Vous lirez à la suite la critique d'une dame assez futée merci sur l'encyclique Laudato Si.
Par opposition, et la suite de sa critique, vous lirez les louanges de Ban Ki-moon et de Obama concernant la même encyclique.
J'ai voulu vous fournir une certaine lorgnette pour lire ces deux textes opposés. Peut-être que je suis un peu hors-champ de vous suggérer cet extrait d'une locution de notre Maman, mais je crois qu'elle est appropriée aux circonstances... À vous d'en juger...
« Dans chaque événement et dans chaque acte posé
par les dirigeants des puissances mondiales,
la Marque de la Bête peut être trouvée. »
Maman Marie à la voyante Luz de Maria
Le 23 mai 2015 Le Nul, tellement Nul, s'est posé la question sans y trouver de réponse : est-ce que la prochaine conférence portant sur le Traité sur le Climat de Paris en novembre prochain faisait partie des événements mentionnés par notre Maman ?
Le Nul est demeuré très perplexe à lire les deux articles contradictoires qui suivent. Il s'est demandé s'il devait suivre le « Grand Monde » ou le « petit monde ». Très embêtant pour lui...
d'Elizabeth Yore
Procureure international des droits de l'enfant.
En tant que membre de la délégation de l'Institut Heartland qui se rendit à Rome pour exhorter le Vatican à reconsidérer son adhésion et son adoption de l’agenda radical des Nations Unies sur le Développement Durable, l’Encyclique Laudato Si du Pape François valide mes plus grandes craintes.
Au cours des deux dernières années, en préparation au dévoilement de l'encyclique, le Vatican a compté uniquement sur les alarmistes du réchauffement climatique pour en arriver à la hâte à son jugement afin de répondre aux échéances de 2015 des Nations Unies sur les Objectifs de Développement Durable. De plus, pendant ce processus, le Vatican a principalement consulté et continue de compter sur des partisans radicaux du contrôle de la population qui exploite la science discréditée du changement climatique pour justifier leurs politiques extrémistes de réduction de la population sous le rubrique subtile de « santé sexuelle et reproductive de l’ONU ».
Au lieu d'accueillir notre désapprobation cordiale des experts papaux qui promeuvent des politiques en contradiction directe avec l'enseignement moral catholique, les autorités vaticanes se sont moquées et ont tourné en ridicule nos objections sérieuses et fidèles en nous appelant des « Tea Partiers » ( parti d’extrême droite aux USA ) et des « négationnistes ». Cette réponse insensible et désinvolte a dévoilé l'agenda politique du Vatican.
La publication de Laudato Si fournit l'autorité morale attendue depuis longtemps pour une stratégie environnementale de l'ONU immorale et radicale afin de réduire la population mondiale à travers les tactiques articulées de développement durable sur l'avortement, la stérilisation et d'autres services de santé sexuelle et reproductive. Ironiquement, le Vatican a maintes fois surexprimé l’espoir que l'encyclique serait utilisée pour promouvoir les objectifs de Développement Durable des Nations Unies qui doit se tenir en septembre et ceux sur le Traité sur le Climat de Paris en Novembre.
En Janvier 2015, l'administrateur de l' Agence de Protection de l’environnement des États-Unis ont rencontré des responsables du Vatican de haut niveau pour coordonner cette encyclique avec la réglementation et les politiques environnementales de l'administration Obama. Dès les premiers stades de cette alliance contre nature, le Vatican, l'administration Obama et les Nations Unies ont étroitement coordonné avec leurs experts biaisés leur message alarmiste et leurs politiques radicales afin de fabriquer une crise climatique et de promouvoir ainsi un nouvel ordre mondial radical.
Le plus grand danger pour l'environnement mondial et la survie de l'humanité est la promulgation continue de l'avortement dans le monde entier. Comme nous avons souvent averti le Vatican, l'encyclique du Pape sera utilisée par les Nations Unies pour poursuivre sa domination mondiale sur l'avortement comme moyen de contrôler la population du monde en utilisant la fausse science du réchauffement planétaire et de son accompagnement des tactiques alarmistes pour intimider, contraindre et inciter les pays en voie développement à recourir à des politiques qui réduisent la fertilité des personnes pauvres et qu’elles avortent leurs enfants. Nonobstant la langue pro-vie standard dans le document, cette encyclique sera citée comme la plate-forme morale pour le mouvement radical de contrôle de la population des Nations Unies intégré dans les Objectifs de Développement Durable.
Ceci est la nouvelle religion mondiale de l'environnementalisme qui est promu par l'Eglise catholique.
SOURCE : THE REMNANT NEWSPAPER
à tenir compte du message du Pape François
Article du Catholic Herald
| Petites questions avant de lire... Quelle est la sincérité des personnes que vous allez lire ? Environ 50 millions d'avortements par année dans le monde |
Le président américain salue l'intervention du Pape comme « clair et puissant ».
Le président des États-Unis a dit qu'il veut que les autres dirigeants mondiaux réfléchissent à l'encyclique du Pape François.
Laudato Si, publié hier, appelle l'humanité à modifier son approche de l'environnement et sur façon dont il juge son progrès.
Barack Obama a parlé de la responsabilité que sa propre fonction apporte d'ouvrir la voie vers un changement dans la politique de l'environnement mondial.
« Je me réjouis de l’encyclique de Sa Sainteté le Pape François et j’admire la décision profondément du Pape de faire état de la cause — de toute évidence, puissamment et avec l'autorité morale de sa fonction — en faveur de l'action sur le changement climatique mondial » a-t-il dit.
« Comme nous nous préparons pour les négociations mondiales sur le climat à Paris en décembre, c’est de mon espoir que tous les dirigeants du monde et tous les enfants de Dieu pourront réfléchir sur l'appel du Pape François de se réunir pour prendre soin de notre maison commune.
« Nous avons une responsabilité profonde de protéger nos enfants, et les enfants de nos enfants, contre les effets néfastes du changement climatique. »
En septembre, le Pontife se rendra aux États-Unis pour la première fois.
Son voyage débutera à Washington où il rencontrera Obama et prendra la parole devant le Congrès.
Le sentiment d'Obama a fait aussi écho auprès du Secrétaire Général des Nations Unies, Ban Ki-moon.
Il a dit qu'il croyait qu’un « nouveau dialogue » devait être ouvert en ce qui concerne l'avenir de la planète. Il a dit : « C’est une question de justice sociale, des droits humains fondamentaux et de l'éthique. »
Ban Ki-moon s’adressera à l'Assemblée Générale des Nations Unies en septembre pour célébrer le 70e anniversaire de l'organisme.
Une déclaration faite par un porte-parole des Nations Unies a dit : « Le Secrétaire Général demande donc instamment aux gouvernements de placer le bien commun mondial au-dessus des intérêts nationaux et d’adopter un accord climatique ambitieux et universel à Paris cette année.
« Le Secrétaire Général salue les contributions de tous les chefs religieux et des personnes d'influence à répondre au défi climatique et à renforcer le développement durable. »
SOURCE : Catholic Herald
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