mardi 30 juin 2015

La « Pravda » du Vatican fait place aux

9 bureaux de presse du Vatican



Le Pape écrit ce 27 juin 2015

« Le contexte de communication actuel, caractérisé par la présence et le développement des médias numériques, par les facteurs de convergence et de l'interactivité, il faut repenser le système d'information du Saint-Siège et se dédier à une réorganisation qui ... doit agir résolument vers une gestion intégrée et unifiée. »

Source : National Catholic Register

Il y a présentement 9 bureaux de presse différents au Vatican. On les unifiera tous sous un seul chapeau. Ce sera un nouveau dicastère : le Secrétariat aux Communications.

Ce n'est pas le Nul qui fera le commentaire de cette nouvelle. Ce sera l'ancien conseiller en gestion (on dit Conseil en gestion en France) que je fus pendant 30 ans. Les fusions, les intégrations, c'est ma tasse de thé.

Une des raisons principales pour envisager une intégration de services, ce sont les économies d'échelle que ça peut permettre de réaliser. Avez-vous remarqué que cette raison n'est nullement invoquée dans la lettre du Pape ?

De quoi donc parle-t-on alors ? On explique cette décision par « le contexte de communication actuel, caractérisé par la présence et le développement des médias numériques, par les facteurs de convergence et de l'interactivité ». Mais c'est de la bouillie pour les chats !

À cause de l'Internet et des réseaux privés d'échanges d'information, combien de scientifiques ou chercheurs peuvent travailler soit à leur domicile ou tout près sans être tous sous un même toit ? Et la qualité de l'avancement de leurs travaux n'est nullement endommagé.

De fait, les technologies de l'information nous permettent enfin d'être à l'ère de l'« information distribuée ». Mais dans le cas du Vatican, il s'en va vers l'ère de l'«information centralisée ». Très archaïque et dépassé mais très novateur si le Vatican veut augmenter son contrôle sur l'information qui est rendue publique et sur les messages, forme polie de dire « propagande», qu'il désire livré au monde.

C'est donc une fausse raison puisque les 9 bureaux de presse pouvaient s'échanger leurs communiqués de presse avant même de les rendre publics.

L'exemple de la famille qui a 9 enfants

Vous êtes les parents de 9 enfants âgés de 14 ans à 24 ans qui vivent tous sous votre toit. Il vous vient parfois des commentaires de vos amis qui ont appris des choses sur vous pas toujours heureuses parce que leurs enfants fréquentent les vôtres.

Quel est le remède de cheval pour en terminer avec cette situation ? Réponse : les empêcher de sortir de la maison et de voir leurs amis. On fusionne, on intègre les enfants et on va pouvoir ainsi contrôler ce qui est dit dans le public à propos de la famille.Il y aura un seul porte-parole et de qui relèvera-t-il ce porte-parole ? Du père.

La situation « avant » et « après »

Présentement, i.e., avant intégration, chaque bureau de presse pouvait décider de ce qui serait rendu public ou non. Bien entendu, s'il n'y a pas grande concertation avec les autres bureaux de presse, il peut parfois se dégager des incohérences voire des contradictions. Dites-moi : avez-vous souffert de telles incohérences au cours des 30 dernières années de la part du Vatican?

Ce que l'on doit retenir davantage parce que nous en avons tous profiter, c'est la richesse des informations qui émanaient du Vatican.

Le Secrétariat aux Communications
autant le nommer

La Pravda du Vatican

Voici maintenant une description de l'après intégration : il y aura une seule personne qui va décider ce qui sort dans le public ou non. Et à qui se sentira le plus redevable cette personne dans l'exercice de sa fonction ? À la Vérité ? aux Fidèles ? ou au Pape ? Il me semble que c'est une question simple : demandez-vous qui peut le dégommer...

Déjà qu'ils sont bons à trouver des excuses, des panacées pour les bourdes du Pape — je m'en réfère à la permission de communier que le pape a donnée à ces deux femmes divorcées/remariées : « nous ne pouvons pas commenter ces situations car c'étaient des conversations privées » — maintenant, sous l'Égide d'un seul chapeau, ils vont raffiner ces techniques à leur maximum de perfection. Vous n'aurez droit qu'à des déclarations super pures, super politiquement correctes dotées d'une lessive de blancheur tellement forte qu'on aura de la difficulté à y trouver la Vérité et à se connecter avec l'Église.

En somme, on concentre toutes les communications avec les fidèles et le public en un seul endroit. Le contrôle de l'information sera à son meilleur. Un seul chef, celui des communications, décidera de ce que vous devez savoir.

Dites-moi : y-a-t-il une différence avec le seul organe de presse qu'il y avait du temps de l'Union Soviétique, La Pravda ? Oubliez la qualité et la richesse d'information, vous aurez plutôt de la propagande. Dommage mais c'est ça.

« Je vous envoie deux par deux »

Si l'on suppose que les Apôtres étaient des genres d'agents de presse allant un peu partout annoncer ce que Jésus avait dit, je me demande pourquoi Jésus ne s'est pas dit : « Non, non, je vais les envoyer « intégrés » ensemble, les douze ensemble et Je choisirai un seul porte-parole.

La « propagande » centralisée du Vatican

fait place à l'information du Vatican

« Mes Enfants se sont pas préparés ...

jusqu'à ce que J'envoie Mon Messager ».




MESSAGE DE NOTRE VIERGE MARIE
À SA FILLE CHÉRIE LUMIÈRE DE MARIE
Le 22 juin 2015

Bien aimés enfants de Mon Cœur Immaculé :

DEMEUREZ VIGILANTS !
CHAQUE ACTE OU ACTION DE L'HOMME
A SA RÉPERCUSSION SUR LA RACE HUMAINE.
CONTINUEZ FERMES DANS LA FOI !

Avec douleur, Je vois Mes enfants s’égarer, cherchant sans trouver ce qu'ils recherchent ... et ils sont perdus en plus grand nombre parce qu'ils ne connaissent pas Mon Fils.

L'humanité est immergée dans tous les vices parce que les instants passent et la Vérité ne leur est pas dite.

Mes enfants ne trouvent pas le moyen de s’en sortir ; ils ouvrent les mauvaises portes qui les ramènent au même point de départ.

Bien-aimés,

QUI N'A PAS DIEU DANS SON CŒUR TOMBERA COMME UNE PROIE FACILE DANS LES MAINS DE L'ENNEMI DES ÂMES.

Cet instant est à reconsidérer ; les menaces des grandes puissances seront la terreur de l'humanité.

Chacun est le reflet de ce qui vit en lui. Tout le monde est né avec un but dans sa vie, mais ... ils ne le savent pas ! Parce qu'ils ne font pas taire leur esprit qui ne se repose pas et parce qu’ils ne se battent pas pour entrer dans leur silence intérieur.

Bien-aimés,

Je les ai vus agir et, à cet instant, Je les vois conditionnés, soumis aux caprices de l’« ego » humain et de la technologie mal utilisée. Ils vivent sur ce qui est superficiel, sur des intérêts personnels et les autres frères sont oubliés.

CET INSTANT SERA EN RECRUDESCENCE. MES ENFANTS NE SONT PAS PRÉPARÉS ... JUSQU’À CE QUE J’ENVOIE MON MESSAGER.

Je vous bénis.

Maman Marie

SALUT MARIE TRÈS PURE, CONÇUE SANS PÉCHÉ.
SALUT MARIE TRÈS PURE, CONÇUE SANS PÉCHÉ.
SALUT MARIE TRÈS PURE, CONÇUE SANS PÉCHÉ.

Petites questions/réflexion du Nul :

Quand Maman Marie affirme dans cette locution que « la Vérité ne leur est pas dite », est-ce qu'elle inclut l'Église hiérarchique dans ce jugement ? Que l'Église ne donne pas la Vérité à son troupeau ?

Voyez ce que l'Apocalypse nous apprend du clergé, ces « étoiles spirituelles » qui ont la responsabilité de conduire le troupeau au Ciel :

Ap 12 4 Avec sa queue, il balaya le tiers des étoiles du ciel et les jeta sur la terre.

Donc le tiers du clergé est jeté par terre, devient mondain, appartient au monde et n'est plus spirituel. Comment peut-il donc dire la Vérité ?

Si cet énoncé de l'Apocalypse est pour notre temps, ce serait normal que la Vérité ne nous soit pas dite puisque la hiérachie ecclésiale est trop empêtrée dans l'écologie, la problématique des divorcés/remariés, celle des homosexuels et de la fameuse « Miséricorde de complaisance » (i.e. sans l'exigence du repentir et du changement de vie conséquent ) comme Jésus l'affirme Lui-même dans cette locution.

lundi 29 juin 2015

Le travail au noir...

c'est un manque de foi

De toutes mes frayeurs,
le Seigneur me délivre.

Faut y croire, faut le vouloir et faut Lui demander
Plus besoin de travail au noir ensuite.
Psaume 33 (34)


Sans aller plus loin, je vois déjà les réactions de ceux qui se disent Chrétiens et qui pensent avoir la Foi mais qui, peut-être, ne la vivent pas...

