par Christopher A. Ferrara
SOURCE : Fatima Perspectives Network
Le 23 février 2017
François ne montre aucun signe de laisser tomber sa demande pour un accommodement apparemment illimité de « réfugiés » dont la grande majorité sont des hommes Musulmans d'âge militaire, alors que lui-même réside dans une enclave entourée d'une petite armée de gardes de sécurité. Entre-temps, comme l'indique Robert Spencer, les conséquences en Europe et aux États-Unis ont été mortelles. Empruntons de son résumé des événements récents sur son important site Web du Jihad Watch (Veille Jihadiste] : |
|
Le migrant Musulman Somalien Mohammad Barry a poignardé plusieurs clients dans un restaurant appartenant à un Chrétien Arabe Israélien en février 2016; Ahmad Khan Rahami, un immigrant Musulman Afghan, a lancé en septembre 2016 des bombes à New York et au New Jersey ; Arcan Cetin, un émigré Musulman Turc, a assassiné en septembre 2016 cinq personnes dans un centre commercial à Burlington, Washington ; Dahir Adan, un autre Musulman Musulman Somalien, en octobre 2016, a poignardé des acheteurs dans des centres commerciaux à St. Cloud [Minnesota] en criant « Allahu akbar » ; Abdul Razak Artan, encore un autre Musulman Somalien, en novembre 2016, a blessé neuf personnes avec une voiture et des attaques au couteau à l'Ohio State University ; 72 terroristes du Djihad sont venus aux États-Unis des pays énumérés dans l'interdiction d'immigration de Trump ; Tous les Dihadistes qui ont assassiné 130 personnes à Paris en novembre 2015 venaient d'entrer en Europe comme réfugiés. [sauts de paragraphe et points ajoutés]
Et ce n'est que la pointe d'un iceberg terroriste Islamique. « En février 2015, l'État Islamique se vantait d'inonder bientôt en Europe jusqu'à 500 000 réfugiés » alors que « le ministre libanais de l'Éducation a déclaré en septembre 2015 qu'il y avait 20 000 Djihadistes parmi les réfugiés dans les camps de son pays » et Patrick Calvar, responsable de l'agence de renseignement interne de la DGSI en France, a déclaré en mai dernier que « l'État islamique utilisait des itinéraires migratoires dans les Balkans pour faire entrer les Djihadistes en Europe ».
Pourtant, apparemment insensible à tout argument rationnel pour limiter strictement l'immigration des « réfugiés » Musulmans, en particulier des hommes d'âge militaire, François continue de façon démagogique à attribuer de telles restrictions, y compris celles lancées par l'administration Trump, à une attitude maligne de « rejet, enraciné finalement dans l'égocentrisme et amplifié par la rhétorique populiste ... »
Antonio Socci a pris connaissance de cette obsession Bergoglienne apparente concernant la question de l'immigration :
« Bergoglio parle constamment d'un sujet : l'immigration. À Pâques et à Noël, à Santa Marta et dans les discours qu'il donne au monde entier. Même à l'Université [de Rome], il y avait des signes du énième discours sur l'immigration ».
« À présent, dans le Bergoglianisme, Dieu a été remplacé par des migrants. Le Corps du Christ, mort et ressuscité, par celui du migrant ».
Socci soutient cependant qu'il ne s'agit pas d'une obsession mais d'une « nouvelle idéologie » et « d'une nouvelle religion qui finit par remplacer le Catholicisme duquel Bergoglio élimine les fondements comme les Sacrements et la Doctrine ».
Socci poursuit en disant que l'idéologie quasi-religieuse plutôt que la pensée rationnelle est démontrée par le fait qu'il n'y a pas d'élaboration culturelle dans son discours, pas même un développement sociologique. Il n'y a que des bavardages de bar, un mélange de démagogie péroniste et de sentimentalisme. Bergoglio parle en slogans, en platitudes (toujours les mêmes), en banalités sans fondement.
Alors, qu'est-ce que c'est vraiment ? Socci cite l'analyse d'Ettore Gotti Tedeschi, que le Pape Benoît XVI a rendu responsable de l'Institut pour les Ordres Religieux, la soi-disant Banque du Vatican (une position dont il a été évincé en 2012). Tedeschi soutient que le motif derrière l'idéologie des « frontières ouvertes » est :
« un désir de modifier la structure sociale et religieuse de notre civilisation, en pratique pour refaire le Catholicisme, religion absolue, dogmatique, fondamentaliste, telle que jugée par la culture dominante « politiquement correcte » d'aujourd'hui, qui exige dans le monde globaliste une culture homogène et, peut-être, une seule religion universelle, une religion très séculaire, un type de Luthéranisme, ou mieux, une religion très gnostique, une sorte d'écologisme.
Ces éléments, soutient Socci, sont proéminents dans ce qu'il appelle le Bergoglianisme. Ce sont essentiellement des éléments du « Nouvel Ordre Mondial, qui avait son centre idéologique impérial dans l'administration Obama / Clinton et à l'ONU », y compris « une religion écologiste fanatique » et des « frontière ouvertes pour l'Islam (avec l'interdiction d'Obama de parler de « terrorisme Islamique » toujours respecté par le Pape Bergoglio).
Socci conclut :
« Il est facile de voir que ce sont précisément les piliers idéologiques du Pontificat du Pape Bergoglio, initié précisément au cours de l'époque d'Obama ». Des paroles fortes à l'appui d'une accusation sérieuse. Mais l'acte d'accusation de Socci n'a-t-il pas le sceau de la vérité, compte tenu de notre expérience avec un Pontificat comme aucun autre dans l'histoire de l'Église ?
Notre Dame de Fatima, priez pour nous !
Aucun commentaire:
Publier un commentaire