mercredi 27 juillet 2016

Qu’est-ce qui est en-dessous de la lutte de pouvoir

sur les réformes économiques au Vatican


Petit rappel (avant de commencer) des locutions de Jésus à Luz de Maria sur l'argent de l'Église

« Ce qui est spirituel a été reporté au profit de l'argent, de la politique et des relations sociales ... L'Église en souffrira les conséquences avec la plus grande douleur ». Le 3 juin 2016.

« Le dieu de l'argent viendra à prendre une place privilégiée dans Mes Temples et chez Mes ministres ». Le 8 juillet 2016.







ANALYSE DE LA NOUVELLE SUIVANTE :

Le Secrétariat pour l'Économie (SPE) du Cardinal George Pell s’est fait couper ses ailes au cours des dernières semaines concernant son autorité pour superviser les opérations financières du Vatican.



Par Edward Pentin
Le 25 juillet 2016
SOURCE : National Catholic Register

CITÉ DU VATICAN - Le Secrétariat pour l'économie a subi deux coups durs à son autorité au cours des dernières semaines dans ce que des sources internes affirment être un effort concerté pour entraver la divulgation d'informations financières et les malversations possibles à la Curie romaine.

Cependant, certaines décisions ont aidé à clarifier les rôles dans le processus de la réforme financière et, de concert avec de nouvelles procédures de surveillance, pourraient aider à éradiquer de manière significative la mauvaise gestion et la corruption à long terme.

Le 10 juin, le Vatican a annoncé qu'il mettait fin à un audit externe des finances du Saint-Siège par les géants de la vérification comptable Price Waterhouse Coopers. La vérification, qui coûte environ 500 000 € (550 000 $) pour la compléter, avait déjà été suspendue en avril, juste quatre mois après qu'elle eut commencé au motif que le Vatican voulait obtenir des « clarifications ».

Le Vatican a dit du dans sa déclaration du 10 juin que le contrôle financier serait maintenant exécuté par le vérificateur général propre du Vatican et que Price Waterhouse Coopers « jouerait désormais un rôle d'assistance » et qu’il serait « à la disposition de ces dicastères qui souhaitent se prévaloir de leur soutien et de leurs services de consultation. On a fait valoir que d'avoir une vérification externe effectuée par son propre vérificateur est normalement le cas pour chaque État souverain ».

Le Cardinal George Pell, préfet du Secrétariat pour l'économie et le Cardinal Reinhard Marx, chef du Conseil pour l'Économie qui surveille les travaux du Secrétariat, avait autorisé l'audit ( ou vérification ) de Price Waterhouse Coopers dans un effort de rendre des comptes et de la transparence aux finances du Vatican et aussi pour s’assurer que toutes les pratiques comptables sont appariées aux normes internationales. ( note du traducteur : sans conformité aux normes internationales, le Vatican pourrait se faire mettre des restrictions dans ses transactions financières avec le reste du monde et, aussi, avoir des difficultés dans ses capacités d’emprunt sur le marché. D’où l’importance d’être à niveau avec les normes internationales )

Le Pape François a mis en place le Secrétariat pour l’économie en février 2014 afin qu’il ait autorité sur toutes les activités économiques du Saint-Siège et de l’État de la Cité du Vatican, en exerçant un contrôle économique et une vigilance sur les entités du Vatican ainsi que sur politiques et les procédures relatives aux « achats » et aux « allocations des ressources humaines ».

Un second revers possible au Secrétariat pour l'économie, mais un qui pourrait servir finalement au processus de réforme en créant une plus grande imputabilité (imputabilité : sens similaire mais pas exact à « responsabilité ». Exemple : un de vos employés a fait un mauvais coup, il en est responsable mais puisque vous êtes son patron, vous devez en rendre des comptes, vous êtes imputable sans être responsable. ), a eu lieu le 9 juillet lorsque le Vatican a annoncé que François avait approuvé un document, qu’il avait émis un motu proprio (de son propre chef ), dans lequel l'Administration du Patrimoine du Siège Apostolique (A.P.S.A.) — un dicastère du Vatican qui, plus que la Banque du Vatican, a historiquement été au centre de la plupart des allégations de malversations financières — récupère beaucoup de responsabilités administratives antérieures qui avaient été déléguées en 2014 au Secrétariat pour l'économie ( connu par son acronyme en italien SPE).

Depuis 2014, un grand nombre de responsabilités précédentes appartenant à l’Administration du Patrimoine du siège apostolique (A.P.S.A.), qui incluaient alors la gestion des biens immobiliers du Vatican, les investissements et la masse salariale, avaient été transférées au Secrétariat pour l'économie (SPE) sur la recommandation de la Commission sur l’organisation des structures économiques et administratives du Saint-Siège (COSEA ), l'ancêtre du Secrétariat pour l'économie (SPE), laissant l’Administration du Patrimoine du Siège Apostolique (A.P.S.A.) comme une « Banque centrale » du Vatican.