  • Une personne travaillant au noir : « Pour qui se prend-il, lui ? On n'arrive pas à joindre les deux bouts... Il faut bien faire quelque chose... »

  • Une autre personne travaillant au noir : « Mais s'il savait le nombre de demandes d'emplois que j'ai envoyées ! Il n'y a pas d'emplois officiels pour nous... »

  • Une autre personne travaillant au noir : « Sans ce travail, on ne pourrait pas se payer de la viande avec la maigre prestation que nous recevons. »

  • Un employeur de travailleurs au noir : « Avec les charges à payer, la bureaucratie et la paperasse à compléter, il vaudrait mieux fermer boutique sans le travail au noir. »

Petites questions ici en introduction ici chers Chrétiens...

Qu'est-ce qui vous distingue des non chrétiens
avec tout ce que vous venez de dire ?


Qu'est-ce qui est dit dans le Notre Père ?
Donnes-nous notre pain quotidien ?
ou bien est-il dit ?
Donnez-nous du travail au noir pour qu'on ait notre pain quotidien ?


Bof ! Il n'y a rien là...
Il rêve en rose ce type
Il doit être riche, lui...


Avant de juger quoi que ce soit ou qui que ce soit, prenez connaissance des informations qui suivent. Ces informations portent sur deux plans : 1) La dimension sociale du travail au noir et 2) La dimension spirituelle du travail au noir.

La dimension sociale du travail au noir

Voyez ce qu'en disent certaines personnes dont Saint Jean Paul II :

Le Pape Jean Paul II affirmait que « l'organisation parallèle du travail au noir lèse gravement l'économie d'un pays, car elle constitue un refus de participer à la vie nationale par les contributions sociales et par l'impôt ; de même, elle place des travailleurs, en particulier des femmes et des enfants, dans une situation incontrôlable et inacceptable de soumission et de servilité, non seulement dans les pays pauvres mais aussi dans les pays industrialisés ».

Lettre - Le travail au noir, est-ce payant?
7 novembre 2012 |Philippe Roy - Gatineau, le 5 novembre 2012
SOURCE : Le Devoir

Depuis la venue sur terre du dieu argent, avec la société de consommation, plus rien n’a d’importance si ce n’est la fructification de son pactole. Les valeurs inculquées par nos parents, l’honnêteté entre autres, ont été balancées par-dessus bord. Autrefois, le moi disparaissait devant la collectivité, la corvée en étant un bel exemple. Aujourd’hui, je détourne le regard de ceux qui crient à l’injustice et je m’observe le nombril pour y engranger ce que je puis enlever aux autres.

La fierté d’être un bon citoyen a-t-elle encore un sens ? Ne suis-je pas plutôt reconnu, apprécié et applaudi quand je proclame que j’ai « fourré » le système ? Des tapes dans le dos, des encouragements à récidiver, tel est le lot des travailleurs de l’ombre.

Malheureusement, nous sommes tous perdants en valorisant ces individus indignes d’être appelés d’honnêtes citoyens. Cet argent non perçu par les gouvernements vient limiter ou réduire les services de santé et d’éducation, ou carrément en faire disparaître d’autres, et contribue à l’appauvrissement du Québec en entier.

Le travail au noir : c’est une « mafia » individualiste, inorganisée, mais elle sape et tue aussi implacablement que sa grande soeur. Le Québec a besoin des bras, du coeur et de l’intelligence de toutes les forces vives de la nation pour construire un monde plus vrai, plus juste, plus humain. Sommes-nous capables de nous regarder dans une glace sans baisser les yeux ?

Voyez ici aussi ce que le Pape François a dit du travail du noir à l’occasion de cette Assemblée plénière du Conseil des conférences épiscopales d’Europe à Stratsbourg le 3 octobre 2014.

Le travail au noir appauvrit toute la population

y compris ceux qui l'exécutent...

La société se tire dans le pied...


La dimension spirituelle du travail au noir

Débutons par une petite mise en scène

Jean, un locataire d'un complexe d'appartements, a vu déménager son voisin Roger en début de mois. Roger a oublié de réclamer ses clés d'appartement à Jean. Il avait toujours eu l'habitude de lui laisser un jeu de clés au cas où des pépins surviendraient dans son appartement. Roger en effet était souvent absent.

Le remplaçant de Roger est arrivé il y a une semaine. Profitant de son absence, Jean eut la curiosité d'aller voir son appartement. Dans la cuisine, il ouvrit la boîte à pain. Il vit trois belles miches de pain. Il en prit une et revint rapidement chez lui.

Jean se disait : « Bof ! Il ne saura pas que c'est moi, on ne se connaît même pas. Et puis, ce nouveau voisin semble très riche pour avoir trois miches de pain, il n'en mourra pas si je lui en ai pris une. Enfin, s'il savait comment ça nous est difficile d'avoir parfois du pain pour nous, il ne rechignerait certainement pas...


La plupart des arguments que Jean utilise pour avoir volé un pain et vous n'avez pas de difficulté à reconnaître que c'est un vol même si c'était un petit vol mais tout de même un vol sont exactement les mêmes utilisés pour justifier le travail au noir. Pourtant quand il s'agit de nous-mêmes, disons qu'on peut risquer d'être moins objectif, ou encore, plus compatissant à l'égard de notre propre situation. Récapitulons les arguments de Jean ici :

  • le voisin de Jean qu'il ne connaît pas, c'est le citoyen que l'on connaît pas et pourtant que l'on prive d'une partie de nos revenus qui iraient à l'état et qui allègeraient ses propres charges.

    « Bof ! me direz-vous... Ce n'est qu'une goutte de pluie cet exemple. Mais prenez chaque travailleur au noir avec sa propre goutte de pluie, eh bien ça fait une pluie abondante au total et, si les choses persistent, cette pluie abondante cause une inondation économique, un écroulement qui surviendra très bientôt. Plus vite que vous ne le pensez. Le travail au noir en Grèce qui était très répandu explique en partie ses déboires actuels.
  • Le travailleur au noir ( autant l'employeur que l'employé ) se dit qu'il est le plus pauvre « dans le système ». Bonne raison alors de voler son prochain qui est prétendument plus riche, non ? Ignorant jusqu'à quel point ces présumés riches sont plus endettés que la valeur qu'ils possèdent.
  • D'ailleurs, c'était juste une miche de pain. Mais on sait tous que « voler un oeuf, c'est voler un boeuf » en ce sens qu'un petit larcin mène presque toujours à un plus grand. C'est une tactique que satan utilise très souvent : par de petits actes nous amener à de plus grands.
C'est simple et vous n'apprécierez pas cette simplicité : travailler au noir, c'est voler son prochain. Donc c'est pécher. La gravité de ce péché qui demeure toujours un péché peut varier selon la condition économique pauvre ou riche de celui qui l'accomplit. Voici un exemple de ce qui est avancé ici :

Les cigarettes de contrebande

Les Autochtones du Canada ont développé depuis plusieurs années un réseau de fabrication et de distribution de cigarettes de contrebande. Ces cigarettes échappent à toute taxation de l'État. C'est un réseau bien huilé. Tout le monde peut s'en procurer. Le prix de ces cigarettes est de 50 % inférieur sinon plus aux tarifs des cigarettes légales.

Alors qui est le plus coupable d'en acheter et ainsi de priver l'État de sources de revenus pour les citoyens ? Le riche qui en achète ou le pauvre ? Certes, l'amour de l'argent qu'il veut garder pour lui incite le riche à en acheter pendant que le pauvre en achète par nécessité. Les motivations sont différentes et la gravité du péché est conséquente à ces motivations. Mais de là à dire que le pauvre est affranchi de tout péché serait une grave erreur.

On manque de foi
Et ça va nous perdre

Quand vous demandez dans la prière ( si vous la dites encore ) « Donnes-nous notre pain quotidien ( ou de ce jour ) », c'est pour chaque jour. Pas une fois tous les trois jours...

Notre Papa du Ciel sait plus que nous ce dont nous avons besoin. Est-ce une chimère quand Jésus dit que « même nos cheveux sont comptés ». Pure métaphore, pure allégorie ? Oui ou non ? Que Notre Papa s'occupe de chaque moineau et que Jésus nous dit qu'on vaut beaucoup plus que de simples moineaux ?

C'est bien certain que si vous ne vous adressez jamais à Lui, Il ne peut guère s'occuper de vous. Il respecte le fait que vous Lui tourniez le dos et en a bien entendu beaucoup de peine.

La plus grande réussite de satan :
Vous faire considérer le mal comme un bien
Et le bien comme un mal

Bien : travailler au noir et faire de l'argent.
(Avec tous les beaux justificatifs de pauvreté qu'il vous suggère
ou que les autres sont riches
ce n'est donc pas grave d'empiéter sur leurs richesses)

Mal : prier votre Père des Cieux pour qu'Il vous aide.


