lundi 15 juin 2015

La situation est hors de contrôle

C'est officiel

François nous a demandé d'aller aux périphéries et il lui faut nous donner l'exemple. Après avoir pris l'initiative personnelle d'inviter un couple transsexuel, après avoir invité une dame qui se plaît à dire qu'elle a effectué plus 10 141 avortements, voilà ici que François accueille une femme Archevêque qui bénit des mariages gais, qui prône l'avortement et qui ordonne des femmes prêtres.

Les thèmes centraux de son pontificat sont la compassion et la miséricorde. Mais pour que celles-ci soient accordées, ne faut-il pas une repentance et un profond désir d'amender sa vie ? Tous ces gens ont-ils changé de vie après leur rencontre ? Valait-il vraiment la peine d'être compatissant et miséricordieux au point de les rencontrer ?

Faisons simple : Jésus aurait-il demandé à voir la Femme adultère ?

Mais c'est peut-être à ce prix que nous tendrons vers l'Église unique et universelle. Qu'en pensez-vous ?

Comme disait Anna Catherine Emmerick en 1820 dans sa vision des deux papes qui co-existaient : « des hérétiques de toutes sortes venaient dans la ville (de Rome) ».

François reçoit la Dame « Archevêque »
Chef dingue de l’« Église » luthérienne de Suède
l'appelant
« Estimée Sœur ».


Source :
The Remnant (cliquez ici)

Alors que François continue à faire ce qu'il veut et à dire ce qu'il lui plaît, à dire même quand il est conscient que « cela puisse paraître ... hérétique », l’impression que l'Église a « perdu sa boussole » et est maintenant « un navire à la dérive » comme l'a noté le Cardinal Burke continue à se répandre parmi les fidèles et chez un nombre croissant de prêtres, d’évêques et de cardinaux.

Le mois dernier, dans un développement qui a reçu relativement peu de couverture au-delà de Radio Vatican (et qui a complètement échappé à mon attention jusqu'à aujourd'hui), la situation a atteint un nouveau niveau de détérioration extrême : François est devenu le premier Pape à recevoir au Palais Apostolique en audience privée une dame « Archevêque » qui dirige la soi-disante Église luthérienne de Suède. François a adressé à cette femme absurde prétendant à l'épiscopat, un Antje Jackelen, qui signifie « Estimée Mme Jackelen, Estimée Sœur ... »

L’ « Église de Suède » clairement satanique effectue des « mariages » de même sexe entre sodomites, cautionne l'avortement, la contraception et le divorce, et prétend ordonner de façon routinière des femmes comme « prêtres » de telle sorte que dans l’ « Église de Suède » aujourd'hui, plus de 45 pour cent sont des femmes prêtres et aussi il faut ajouter que les femmes constituent la majorité de ceux qui étudient pour devenir prêtres ».

Lors de sa rencontre sympathique avec la fausse dame évêque, François a prétendu ne pas remarquer qu’elle était une fausse dame évêque présidant une Église en faveur de l’avortement, qui se moque diaboliquement du Sacrement de l'Ordre et de celui du Mariage. Au lieu de cela, il a partagé avec son « Estimée Sœur » ses douces attentes pour la Commémoration du 500e anniversaire du « Début de la Réforme », qui signifie le début de la révolte de Luther en 1517 — à laquelle commémoration, le Vatican participera de façon tout incroyable. François a déclaré son espoir que la « Commémoration » de la révolte protestante « puisse encourager les Luthériens et les Catholiques à prendre de nouvelles mesures en vue de la pleine unité de vie sacramentelle et du ministère ecclésial. »

D'autres étapes vers l'unité ? Est-ce une blague ? Les disciples de Luther se sont toujours éloignés de plus en plus loin de toute possibilité d'unité avec les Catholiques en proportion précise avec la longueur de temps de la désastreuse « aventure œcuménique » qui continue de les confirmer dans leurs erreurs qui se multiplient.

Quel est-ce c’est sinon de la pure folie qui nous confronte maintenant ? Où sont les cardinaux et les évêques qui ont le courage de se lever en opposition ouverte avec ce Pape et défendre l'Église contre ses abus et ses scandales quasi quotidiens ? Juste pour avoir délivré une série de sermons qui plaidaient contre le caractère immédiat de béatifier des bienheureux qui venaient juste de quitter le purgatoire, Jean XXIII a été dénoncé publiquement par des prélats et de théologiens et il y avait même des appels à un Concile pour le condamner pour cause d’hérésie.

En tant que membres laïcs, nous ne pouvons rien sauf protester contre les paroles et les actes de François que nous devons certainement faire en accord avec notre vœu de Confirmation d’être des Soldats du Christ. Mais il y a seulement les membres de la hiérarchie supérieure qui, concertée et en opposition immédiate, a quelque chance de maîtriser ce pontificat qui est clairement hors-de-contrôle et qui puisse limiter des dégâts supplémentaires au Bien commun de l'Église. Pour les prélats qui connaissent la gravité de notre situation et qui l’admettent, je dois demander : qu'est-ce que vous attendez ?

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