, je veux faire deux commentaires. Tout d'abord, j'ai décidé d'écrire une lettre au Pape François, que j'avais l'intention de publier à moins qu'il n'aborde correctement les problèmes que j'ai soulevés. Près de deux mois après avoir reçu ma lettre, j'ai reçu un accusé de réception du Secrétariat d'État du Vatican m'informant que la lettre avait été reçue. C'était simplement un accusé de réception et non une réponse à mes préoccupations. Deuxièmement, je trouve significatif que non seulement le Seigneur ait répondu à ma demande de signe, mais qu'Il l'ait faite aussi, ce que je crois, d'une manière très significative. Il l'a accomplie par l'intermédiaire d'un Archevêque. En utilisant un Archevêque, je crois, que l'accomplissement de ma demande par Jésus a pris un mandat apostolique.

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