Le Chrétien qui veut jouer sur les deux tableaux
Foi et Travail au noir
est un Chrétien moche, tiède
Et Jésus nous dit ce qu'il fera avec les tièdes :
Il va les vomir.

dimanche 28 juin 2015

« Ceux qui vivent dans l'Esprit ne se sentiront jamais à la maison dans le monde

et, en effet, le monde les haïra ... »

Locution de
Pelianito

Le 22 juin 2015

Romains 8, 5-8

Ceux, en effet, qui vivent selon la chair, s'affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l'esprit s'affectionnent aux choses de l'esprit. Et l'affection de la chair, c'est la mort, tandis que l'affection de l'esprit, c'est la vie et la paix; car l'affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu'elle ne le peut même pas. Or ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Dieu


« Chers enfants, faites tous les efforts pour toujours vivre dans l'Esprit. Que la chair serve l'Esprit car nier l'Esprit en faveur de la chair, c’est la mort. Soumettez votre esprit et votre cœur à Dieu en toutes choses. Ceci est le mode de vie et de paix. Ceux qui vivent dans l'Esprit ne se sentiront jamais à la maison dans le monde et, en effet, le monde les haïra ... Ne laissez pas cela vous déranger car votre maison dans le ciel vous attend. Vous saurez avec une certitude dépassant vos attentes que vous appartenez là. Par conséquent vivez chaque instant comme si vous y étiez déjà. De cette façon, vous n’aurez pas de peine ni de peur. Tout vous semblera si petit et si temporaire. Ce séjour dans un pays étranger est votre épreuve, Mes enfants. Êtes-vous avec Moi ou contre Moi ? Vivez dans l'Esprit, pour l'Esprit et par l'Esprit et vous allez commencer votre paradis sur terre. Soyez en paix, Mes enfants, peu importe ce qui se passe. Shalom. »

Prière de Pelianito
Père Céleste, Doux Jésus, Esprit Béni d'Amour, nous vous louons et vous remercions de nous avoir rendu le Ciel disponible pendant notre exil. Aidez-nous à mettre à mort tout ce qui est terrestre et à vivre toujours dans l'Esprit, pour l'Esprit et par l'Esprit. Envoyez-nous Votre Grâce afin que nous puissions surmonter toutes les tentations de la chair qui nous assaillent. Aidez-nous à vivre seulement et toujours dans votre Volonté. Nous Vous aimons, nous Vous louons et nous Vous remercions par la Flamme d'Amour de notre Sainte Mère. Amen.!

Rencontrez le prochain résistant !



Le conflit Burke --- Bergoglio à venir
« Je vais résister si le Pape permet
la communion aux divorcés/ remariés
»

par John Vennari
Source originale de cet article ici

Le Cardinal Raymond Burke a fait les manchettes au début de février quand il a dit « Je vais résister » à tout effort du Pape François de permettre aux catholiques divorcés/remariés de recevoir la communion.

Oui, le Cardinal Burke, l'ancien chef de la Rote romaine (plus haut Tribunal ecclésiastique de l’Église), a un programme altéré de résistance comme nous tous.

Il semble que le Pape François ait déjà pris sa décision d’« autoriser » les divorcés/remariés catholiques à recevoir l'Eucharistie. Nous démontrerons plus loin la détermination du Pape François sur ce point, mais citons d'abord le Cardinal Burke.

John Vennari est l’éditeur en chef de la publication mensuelle catholique traditionaliste Catholic Family News imprimée et publiée dans les régions de l'Ouest de New York et du Sud de l'Ontario.
Il fut un assistant précieux pour Feu Père Nicholas Grunner. Il participe encore activement au Centre de Fatima fondé par ce dernier.




Entretien du Cardinal Burke avec France2
(extrait)

Voici des extraits de l'interview du 8 février 2015 du Cardinal Burke, diffusé sur France 2, qui a mis en lumière la persistance des troubles à partir des Synodes du Pape François.

Le Cardinal Burke a dit : « Je ne peux pas accepter que la Communion soit donnée à une personne qui vit dans une union irrégulière parce qu'elle est adultère. ... » [1]

France 2 a demandé : « Comment avez-vous l’intention de mettre le Pape François sur le bon chemin ? »

Cardinal Burke : « Sur cela aussi, il faut être très attentif ce qui concerne le pouvoir du Pape. La formulation classique est que « le Pape a la plénitude du pouvoir. » Cela est vrai, mais ce n’est pas un pouvoir absolu. Son pouvoir est au service de la foi. Le Pape n'a donc pas le pouvoir de changer l'Enseignement de la Doctrine. »

France 2: « D'une manière quelque peu proactive, peut-on dire que le véritable gardien de la Doctrine est vous, et non le Pape François ? »

Cardinal Burke : [sourires, secoue la tête] « ... Laissons de côté la question du Pape. C’est notre Foi, c’est le Véritable Doctrine qui nous guide ».

France 2 : « Si le Pape François insiste sur cette voie, que ferez-vous ? »

Cardinal Burke : « Je vais résister. Je ne peux pas faire autre chose. Il ne fait aucun doute que c’est un moment difficile, cela est clair, cela est clair ».

France 2 : « Est-ce douloureux ? »

Cardinal Burke : « Oui. »

France 2 : « Inquiétant ? »

Cardinal Burke : « Oui. » ...

France 2 : « Eh bien François est-il votre ami ? »

Cardinal Burke : [Rires] « Je ne voudrais pas me faire un ennemi du Pape, certainement pas ». [2]

La détermination de François

Il est évident que tout prélat ou tout catholique qui insiste sur le fait que l'Eucharistie ne soit pas accessible aux catholiques divorcés/remariés va se trouver en contradiction avec le Pape François.

François, étant plus un progressiste « du peuple que de la Doctrine », favorise clairement l'admission des divorcés/remariés à l'Eucharistie. Voici une courte liste qui supporte ceci :

  • Feu Cardinal Martini de Milan, l'un des prélats les plus modernistes de notre temps, a déclenché des déclarations incendiaires dans sa dernière interview en affirmant que l'Église catholique est de « deux cents ans en arrière», que « nos rites et notre robe sont pompeux » et Martini a encouragé l’ouverture à la « réception de l'Eucharistie pour les Catholiques divorcés/remariés, conseillant d’éviter ce qu'il appelle de « la discrimination ». Le Pape François, au premier anniversaire de la mort du Cardinal, a fait publiquement l'éloge de Martini comme « un père pour toute l'Église », et a continué à louanger Martini comme une figure « prophétique», et « un homme de discernement et de paix ». [3]

  • Au Consistoire, en février 2014, le Cardinal Walter Kasper dans sa présentation a appelé à une nouvelle approche pastorale alléguée qui permettrait aux catholiques divorcés/remariés de recevoir l'Eucharistie. Le lendemain, en face de tous les cardinaux du monde, le Pape François a louangé publiquement Kasper en lui disant : « Hier, avant d'aller dormir ... je lisais ou plutôt relisais l'œuvre du Cardinal Kasper, et je voudrais le remercier parce que j’ai trouvé une théologie profonde et même une pensée sereine en théologie. ... Excusez-moi, Éminence, si je vous embarrasse — mais cette idée est ce qui est appelée « faire de la théologie à genoux ». Je vous remercie.. Je vous remercie ». [4]

  • Dans le livre de 2013, « Le Pape François… Défaire le nœud » de l'auteur Paul Vallely, un admirateur de François, l’auteur explique qu’en Argentine, la communion pour les catholiques divorcés/remariés n’est pas considérée comme une grosse affaire. « À Buenos Aires, il [Bergoglio] a fait face à des problèmes plus concrets » comme le dit le Père Augusto Zampini, un prêtre diocésain de la ville. « Lorsque vous travaillez dans un bidonville, 90 % de vos fidèles sont célibataires ou divorcés. Vous avez à apprendre que la communion pour les divorcés/remariés n’est pas un problème là. Tout le monde communie ». Vallely continue de commenter : « Bergoglio n’a jamais altéré son orthodoxie doctrinale sur ces questions mais il ne permet pas le dogme passe par-dessus la priorité de la préoccupation pastorale. « Vallely cite ensuite le Père Juan Isasmendi, prêtre dans bidonville de Buenos Aires qui a déclaré : « Il [Bergoglio] n'a jamais été rigide au sujet des petites choses stupides parce qu'il était intéressé par quelque chose de plus profond ». [5]

    Ainsi Bergoglio vient d'un milieu où la communion pour les divorcés/remariés est considérée comme un problème mineur (les « petites choses stupides ») par rapport aux grandes préoccupations de l'option préférentielle pour les pauvres.

  • En avril 2014, le Pape François a personnellement téléphoné à une femme argentine qui a été civilement mariée à un homme divorcé antérieurement, François lui a dit qu'elle était prétendument libre de recevoir l'Eucharistie. Le porte-parole du Vatican, le Père Federico Lombardi, a confirmé que l'appel téléphonique avait eu lieu mais qu’il ne pouvait pas commenter sur les détails. Malgré le scandale colossal causé par l’échange téléphonique qui a été rapporté, le Pape François — après huit mois — n'a pas encore nié qu'il avait donné le feu vert à cette femme, vivant dans un mariage non canonique, de recevoir l'Eucharistie [6]

  • La version finale d’octobre 2014 du Relatio (rapport final du synode) relatif à ce Synode Extraordinaire contenait trois paragraphes qui n'ont pas obtenu la majorité nécessaire des 2/3 des voix des Pères Synodaux. Les paragraphes concernés sont respectivement, 1) la Communion des divorcés/remariés 2) la cohabitation et 3) l'homosexualité. Le paragraphe mentionné en premier laisse ouvert la possibilité que les divorcés/remariés puissent être autorisés à recevoir l'Eucharistie. Le Pape François a insisté que ces paragraphes qui ont été rejetés soient contenus de toute façon dans le rapport final Relatio, ce qui est tout contraire aux règles du Synode lui-même. Ces mêmes paragraphes rejetés (maintenant numérotés 51, 52 et 54) sont inclus dans le nouveau document Lineamenta pour le prochain Synode en 2015 et ne contiennent aucune mention que ces articles ont échoué à recevoir le vote de la majorité requise.

