jeudi 10 mars 2016

Réponse




Oups !
Il a tout faux !
Il est justement dans l'erreur !


Cette citation est de Mgr Wojtila, évêque de Cracovie et futur Pape Jean-Paul II. Elle explique peut-être sa carrière et son comportement ( du moins son oecuménisme étriqué qui l'emmène à prier avec des tribus...).

Mais faut-il tant lui jeter la pierre ? Ne dit-on pas communément que « Tout le monde a droit à l'erreur ? » Cette citation était attrayante à approuver si l'on tient compte de cet adage populaire...

Voici donc ici le démontage de cette fausseté :

Pour un catholique, ce n'est pas la liberté qui engendre la vérité, c'est Notre-Seigneur. Ce n'est pas la liberté qui serait première et amènerait à la vérité, mais c'est la vérité qui rend libre : « Si vous demeurez dans Ma parole, vous êtes vraiment Mes disciples; vous connaîtrez la Vérité, et la Vérité vous rendra libres » Jean VIII, 32. « Mais nous, nous sommes de Dieu ; celui qui connaît Dieu nous écoute ; celui qui n'est pas de Dieu ne nous écoute point : c'est par là que nous connaissons l'esprit de la Vérité et l'esprit de l'erreur » I Jean IV, 6.

L'ordre est : 1, Jésus-Christ, enseigné par l'Église Catholique ; 2, la Vérité sûre ; 3, la Liberté.

Pour la secte libérale conciliaire l'enchaînement que l'on annonçait, était : 1, la liberté ; 2, la vérité ; 3, Jésus-Christ.

LÀ EST L'ESCROQUERIE

Ce nouvel ordre est faux, car si l'on prend la liberté en premier, on n'a pas toujours en second la Vérité, mais la Vérité ET/OU l'erreur. C'est ce que les vrais initiés savaient. C'est avec cet artifice qu'ils imposèrent leur église libérale conciliaire, destructrice de l'Église catholique. On peut distinguer cinq phases dans leur processus :

  1. Au début "le droit de chercher et d'errer" est demandé ;
  2. Puis des erreurs sont enseignées en même temps que la vérité, les quelques combattants pour la Vérité sont marginalisés ;
  3. Après on disqualifie la Vérité, on la dit dépassée, on la rend anodine et on fait passer l'erreur pour la Vérité ;
  4. Ensuite la Vérité est persécutée jusqu'à sa disparition totale : les démons tueurs succèdent aux démons menteurs ;
  5. Et finalement, le règne de l'erreur est imposé.

C'est ce que l'on a vécu depuis trente ans : avec la liberté, la secte libérale conciliaire a établi l'erreur, qui a éliminé le règne de Jésus-Christ, pour le remplacer par le pseudo règne de l'Homme qui est le véritable règne de Satan. C'est un châtiment. Un châtiment mérité.

On n'a pas voulu combattre le libéralisme, on n'a pas voulu devenir antilibéraux, les libéraux ont apparemment tout balayé. Mgr Wojtila et la secte libérale conciliaire ont tout inversé: les ennemis des catholiques sont devenus leurs amis. "La vérité est seule tolérante et ne persécute jamais personne, elle se borne à empêcher de faire le mal. L'erreur est essentiellement intolérante et dès qu'elle se sent en force, école, parti ou secte, elle tient à manifester sa puissance en supprimant ses adversaires, en les injuriant, surtout en les empêchant de parler.

Le droit de parler, très préconisé des libéraux, au point qu'ils l'inscrivent dans la constitution et en font l'élément privilégié du parlementarisme, ne leur paraît acceptable que s'il leur assure les immunités de monologue et empêche toute critique. L'objet qui leur plaît le plus, c'est l'encensoir pour eux, et, pour leurs adversaires, des chaînes ou le bâillon". Mgr Fèvre, Histoire critique du catholicisme libéral, p. 546. C'est exactement la conduite de la secte libérale conciliaire contre le restant de Catholiques. Comportement qui prouve que les catholiques (ceux qui veulent croire ce qui a toujours été cru et faire ce qui a toujours été fait) étant du camp de la vérité, les conciliaires sont dans le camp de l'erreur, avec comme conséquence que la secte libérale conciliaire n'est pas catholique et n'est donc pas l'Eglise Catholique. Le plan de Dieu est d'intervenir en Sauveur et donc de triompher quand tout semblera perdu, c'est-à-dire, après que l'éclipse de l'Église catholique soit totale. Mais comme Dieu ne reconstruit pas avec rien, mais avec des riens, à nous de mériter la grâce d'être de ce petit nombre. Et pour cela, il faut devenir des antilibéraux, de vrais antilibéraux. Voyez le livre de Don Sarda dont un extrait ( 53 pages) est ici en référence .


La plus grande preuve
de la fausseté
de cette citation !

Le Bulletin du Grand Orient de France n°48, novembre-décembre 1964, p. 87, cite comme référence de "positions constructives et nouvelles" cette intervention faite lors de la troisième session du concile par un jeune Évêque qui fit ensuite une carrière remarquée.

Cette déclaration plut tellement aux francs-maçons qu'ils la soulignèrent. Elle est très grave.



Un petit signe...

Quand vous plaisez
aux Franc-Maçons
Commencez à sérieusement douter
que vous êtes en dehors de la coche !

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