La justification de la séparation des pouvoirs

Le Vatican dit que le document papal a également servi à délimiter et à préciser les rôles de ces dicastères engagés dans « le contrôle et la vigilance » de ceux qui gèrent « l'administration des actifs du Saint-Siège ». Le Secrétariat pour l'économie (SPE) est maintenant en charge de la simple surveillance de l’Administration du Patrimoine du Siège Apostolique (A.P.S.A.), .

Ceux qui soutiennent ce changement font valoir qu'une sorte de « séparation des pouvoirs » est appropriée et saine de sorte que le Secrétariat pour l'économie ne soit pas en charge du contrôle financier et de son administration en même temps (note du traducteur : en effet, d’après un très grand principe en comptabilité qui stipule qu’on ne met pas en charge un chien pour garder la saucisse ! ). Le Vatican a également souligné que les statuts antérieurs liés au rôle du Secrétariat pour l'économie et d'autres organismes financiers introduits dans le processus de réforme ont été approuvés ad experimentum — c’est-à-dire sous réserve de l'expérimentation — et étaient donc toujours provisoires et sous réserve de modifications.

De plus, en ce qui concerne la fin de l'audit ( ou vérification ) de Price Waterhouse Coopers, le Vatican a insisté pour affirmer que la décision n'était pas due à des problèmes avec le cabinet d'expertise comptable, pas plus à cause de certains dicastères du Vatican qui voudraient « entraver les réformes ».

Price Waterhouse Coopers a refusé de commenter la décision à notre site, le National Catholic Register, citant des protocoles établis, mais Joseph Zahra, membre laïc du Conseil de l'Économie, a souligné que ça n’avait « jamais été l'intention » d'avoir un audit complet externe achevé en un an et que « beaucoup de travail doit encore être fait ».

Ces développements réduisent néanmoins l'autorité du Secrétariat pour l'économie (SPE) qui, quand il a été créé en 2014, a été familièrement décrit comme étant un « super-Dicastère » plus puissant que le Secrétariat d'Etat à cause de ses pouvoirs étendus pour promulguer la réforme financière.

Depuis ce temps, beaucoup de ces pouvoirs lui ont été retirés régulièrement, d'abord par des statuts qui ont autorisé la création d’organismes supervisant le Secrétariat pour l'économie (SPE), ensuite la fin de de l'audit ( ou vérification ) de Price Waterhouse Coopers, (PwC) et enfin la restauration de nombreuses responsabilités clés à l’Administration du Patrimoine du Siège Apostolique (A.P.S.A.), .

Le Secrétariat pour l'économie (SPE)

Bien que beaucoup de ces décisions semblent raisonnables en théorie, la façon dont elles ont été appliquées nous raconte une autre histoire. Notre site, le National Catholic Register, a appris qu’à la fois pour la terminaison de l'audit de Price Waterhouse Coopers, (PwC) ainsi que pour le motu proprio, il y avait peu ou pas de consultation avec le Secrétariat pour l'économie (SPE), mettant en évidence un grave manque d'unité d'objectif et de coopération.

La nouvelle de la suspension de Price Waterhouse Coopers, (PwC), par exemple, est venue comme une surprise pour le Cardinal Pell. La première fois qu’il en a eu connaissance fut lorsque le Secrétariat d'État a posté la nouvelle à toutes les entités du Vatican. Ni lui ni non plus son bureau n’ont été impliqués dans la décision de mettre fin à l'audit Price Waterhouse Coopers (PwC) en juin, nouvelle qui a été annoncée lorsque le Cardinal et son conseiller financier principal étaient hors de Rome.

En ce qui concerne le document papal du 9 juillet, le Cardinal Pietro Parolin, le secrétaire d'État du Vatican, a envoyé un projet de celui-ci au Secrétariat pour l'économie (SPE), le 6 juillet seulement, soit 72 heures avant qu'il ne soit publié. Le personnel a également remarqué après sa publication que le Pape François avait en fait déjà signé le document le 4 juillet !

Le Secrétariat pour l'économie (SPE) a été délesté d’une grande quantité de responsabilités ainsi que de nombreux de ses employés qui se sont allés à l’Administration du Patrimoine du Siège Apostolique (A.P.S.A.), mais — sans aucune consultation préalable avec le Secrétariat pour l'économie (SPE) — le président de l'A.P.S.A., le Cardinal Domenico Calcagno, a envoyé une lettre à tous les employés le 11 juillet en leur disant qu’ils travaillaient maintenant sous sa direction.