Hillary Blanc, chroniqueur au Life Site News, remarque : « Un Père Synodal qui a assisté à de telles nombreuses assemblées dans le passé affirme que le fait de retenir des articles dans le Relatio final d'un Synode qui ont été rejetés par les évêques lors de leur vote était sans précédent. De tels articles dans les anciens synodes antécédents auraient été simplement abandonnés et jamais revus dans les documents subséquents ». [7]

Nous assistons ici à un sévère abus d'autorité, une tentative de forcer une politique « pastorale » corrompue sur l'Église. Cette série dramatique pue de ce que le Pape François prétend dénoncer : l’autoritarisme, le pouvoir centriste de haut en bas et la pire forme de cléricalisme.

Mettez au rancart la Doctrine ?

Encore plus troublant sont les nouvelles Lineamenta, le document d'orientation du Vatican pour 2015 Synode sur la famille, qui contiennent encore un autre questionnaire pour les évêques. Le document indique aux dirigeants de l'Église d’« éviter dans leurs réponses une formulation de la pastorale qui est basée sur une simple application de la Doctrine » car une telle approche « ne respecterait pas la conclusion de l'Assemblée extraordinaire du Synode et conduirait leur réflexion loin du chemin déjà indiqué ».

D'abord, une telle directive est un classique en Modernisme ; c’est un appel à exalter les « pastorales » (les supposés « besoins réels » des personnes ici et maintenant) au sujet de la Doctrine. Il nous ramène à la remarque faite par Paul Vallely plus tôt à savoir que Bergoglio de Buenos Aires « ne permettait pas au dogme de passer par-dessus la priorité de la préoccupation pastorale ». C’est maintenant l'état d'esprit qui régit l'Église universelle.

Deuxièmement, cette directive est un aveu clair que ce Synode extraordinaire d’octobre 2014 n'était pas solidement fondé sur la Doctrine de l'Église puisqu’un programme basé sur les Vérités Éternelles de la Foi — selon les Lineamenta — aurait fait dévier la voie tracée par le Synode extraordinaire 2014.

Les Lineamenta poursuivent en disant que les évêques « doivent être guidés par l'approche pastorale qui est fondée sur Vatican II et le Magistère du Pape François ».

En d'autres termes, nous sommes à être guidés par « l'Église de ce « maintenant » » et par le programme radical personnel du Pape François, grossièrement camouflé comme le Magistère Pontifical.

« Le Synode extraordinaire » de 2014, les demandes dans les Lineamenta, sont le « point de départ », en d'autres termes la lumière phare pour l'avenir et il ne devrait pas y avoir aucune tentative de « repartir à zéro ».

Oubliez la cohésion nécessaire entre la Doctrine et la Pratique. Notre nouveau point de départ est le désastreux Synode extraordinaire de 2014 et les besoins présumés de l'instant présent.

Ceci est un modèle pour la révolution, une recette pour le désastre.

Oui, le conflit est à venir. Le conflit est ici.

Et, oui, le Cardinal Burke et tous les catholiques qui se respectent n’ont pas d'autre choix que de résister — et de résister publiquement et courageusement.

Le Pape François, contrairement à la nature même de sa fonction papale, semble imposer mordicus cet abus de haut en bas sur l'ensemble de l'Église, un abus qui insulte Notre Seigneur, ouvre les vannes au sacrilège, mine le Sacrement du Mariage et détruit les âmes.

• • •
Nous assistons ici à un sévère abus d'autorité, une tentative de forcer une politique « pastorale » corrompue sur l'Église. Cette série dramatique pue de ce que le Pape François prétend dénoncer : l’autoritarisme, le pouvoir centriste de haut en bas et la pire forme de cléricalisme.

• • •
Notes : [1] Le Cardinal continue en parlant de l'homosexualité : « Sur la question des personnes du même sexe, cela n'a rien à voir avec le mariage. Ceci est une souffrance que certaines personnes ont ou ont attirée — contre la nature, sexuellement — à des personnes du même sexe. Ces personnes, nous devons les aider à vivre chastement. Mais il n'y a aucun rapport avec le mariage et la famille, c’est une question distincte » .

[2] « traduction intégrale de l'interview du Cardinal Burke à France 2 : Resisterò (je vais résister à),« Rorate Ceali fév 9,2014 [italiques ajoutés].

[3] Pour ces citations et beaucoup plus, consultez la section « Rapport spécial : Le Martini Pape, » John Vennari, ici à Catholic Family News, janvier 2014.

[4] « Kasper change le paradigme, Bergoglio applaudit » Chiesa, Mars 1 2014.

[5] Le Pape François, défaire le nœud, [London : Bloomsbury, 2013], pp. 130-131 [italiques ajoutés].

[6] Voir « P. Lombardi répond au compte-rendu de l'appel du Pape à la femme argentine, « Radio Vatican, 24 Avril 2014, et« l'appel du Pape à la femme soulève des questions sur les divorcés/remariés, « National Catholic Reporter, le 23 Avril 2014.

[7] « Evitez d'appliquer tout simplement la Doctrine », ce que le Vatican demande instamment aux évêques en préparation pour le Synode 2015, « Hillary blanc, Lifesitenews, le 15 Décembre 2014.

samedi 27 juin 2015

François ?...sont-ce des faits accomplis ?

À quoi sert le prochain Synode ?

Le Pape veut supprimer l’interdiction séculaire des prêtres de se marier et a dit à une femme divorcée « vivant dans le péché » qu'elle POUVAIT recevoir la Sainte Communion, comme l’affirme un confident.

  • Oscar Crespo, un ami d'enfance du Pape, dit que le Pontife lui a révélé ses « priorités » pour son pontificat à l’occasion d’une visite au Vatican en octobre dernier.

  • M. Crespo, 77, de Buenos Aires, a déclaré que le Pape lui a dit qu'il voulait permettre aux prêtres de se marier parce que la loi est « archaïque ».

  • Le Pape lui a dit de transmettre un message à une femme « vivant dans le péché » parce qu'elle s’était divorcée : elle pourrait recevoir à nouveau la Sainte Communion.
  • L’enseignant argentine Claudia Garcia Larumbe dit à MailOnline qu'elle était « sans voix » après avoir reçu le message du Pape.

  • Le Vatican a déclaré que « si » le Pape a eu ces conversations, elles étaient privées et qu’elles « n’avaient pas d'incidence sur l'Enseignement de l'Église ».

Un ami d'enfance du Pape François a affirmé que le Pape a l'intention de renverser l'interdiction vieille de plusieurs siècles sur les prêtres catholiques de se marier et qu'il a dit une femme divorcée « vivant dans le péché » qu'elle pourrait recevoir la Sainte Communion.

Le Pape considère la loi sur le célibat sacerdotal « archaïque » et « ne fait pas partie de la Doctrine de l'Église », selon le confident.

L'ami aurait aussi déclaré que le Pape d'origine argentine a promis de réformer un autre règle catholique qui empêche les personnes divorcées/remariées engagées dans de nouvelles relations de communier, MailOnline peut le révéler.

Selon Oscar Crespo, le Pape François a dit que de modifier la loi qui interdit aux personnes catholiques divorcées et remariées civilement de prendre une part active dans la vie de l'Église est sa « priorité numéro un » de son pontificat.

M. Crespo a dit que le Pape, 78 ANS, a aussi fait parvenir un message à une femme divorcée « vivant dans le péché » avec un nouveau partenaire l’assurant qu'elle était libre de se confesser et de recevoir l'Eucharistie.

L'Église catholique ne reconnaît pas le divorce, considérant que toute personne qui se remarie ou commence une relation sexuelle avec une autre personne autre que celle de leur mariage commet un adultère.

Communier dans un état de péché est considéré comme un péché encore plus grave.

L’enseignante argentine Claudia Garcia Larumbe avait envoyé un message au Pape par M. Crespo lui demandant si elle était vraiment exclue de la confession ou de la communion après avoir déménagé avec son nouveau partenaire.

Après que M. Crespo ait rappelé au Pape que les divorcés/remariés dans une nouvelle relation les empêchaient de participer aux Saints Sacrements, François lui a dit : « Dites-lui juste que le Pape a dit qu'elle le pouvait ».

Mme Larumbe, 39, a déclaré à MailOnline qu'elle était « sans voix et émotionnelle » après avoir reçu une dispense personnelle du Saint-Père à participer dans les Sacrements Catholiques clés.

Les révélations apporteront un nouvel espoir à des millions de fidèles divorcés civilement, ainsi qu’à des milliers de membres du clergé qui sont de plus en plus mal à l'aise au sujet de leurs vœux de célibat pour leur durée de vie.

Mais dans un signe du pontife, qui fêtera son deuxième anniversaire en tant que Pape, ce vendredi, il n’entend pas forcer des réformes radicales au détriment de l'Unité de l'Église, a-t-il dit à M. Crespo : « Les changements sont apportés avec le temps ou avec le sang et j’ai choisi la paix ».

M. Crespo, 77, le meilleur ami et ancien camarade de classe de l'école secondaire du Pape se rendit à Rome en octobre et a passé plusieurs heures avec lui dans ses quartiers privés au Vatican.

Le technicien alimentaire à la retraite, qui avait apporté avec lui des lettres et des messages des étudiants et du personnel de leur ancien collège technique, a déclaré à MailOnline que le Pontife — dont le vrai nom est Jorge Bergoglio était « sérieux et passionné », quand il a parlé de ce qu'il a décrit comme étant ses « deux traits principaux ».

Parlant à Mail Online, il a dit : « Il a dit que ce sont ses priorités en tant que Pape. Le premier de tous est de changer les règles pour les couples divorcés/remariés ».

« La deuxième priorité est d'éliminer la loi du célibat. Il a dit que ça ne faisait pas partie de la Doctrine de l'Église. Ça a été lancé il y a plus de 1000 ans par un pape et il estime que c’est archaïque, une antiquité qui doit être reconsidérée ».

« Il pense que Dieu nous a tous fait pour vivre en famille, prêtres inclus ».

Ce n’est pas la première fois que François — le premier Pape non-européen en 1700 années - a exprimé sa position personnelle plus souple sur les vues traditionnelles de l'Église concernant le célibat sacerdotal.

En mai dernier, il a déclaré à un groupe de journalistes que le célibat est « un don pour l'Église mais que ce n’est pas un dogme, la porte est toujours ouverte ».

Et il y a quelques semaines, quand il a été confronté à un militant en faveur des prêtres mariés, il a répondu que la question « est dans mon agenda ».

Il a fait des déclarations similaires du temps qu’il était Archevêque de Buenos Aires, et après son élévation comme Pape, son Secrétaire d'État a déclaré à un journal que « le célibat n'est pas une institution mais regardez, il est vrai que vous pouvez en discuter parce que comme vous le dites : ce n’est pas un dogme, un dogme de l'Église ».

Et juin dernier, le Pape a supprimé une règle qui empêchait les Églises de rite oriental d’ordonner des prêtres mariés dans les pays où il y avait des communautés d’immigrants comme aux États-Unis.

Jusque-là, les prêtres mariés étaient autorisés dans les pays d’où provenaient les Églises orientales, mais ils ont été interdits dans les pays occidentaux où ces églises avaient migré.

Il a été encore plus véhément au sujet des divorcées/remariés affirmant que les excluant de la vie de l'Église est semblable à une « excommunication ».

En décembre, dans une interview au journal argentin La Nacion, le Pape François a questionné le fait que les divorcés/remariés soient exclus de la vie de l'Église. Il a noté que les divorcés « ne peuvent pas être parrains pour aucun enfant à être baptisé, les lectures à la messe ne sont pas pour les divorcés/remariés, ils ne peuvent pas donner la communion, ils ne peuvent pas enseigner à l'école du dimanche. Il y a environ sept choses qu’ils ne peuvent pas faire, j’ai la liste ici.

« Allons ! Si je divulgue toute cette liste, il semblera qu’ils sont vraiment excommuniés ! Ainsi, ouvrons les portes un peu plus. Pourquoi ne peuvent-ils pas être parrains et marraines ? »

Parmi les lettres et les messages de M. Crespo a apportés de l'ancienne école du Pape à Buenos Aires, l'école technique industrielle n ° 27, il y avait une question de Mme Larumbe, enseignante spécialisée dans les difficultés d'apprentissage.

La femme de 39 ans divorcée avait décidé de demander conseil à François après avoir dit qu'elle avait été exclue de la confession, de la communion et de d’autres actes religieux importants après avoir emménagé avec son nouveau partenaire.

Se souvenant de la réaction du Pape après avoir raconté l'histoire de Mme Larumbe, M. Crespo a dit : « Je lui ai dit comment elle avait envie de se confesser et de recevoir la communion ». Et il m'a dit : « Retourne et dis-lui qu'elle le peut ».

« J’ai été surpris par sa réponse et je lui ai dit : « Mais n’est-ce pas interdit ? » Il a dit : « Dis-lui juste que le Pape dit qu'elle le peut ».

Mail Online a traqué Mme Larumbe, une fervente catholique depuis l'enfance, qui a expliqué qu'après s'être épousée à l'âge de 30 ans, elle avait divorcé un an plus tard parce que « les choses ne fonctionnaient pas ».

Après avoir déménagé avec son nouveau partenaire deux ans plus tard, on lui a dit qu'elle n'était plus en mesure de se confesser ni de recevoir la communion parce que, selon la Doctrine catholique, elle était considérée comme « vivant en état d'adultère ».

Finalement, elle a dit qu'elle a cessé de fréquenter l'église San Antonio de Padua à laquelle elle avait appartenu.

Elle a dit à Mail Online : « On m'a dit que je ne pouvais pas être avec quelqu'un d'autre que la personne que j’ai mariée. Je suis très confuse. J’avais fait partie de l'église toute ma vie ».

« Je ne savais pas à propos de cette loi mais, comme une bonne catholique, je l'ai accepté. Je ne me sentais pas comme si on me traitait mal, je me suis sentie comme une pécheresse comme ils ont dit que j’étais ».

« Je savais que Dieu voit tout et je ne voulais pas tomber sans Dieu, alors j’ai senti qu'il valait mieux obéir aux règles et cesser de faire partie de mon église ».

Lorsque Mme Larumbe a entendu dire que l’ancien camarade de classe du Pape, M. Crespo, allait lui rendre visite au Vatican et qu'il avait offert d'apporter des lettres des étudiants ou du personnel, elle a décidé d'envoyer un message.

Elle a dit : « Quand j’ai entendu dire qu'il était déjà trop tard pour moi d'écrire une lettre, alors j’ai appelé Oscar et lui ai demandé s’il pouvait parler de ma situation au Pape ».

« Je lui ai dit que je voulais faire partie de l'église, que je voulais être en mesure de me confesser mais que je ne le pouvais pas parce que j’avais divorcé. Je voulais juste quelques conseils, mais je ne pensais pas obtenir une réponse en retour.

Mais quand Oscar est rentré, il m'a appelé et m’a dit qu'il avait parlé avec le Pape et qu’il m’avait donné la permission personnellement. J’étais sans voix et très émotionnelle, je ne pouvais pas croire que j’avais reçu un message directement du Pape.

Mais elle affirme qu'elle a gardé le message de François pour elle-même de peur d'offenser le prêtre et les fidèles.

Elle a dit : « Je ne l’ai pas encore encore fait. Je ne me sens pas à l'aise à cause de ce que les autres membres de la communauté pourraient penser.

« J’ai décidé d'attendre jusqu'à ce que ce soit officiel pour tous les Catholiques, pas seulement pour moi. Je ne veux pas que ce soit permis seulement pour moi, je veux que ce soit permis à tout le monde ».

SOURCE : écrit par Matt Roper à Buenos Aires, Argentine pour le compte deMailOnLine

François... au-dessus des règles établies ?




Le Pape François dit à une pécheresse
qu’elle devrait être autorisée à communier.

En rupture apparente avec l'Enseignement catholique, le Pape est dit avoir téléphoné la remariée argentine Jacqui Lisbona pour lui dire qu’il n’y rien de mal de communier.

D’après certaines informations, il aurait dit à cette femme : « Une femme divorcée qui communie ne fait rien de mal. »

Selon d’autres sources, le Pape François aurait dit à une femme « vivant dans le péché » avec un homme divorcé qu'elle est libre de communier, ce qui semble être un écart significatif par rapport à l'Enseignement catholique.

Jacqui Lisbona, qui est originaire du pays d'origine du Pape, l'Argentine, a écrit au Pape jésuite pour lui dire qu'on lui avait refusé la communion par son prêtre de paroisse qui s’est opposé dû au fait qu’elle a déjà été mariée à un homme divorcé.

Interdite de se marier à l'église, elle a opté pour une cérémonie civile au lieu.

« [Le prêtre] m'a dit que chaque fois que je rentrais chez moi, je rentrais vivre dans le péché », a-t-elle dit.

Dans sa lettre, Mme Lisbona, qui a deux filles adolescentes avec son actuel mari après 19 ans de mariage, a dit qu'elle était inquiète que si elle communiait — peut-être dans une église où elle ne serait pas connue par les prêtres — qu’elle violerait « les règles de l'Église ».

Le Pape, qui, depuis son élection il y a 13 mois, a établi une réputation de téléphoner des catholiques ordinaires à l’improviste en réponse aux lettres qu’ils lui ont envoyées, l'a appelée à son domicile dans la région centrale de Santa Fe le lundi de Pâques.

Il lui aurait dit: « Une femme divorcée qui communie ne fait rien de mal. »

Dans un reproche aux prêtres locaux qui lui ont refusé le sacrement, il a ajouté: « Il y a des prêtres qui sont plus papistes que le Pape. »

Lorsqu'on a demandé si les remarques attribuées au Pape étaient correctes, un porte-parole du Vatican a déclaré au Telegraph : « Nous ne saurions ni confirmer ni nier que — comme c’était un appel téléphonique privé fait par le Saint-Père et nous ne divulguerions pas les détails.»

Mais les propos rapportés sont en ligne avec la position prise par le Pape François au cours des derniers mois — que l'Église devrait traiter les divorcés/remariés et leurs partenaires avec plus de compassion.

Ces remarques peuvent indiquer que le Pape a endossé un ton beaucoup plus inclusif que celui de son prédécesseur, Benoît XVI, sur des questions allant de l'homosexualité aux unions de même sexe, il serait en train de tâter le terrain avec l'intention de changer la position de l'Église.

L'échange surprenant a été révélé par le mari de Mme Lisbona, Julio Sabetta, qui a dit que c’est lui qui a d'abord répondu à l'appel du Pape avant de remettre le téléphone à sa femme.

« Une des choses les plus merveilleuses de ma vie vient de se produire — la réception d'un appel téléphonique de nul autre que Papa Francesco » a-t-elle écrit sur sa page Facebook.

« Nous sommes catholiques, nous croyons en Dieu et, si on ne va pas à la messe à tous les dimanches, tous les soirs, nous remercions le Seigneur pour notre famille et pour notre travail » a déclaré M. Sabetta, un chef pâtissier.

L'appel téléphonique du Pape est venu six mois après que Mme Lisbona lui ait envoyé sa lettre. En se présentant comme « Père Bergoglio » — son prénom est Jorge Mario Bergoglio — le Pontife de l’Amérique du Sud lui a dit qu'il était désolé d’avoir mis tant de temps pour faire l'appel.

« C’est une question que nous discutons au Vatican parce qu’ un divorcé/remarié qui communie ne fait rien de mal » aurait déclaré le Pape lors d’une conversation de 10 minutes.

L’Église catholique soutient qu’à moins qu’un premier mariage soit annulé, les Catholiques qui se remarient ne peuvent pas recevoir la communion parce qu'ils vivent essentiellement dans le péché en commettant l'adultère.

Ces annulations sont souvent impossibles à obtenir ou peuvent prendre des années à être traitées, un problème qui a laissé de nombreux catholiques se sentir rejetés par l'Église.

Depuis qu'il a été élu en mars 2013, le Pape François appelé à plusieurs reprises à une approche plus miséricordieuse envers le problème.

Il a déclaré en février 2014 que les divorcés/remariés et les couples séparés ne devraient pas être exclus des activités de l'Église, des remarques qui ont soulevé des spéculations à l’effet que, peut-être un jour, il leverait l'interdiction aux divorcés/remariés de recevoir la communion.

Il a dit à un groupe d'évêques polonais que les prêtres devraient « se demander comment aider (les couples divorcés), de sorte qu’ils ne se sentent pas exclus de la miséricorde de Dieu, l'amour fraternel des autres chrétiens et de la préoccupation de l'Église pour leur salut. »

Il a aussi invité la hiérarchie ecclésiastique à réévaluer la façon dont les prêtres et les évêques peuvent s’engager avec les enfants de couples de même sexe et des divorcés/remariés, les exhortant à « examiner les moyens de proclamer Jésus-Christ à une génération qui change ».

L’effort pour une approche plus inclusive envers les Catholiques divorcés a été dirigé par le Cardinal Walter Kasper, un théologien allemand, qui a appelé aux « ouvertures et aux changements » dans la façon dont l'Église affronte le problème.

SOURCE :THE TELEGRAPH

Du Synode Bidon au Synode du Malheur

Préparez-vous à l’impact

Le Synode du Malheur
réintroduit clandestinement
la Proposition Kasper
au feuilleton du prochain Synode.

par Christopher A. Ferrara
Le 26 juin 2015

Depuis le début, le « Synode sur la Famille » a été exploité comme un forum au sein duquel les ennemis modernistes de la famille complotent et conspirent dans le secret ou le semi-secret afin de trouver un moyen de renverser la discipline pérenne de l'Église interdisant aux adultères publics — les « divorcés/remariés » ou les couples en « unions libres » — de recevoir la Sainte Communion. Les conspirateurs cherchent aussi à créer une « ouverture » aux « gays » et à leurs « unions ». Ils sont autorisés par François de faire avancer leur agenda sous le couvert d'adresses anonymes, créant ce que François appelle un « espace protégé » — ce qui signifie un endroit où ils peuvent comploter et conspirer contre l'Église sans avoir à révéler leurs noms aux fidèles Catholiques.

L'auteur de cet éditorial est Monsieur Christopher A. Ferrara. Monsieur Ferrara est avocat de profession. Il agissait aussi comme collaborateur principal de Feu Père Nicholas Gruner, fondateur du Centre de Fatima, Fort Érié, Canada et ayant aussi des installations à Rome. Il est chroniqueur dans plusieurs autres sites catholiques dont Le Remnant Newspaper.

Mais les objectifs des conspirateurs, même si nous n’avons pas leurs noms, sont mentionnés dans le rapport de mi-parcours révoltant que François a ordonné de publier et de diffuser aux évêques du monde entier alors même que la majorité des Pères Synodaux l’ont rejeté en octobre dernier. Nous y trouvons une proposition d'admettre les adultères publics à la Sainte Communion sur une base de « cas par cas » — signifiant, bien sûr, dans tous les cas une fois que les exceptions sont permises — avec des éloges pour l’« orientation » des homosexuels qui, selon ce document honteux, trouvent un « soutien précieux » dans leurs « unions homosexuelles ».

Ce qui a été appelé à juste titre un Synode Bidon, il serait maintenant plus approprié de l’appeler le Synode du Malheur pour le malheur qui en résulterait à l'Enseignement moral de l'Église si la deuxième session, qui approche à grands pas, en partie composée de ces sorciers subversifs, réussit à surpasser l'opposition conservatrice dominante des prélats d’Afrique, de Pologne, de certaines parties de l'Italie ainsi que les Cardinaux Burke et Pell.

En fait, le Synode du Malheur continuera de présenter la « proposition Kasper » afin de détruire la doctrine sur l'indissolubilité du mariage qui a été défendue par Jean-Paul II même au paragraphe 84 de Familaris Consortio, qui interdit aux adultères publics l’accès à la Communion. La proposition diabolique a été subtilement réemballée au paragraphe 123 de l'Instrumentum Laboris (document de travail) pour la deuxième session.

Le contexte du paragraphe 123 recherche une « voie pénitentielle » pour les adultères publics afin de recevoir la Communion, comme si l'Église ne possède pas déjà une « voie pénitentielle » : en faisant une bonne confession, en promettant de mettre fin aux relations adultères, et de vivre sans ces relations sous le même toit si nécessaire à cause des enfants. Toutefois, au lieu de cela, le Synode du Malheur entretiendra l'idée énoncée à l'alinéa 123 (traduction par Rorate Caeli) :

D'autres, en ce qui a trait à la voie pénitentielle, se proposent de faire une démarche de clarification et d'une nouvelle direction accompagnés par un prêtre délégué après avoir connu l'échec. Cette démarche devrait conduire l'intéressé à un jugement honnête de son propre état, au cours duquel le même prêtre peut en arriver à une évaluation sur la manière de faire usage du pouvoir de lier et de délier la situation d'une manière appropriée.

De qui les conspirateurs qui infestent le Synode du Malheur pensent-ils rire ? Dans un langage simple, cette proposition, si adoptée, signifierait que tout curé pourrait absoudre tout couple vivant dans un état d'adultère continu de péché mortel et les admettre à Communion et ce, sans aucun changement dans leur manière de vivre en adultères, après une « évaluation » qui ne serait rien de plus que la permission de continuer à pécher mortellement tout en recevant le Saint-Sacrement.

Nous devons nous rappeler que François lui-même a personnellement accordé à deux femmes — Jacqueline Lisbona et Claudia Garcia Larumbe — sa « permission » personnelle de faire précisément ce que ce paragraphe 123 permettrait partout dans l'Église : à savoir prendre part à la Sainte Communion tout en vivant en état d’adultère. Nous devons aussi nous rappeler que c’était François qui a promu la proposition Kasper en premier lieu en invitant celui-ci à s’adresser à la réunion préparatoire du Synode au cours de laquelle il fut le seul présentateur.

Le Synode du Malheur approche. Nous devons prier le Saint-Esprit qu’il protège l'Église de cette parodie que François a conçu et mis en branle, là où les Conservateurs vont débattre avec les Modernistes sur l'opportunité de détruire l'édifice moral de l'Église.

Notre-Dame de Fatima, intercédez pour nous !

jeudi 25 juin 2015

Quelques idées pour parler du Ciel aux tout petits

Ingrédient requis pour la préparation

Il vous faudra beaucoup d'humilité !

Vos petits bouts de chou ont une compréhension de l'Infini plus élevée que la vôtre.

Il vous faudra reconnaître que tout ce dont parlerez est plus grand que vous : en amour, en sécurité, en protection, en affection et... (oui hélas !) en sainteté !

Ça ne sert à rien de parler du Ciel si vous ne vous ne mettez pas au second rang... par rapport au Ciel.

Les anges gardiens

Les anges gardiens ont un trait commun avec le vent : ce n'est pas parce qu'on ne les voit pas qu'il n'y en a pas. Ce n'est pas non plus parce qu'on ne les entend pas avec nos oreilles qu'ils ne nous parlent pas.

Vous hésitez à me croire ?
Faites ce test... sérieusement et avec foi
Pas facile de faire confiance
et de perdre ses anciennes habitudes...

Demandez à votre ange gardien de vous réveiller demain matin à la bonne heure qu'il vous faut pour vaquer à vos occupations.
N'UTILISEZ PAS VOTRE CADRAN POUR DEMAIN

Ne soyez surtout pas déçus de votre ange gardien s'il vous réveille un tantinet plus tôt ou plus tard. Vous verrez bien avec le déroulement de votre journée qu'il avait finalement de bonnes raisons de vous réveiller à cette heure.

Mais il vous est aussi utile pour trouver une place de stationnement de votre véhicule ! Juste un petit mot pour lui demander ce service et ça peut être très efficace... surtout à Paris, Lyon, Marseille ou Montréal ! Qu'avez-vous à perdre de l'essayer ?

Mais si vous pouviez imaginer quelles plus grandes responsabilités vous pourriez lui confier ! Par exemple, vous redoutez de rencontrer une personne qui vous est inamicale depuis toujours et vous lui demandez d'aller lui porter le Paix du Seigneur avant de la rencontrer... Vous serez surpris des résultats de la rencontre...

L'ange gardien est d'une aide précieuse en tout dans la mesure où on lui demande des choses justes.

Oui mais comment ça marche ?
Soyons ici humbles et convenons que le Ciel, les anges gardiens inclus, possèdent des mécanismes de communication qui sont de 15 000 ans en avance sur nous, les humains.

Loin d'être spécialisé dans ce domaine, disons qu'ils agissent par « motion » sur notre esprit. NE CONFONDEZ SURTOUT PAS CELA AVEC LA NOTION D'« INTUITION » SI CHÈRE AUX DAMES. Ce n'est pas perceptible et ça ne relève pas des sens... aucunement. Ça ne touche pas notre pensée non plus, là où peuvent siéger les intuitions. Non, ça influence directement notre esprit. Mais c'est garanti que vous vous lèverez à l'heure qui vous est requise !

Revenons aux petits bouts de chou

Mathieu 11, 25 : En ce temps-là, Jésus s'écria : « O Père, Seigneur du ciel et de la terre, je te remercie d'avoir révélé aux petits ce que tu as caché aux sages et aux gens instruits.

Ce passage de l'Évangile nous donne une autre bonne raison d'être humbles. Le petit bout de chou dont vous êtes le papa, la maman, le grand-papa ou la grand-maman en sait plus que vous ! Et ce n'est pas moi qui le dit. Mais ce qu'il sait ne relève de l'ordre livresque ou expérimental...

Nous n'entretenons pas la connaissance que nos petits bouts de chou possèdent. Au contraire, nous l'étiolons dans le temps avec des contes profanes à n'en plus finir. Voici donc quelques petits conseils pour entretenir et développer cette connaissance chez les petits ;

Quelques petites recettes

Une très petite statue d'un ange gardien sur sa table de chevet (mais faites-la bénir absolument, il ne faut pas verser dans le Nouvel Âge)

Au lever/coucher, dites bonjour/bonsoir à l'Ange gardien avec votre petit et demander à l'Ange gardien de le protéger pour la journée/nuit

Achetez aux puces ( assez facile à trouver...c'est rendu tellement démodé ! ) des livres pour enfants portant sur les Anges gardiens ou sur des scènes imagées de la Bible. Ça se donne bien en cadeau à moins que vous soyez un Chrétien « confortable (voir ici) » !

Lorsqu'il en est à ses premières tentatives dans quelque chose, l'inviter à demander l'aide de son ange gardien.

Vous ne pouvez pas imaginer jusqu'à quel point ces petits actes procurent de la sécurité à des petits bouts de chou parce qu'ils ressentent que tout ce que vous faites est VRAI. N'oubliez pas : Jésus a dit que les choses du Ciel leur sont révélées alors que les sages et les gens instruits n'y comprennent que dalle. Ça vaut bien des thérapies ou des nounous sans foi.

Maman Marie


Le Manteau protecteur de Marie
C'est bien important

Les petits bouts de chou sont très sensibles et aussi très fragiles. Ils n'ont pas la force d'un adulte et ils le savent. D'où leurs craintes fréquentes concernant tout et rien. Mais aussi leur innocence vis-à-vis des choses qu'ils devraient craindre. C'est bon de leur dire que Maman Marie possède un très grand manteau et, lorsqu'on s'y réfugie dessous, rien ne peut nous arriver. On peut demander même à notre ange gardien de nous y conduire.

On peut ajouter que même quand papa ou maman sont affairés à quelque chose, Maman Marie, Elle, est toujours là si, bien entendu, on se réfugie sous son Grand Manteau. Voici un bel exercice d'humilité pour les parents : admettre que Marie protège plus et toujours par rapport à nous parfois. C'est ce qu'on peut appeler se mettre « au deuxième rang ».

Mais une telle admission de notre part procure chez l'enfant un plus grand sens de sécurité que si l'on se restreignait simplement à dire que nous, les parents, sommes les seuls à les protéger.

Ce qui est bien apprécié
par les tout petits...

Avis aux grand-parents...

Si vous pouvez mettre la main sur une statuette phosphorescente, vous ferez un très grand plaisir à vos petits enfants.

Le soir, les enfants aiment bien s'endormir en toute sécurité en fixant leur Maman du Ciel. La couleur verte irradiante les fascine et les calme.

Il n'est pas rare de voir les enfants, quand ils avancent en âge, balbutier quelques mots à leu Maman du Ciel sous les couvertures illuminées.

Ils leur racontent leur journée, leurs peines et leurs misères.

L'éclairage vert phosphorescent sous leur couverture leur donne l'impression d'être sous une tente.

Saviez-vous que, parfois, ils conteront des choses à Maman Marie que même leur maman terrestre ne sait pas ?

C'est encore ça d'accepter d'être au deuxième rang !

N'oubliez pas de la faire bénir.



Quelques histoires sur Marie Enfant
Tirées de mémoire de Marie d'Agreda et de Maria Valtorta

Marie va voir Jésus au Ciel à 2-3 ans !
Mais comment donc ?

Vous savez que c'est Jésus qui fut le premier à ouvrir les Portes du Ciel aux âmes humaines tout de suite après son Ascension. Il était normal en effet que le Premier Né d'entre les morts et le Fils de Dieu ait cet honneur.

Depuis Adam jusqu'à l'Ascension de Jésus, les bonnes âmes humaines étaient « aux Enfers » comme l'affirme notre Credo. Personne n'avait pu entrer au Ciel. C'est à distinguer de l'enfer proprement dit. Jésus, à Sa Mort, était allé visiter ces âmes pour leur demander une très petite patience (quelques 42-43 jours jusqu'à son Ascension) afin de les quérir pour le Ciel lorsqu'Il reviendrait. La jubilation était à son comble aux enfers, il va sans dire.

Or, il y a une exception à tout cela : c'est Marie ! Selon Marie d'Agreda, et elle en parle abondamment, Marie, comme Elle était sans péché, qu'Elle était l'Immaculée, il arrivait à Dieu de vouloir voir Son Chef d'Oeuvre de la Création. Dieu procédait selon deux façons distinctes : soit qu'Il envoyait des anges rapatrier l'esprit de Marie pour le ramener au Ciel afin d'échanger avec Elle, soit qu'Il envoyait un ange dans son lit et cet ange prenait la forme exacte de Marie tandis que d'autres anges transportaient corps et âme Marie au Ciel.

Voilà pourquoi on peut affirmer que Marie vit Son Fils avant même d'accoucher de Lui !

Marie fait du ménage à la maison à 2-3 ans !

Marie n'avait pas encore trois ans qu'elle passait le balai dans la cuisine pour aider sa maman Anne. Anne lui dit lorsqu'elle l'a surprise à passer le balai : « Mais, ma chérie, le balai est beaucoup trop grand pour toi, tu ne devrais pas balayer la cuisine. Alors Marie remisa le balai. Mais dès que sa maman avait le dos tourné, elle en profitait pour passer à nouveau le balai. De fait, Marie se trouvait assez grande pour aider sa maman !

Maintenant, voici des petites histoires sur la sainteté de Marie
que vous aurez peut-être de la difficulté à digérer
mais qui ne surprendront pas votre enfant qui est saint.

Ne me touchez pas !

Il y avait une grande fête chez Anne et Joachim, les parents de Marie, à l'occasion de son anniversaire de naissance. Elle avait deux ou trois ans. Parents et amis, tous y étaient. Et Marie était tellement belle que tous les invités voulaient l'embrasser. Elle s'y refusait. La plupart des gens respectaient ce souhait de sa part. Mais une ou deux personnes insistaient... C'est alors qu'elle leur dit ( à si bas âge ) qu'« il ne fallait pas offenser le Temple de Dieu ».

Marie ne reverra plus jamais ses parents à 3 ans

Cette histoire va vous déchirer le coeur
Pourtant c'est ce qui s'est passé
Comparez nos sentiments d'adultes avec celui d'un enfant...

CONTEXTE :

Anne était très âgée. Elle n'avait jamais eu d'enfant. C'était très mal vu dans la société juive de l'époque. Une mauvaise femme, quoi, à qui il ne fallait surtout pas parler.

À l'occasion de la Fête des Huttes (ou des Tentes), tous les Galiléens dont elle faisait partie allaient fêter au Temple de Jérusalem pendant plusieurs jours. Au dernier jour avant leur départ, elle insista auprès de son mari, Joachim, pour aller prier une dernière fois au Temple. Devinez quoi ? Eh oui, c'était pour demander au Seigneur un enfant. Et, en retour, elle lui promettait de lui CONSACRER cet enfant. ( Le terme « consacrer » veut dire « mettre à part ». Dans ce cas-ci, si Anne a un enfant, elle promet de mettre cet enfant « à part pour Dieu ». ) ». Elle eut cette forte, très forte impression de Dieu que sa demande serait exaucée.

On sait le reste. Elle enfanta Marie, la Mère du Christ.

L'histoire commence ici :

Marie a trois ans. Anne l'a habillée de sa plus belle robe et lui a mise des fleurettes dans ses cheveux. La petite famille est à Jérusalem. Elle arpente les rues vers le Temple. Anne, Joachim pleurent, pleurent. Marie tient la main des deux et est joyeuse. Pourtant, Anne a bien pris soin de dire à Marie qu'ils allaient la reconduire au Temple et que, par la suite, ils ne se reverraient plus jamais.

Marie était heureuse : Elle s'en allait vivre dans le Temple de Dieu.

La sainteté des enfants peut nous surprendre. Pas facile pour nous de faire l'adéquation entre notre immense peine et leur joie. C'est qu'ils voient des choses que nous ne voyons plus...

Marie restera au couvent du Temple jusqu'à 14 ans. Lorsqu'elle sortira , ses parents seront décédés et elle sera promise à Joseph en mariage. Elle n'a eu rien à décider dans ce choix.

Parfois lorsqu'on pleure des bonnes personnes qui sont décédées, ne devrions-nous pas être joyeux, nous aussi, de les savoir à un meilleur endroit que le nôtre ?

Et, en un aparté succinct ici, qui a fait la classe à Jésus en matière biblique ? Vous souvenez-vous de l'étonnement de certains scribes et pharisiens qui se faisaient démonter par Jésus et qui se disaient : « Mais où a-t-il appris toutes ces choses ? ». La réponse est en partie due au fait que Marie a étudié pendant 11 ans la Bible au Temple et qu'elle a fait la classe à Son Fils. Mais je ne veux pas sous-estimer ici l'omniscience de Jésus en tant que Dieu. Admettons tout de même que ça n'a pas dû nuire...

Passons à Jésus maintenant... La Crème de la crème...

Quelques histoires sur Jésus Enfant
Tirées de mémoire de Marie d'Agreda et de Maria Valtorta

Soyons chronologiques ici, partons de sa naissance.

La première Transfiguration de Jésus

Mettez-vous à la place de Joseph : Marie lui apprend que sa cousine Élisabeth est enceinte, elle que l'on traitait de « vieille stérile. Marie lui dit que c'est un ange qui lui a appris cela. Elle ne lui dit pas que le Saint-Esprit l'a fécondée toutefois. Joseph approuve Marie d'aller aider Élisabeth. Huit jours plus tard donc, Marie arrive chez Élisabeth. Elle y restera jusqu'à son accouchement c'est-à-dire trois mois durant.

Marie revient ensuite chez Joseph à Nazareth avec... un petit ventre ! Pas facile pour un homme de prendre cela. Marie ne lui donnera aucune explication ! Marie se fie à Dieu pour cela. Que toute cette situation est différente de nos façons de faire ! C'est manifestement une foi forte qui fait cette différence.

Bon... on connaît un peu la suite : un ange apparaît en songe à Joseph et lui explique la situation. Mais entre la constatation que Marie était enceinte et le fameux songe de l'ange, il s'est passé plusieurs jours où Joseph était très taciturne à la maison. Il avait même préparé ses valises pour quitter Marie la veille au soir de son songe car, s'il restait, la loi juive aurait obligé Marie à être lapidée. Il sauvait la vie de Marie en quittant le domicile.

Bon... je vous épargne les détails de la longue marche entre Nazareth et Bethléem (34 heures à pied ou 163 km); Marie a insisté pour être du voyage alors qu'elle était près d'accoucher. Mais elle avait bien appris ses Écritures : « Et toi, Bethléem ephrata, tu ne seras pas la moindre... ». Elle savait que le Messie devait naître à Bethléem selon la prophétie. Joseph accepta finalement de l'emmener à l'enregistrement obligatoire au recensement commandé par l'Empereur de Rome.

Mais pourquoi donc Dieu qui est si Puissant n'a pas pensé à faire fouler une cheville d'un autre voyageur, l'empêchant ce jour-là de se rendre à Bethléem et qui aurait ainsi laissé libre une chambre d'hôtel ? Réponse : est-ce que les mamans qui accouchent dans les bidonvilles de la terre se seraient identifiées avec un Messie qui naît dans un hôtel ? « Il n'est pas pauvre comme nous, Il ne peut pas nous comprendre » se diraient-elles.

Il faudrait bien parler de la Transfiguration, n'est-ce pas ?

On est dans l'étable. Marie et Joseph adorent Jésus. La Sainte Famille est seule. Les Bergers n'y sont pas. Soudainement, le petit bébé Jésus devient d'une blancheur pure irradiante...

Marie d'Agreda pense que cette Transfiguration représente comme une confirmation pour Joseph que sa foi ne l'a pas trompé tout au long des semaines qu'ont duré ces incertitudes. C'est une récompense aussi d'avoir cru.

La fuite en Égypte
Les Temples égyptiens s'écroulent !

Bon c'est simple, Joseph était très pratique même s'il était très saint ( ça devrait nous encourager ! ), il prit l'or qu'avaient donné les rois mages pour acheter un charrette et une mule lorsqu'il apprit par songe qu'il leur fallait déguerpir subito presto.

Jésus avait tout juste un an ou un peu plus. Ils se sont rendus jusqu'à Héliopolis près du Caire. 450 kilomètres de désert, de chaleur, de froid, de manque d'eau, de tout quoi.

Pour s'y rendre, ils traversèrent beaucoup de villages et de villes en chemin. L'Égypte était réputée pour ses temples dédiés à des faux dieux. Souvenez-vous maintenant d'une phrase de l'Ancien Testament : « Dieu est jaloux ». Ce qui veut dire que Dieu n'accepte pas que de faux dieux prennent Sa place.

Or, il s'est adonné qu'à tous les endroits où il y avait un temple dédié à une fausse divinité, celui-ci s'écroulait dès que la Sainte Famille avait franchi sa frontière !

Morale : Jésus était déjà conscient du bien et du mal à cet âge comme le sont nos propres bout de chou. Et Il avait la Puissance d'agir.

Jésus fait des bateaux avec des blocs de bois

Pas facile pour Marie et Joseph de s'adapter à leurs nouvelles conditions de vie. Est-ce que ça ne vous fait pas penser à tous ces migrants de l'Afrique du Nord qui, s'ils réussissent à traverser la Méditerranée, accostent en Italie, Grèce ou ailleurs ?

Il leur fallait apprendre la langue, se trouver un emploi en ce qui concerne Joseph, trouver un logement décent... On néglige trop ces facteurs de vie de la Sainte Famille. Encore ici, la Sainte famille peut servir de modèle aux migrants actuels, elle a passé, elle aussi, par là.

Un jour, dans un tel contexte, Jésus est surpris à l'âge d'environ deux ans environ à jouer avec des blocs de bois sur le sable devant la maisonnette. Il s'imaginait dans son jeu que ses blocs de bois étaient des bateaux !

En une autre occasion, c'est Joseph qui arrive à la maison à la fin de son quart de travail avec un genre de toupie comme jouet pour Jésus. En approchant de Jésus, il lui fait miroiter le jouet au grand plaisir de Jésus. Joseph est heureux de voir Jésus heureux et sourire.

Un jeu de Jésus qui crève le coeur à Marie

Jésus est plus vieux. Il a appris à socialiser. Il a des petits amis dans son quartier. Ils sont justement en train de jouer un jeu ensemble dans la cour arrière de la maisonnette de la Sainte Famille. Jésus fait un grand roi, certains sont ses alliés et d'autres sont ses ennemis. Maman Marie est à l'intérieur mais en bonne Maman, son oreille est toujours tendue.

À un moment donné, Jésus dit : ( ma mémoire est un peu floue ici mais le sens y est ) « Je suis prêt à mourir pour sauver la vie à mes alliés ».

Maman Marie a bondi sur le perron demandant instamment à Jésus de ne plus jouer à ce jeu-là parce que ça lui crevait trop le coeur.

Au moins deux raisons expliquent l'attitude de Marie :

  • Souvenez-vous de ce que le vieux Siméon avait dit à Marie lorsque Joseph et Marie étaient allés présenter Jésus au temple : « Quant à toi, Marie, la douleur te transpercera l'âme comme une épée. » Avez-vous déjà pensé à ce contexte ? C'est comme vous qui sortiriez d'une pouponnière avec votre nourrisson et que la parenté et des amis vous attendent. Un de ceux-là regarde l'enfant et vous regarde et dit : « Cet enfant va te crever le coeur plus tard ». La force morale de Marie est vraiment extraordinaire : elle s'en remet toujours à Dieu non sans souffrir par contre...
    Alors le jeu de Jésus ravivait cette prophétie chez Elle.
  • Un des conséquences que Marie soit Immaculée, i.e. sans péché aucun, pas même à sa conception, c'est qu'elle possède la science infuse, i.e. savoir quelque chose sans avoir besoin d'étudier. Quelque soit le domaine, Marie le connaissait.

    Ainsi donc, lorsqu'elle était au couvent des jeunes filles au Temple, il lui arrivait d'interpréter des passages des Saintes Écritures à ses enseignants. Elle comprenanit toutes les prophéties !

    Or, l'Ancien Testament abonde en prophéties sur la Mort et la Résurrection du Christ. De fait, toute la fin de vie et la Résurrection de Jésus y est décrite. Marie savait donc qu'on « ne lui briserait aucun os », qu'une épée le transpercerait, etc...

    Tellement vrai que tout était prophétisé relativement au sort de Jésus que Lui-Même utilisa uniquement ces prophéties pour expliquer le déroulement de ce qui venait de se passer aux disciples d'Emmaüs. Et leurs yeux s'ouvrirent.

Que Dieu bénisse les bien intentionnés
qui désirent développer la foi
chez leurs tout petits
Une foi que ces petits ont déjà
et que l'on réprime trop souvent
avec nos têtes de « gens instruits »