De pauvres communications internes sont complètement inconnues au Vatican, mais l'étendue de celles-ci dans ce présent cas met en évidence la résistance à laquelle le bureau du Cardinal Pell s’est heurté depuis le début de leurs travaux. En outre, ça révèle une obstruction croissante au fur et à mesure que les vérifications financières et les efforts pour améliorer la transparence ont augmenté.

« Diverses entités ont été obstructives dès le départ » a déclaré une source impliquée dans la réforme. « Ils n’ont pas fourni les documents ou bien ils répondaient à des lettres qui leur demandaient l'accès à des informations et ils leur répondaient par d’autres lettres du style : « Quels sont vos motifs pour nous demander cela ? ». Ils n’ont pas coopéré, ce que justement vous ne faites pas si vous n'avez rien à cacher ».

L'engagement continu du Cardinal Pell

En dépit de cela, des sources proches du Cardinal Pell disent que le franc et direct Australien reste engagé à découvrir la corruption partout où elle peut avoir été pratiquée, pour engager des poursuites, peu importe les pressions ou les conséquences, et surtout, pour récupérer les biens volés.

Mais dans une Curie romaine habituée à un manque de contrôle de ses finances (les vérificateurs précédents n'ont jamais eu accès à toutes les informations), une telle approche est venue à un prix et le Cardinal Pell est devenu une sorte de paria à la soi-disant « vieille garde ».

« Il y a une certaine intrépidité chez ces gens qui se sentent imperméables aux vérifications » nous a dit la source impliquée dans la réforme. « Ils sont très confiants qu’ils peuvent s’en sortir. C’est une mentalité courtisane louche par laquelle tout dépend de qui a l'oreille du trône ».

D'autres, entretemps, ressentent l'intrusion d'organismes extérieurs et leur imposition de normes internationales comme s’ils voyaient une telle action comme compromettant la souveraineté du Saint-Siège bien que cet argument n'ait été sérieusement soulevé qu’après les quatre premiers mois de l'audit de Price Waterhouse Coopers (PwC) lorsque les auditeurs ont commencé à demander des questions investigatrices sur l’A.P.S.A. « C'est vraiment à ce moment-là que l'opposition à la vérification a commencé » a déclaré cette source bien informée.

Le Raid COSEA (Commission sur l’organisation des structures économiques et administratives du Saint-Siège)

Même avant l'arrivée du Cardinal Pell, à la fois le Secrétariat d'État et l’A.P.S.A. se sont avérés être « moins ouverts » en décembre 2013 lorsque des demandes de documentation financière ont commencé à être sollicitées auprès de COSEA, d’après le livre « Les Marchands du Temple » de Gianluigi Nuzzi. Des sources indiquent que les pratiques de corruption et de vols avaient lieu.

Bien que certains passages du livre de Nuzzi ont été mis en doute, personne n'a encore réfuté son récit de la perquisition des bureaux de la Commission sur l’organisation des structures économiques et administratives du Saint-Siège ( COSEA ) le 30 mars 2014, quelques semaines seulement après que le Pape eut créé le Secrétariat de l'Economie qui a remplacé cette Commission papale. Les cambrioleurs, qui n’ont pas commis d’effraction mais qui avaient les clés de la porte d'entrée savaient exactement ce qu'ils cherchaient, a écrit Nuzzi qui s’en est instruit à partir de certaines « archives secrètes » de la COSEA. Le raid, a-t-il ajouté, était un « acte grave qui risquait de compromettre les efforts de la Commission ».

Malgré des enquêtes policières, ce n’est toujours pas encore publiquement connu qui était derrière le crime bien que, selon Nuzzi, autant le Pape et le Cardinal Pell croient que le motif le plus probable était d'envoyer un avertissement à peine voilé à ceux qui sont en charge de la réforme financière.

Nuzzi et le collègue journaliste, Emilio Fittipaldi, qui a également écrit un livre sur la corruption financière au Vatican, ont été acquittés ce mois-ci de complot en vue de couler des documents du Vatican après un procès de huit mois parce que le Vatican a concédé qu'il n'a pas la compétence nécessaire pour les condamner. En revanche, alors que le procès « Vatileaks 2 » avait lieu, l’Autorité d'information financière du Vatican qui cherche à extirper le blanchiment d'argent, a découvert plusieurs dizaines de cas de corruption mais les suspects doivent encore être jugés.

En plus de l’évasion fiscale et de la résistance que notre source bien informée affirme qu’elles proviennent maintenant principalement du bureau du vérificateur général, ceux qui font les enquêtes et la découverte de malversations suspectent qu’ils sont surveillés et ils ont remarqué certaines figures au Vatican qui sont opposées à la publicité à propos du manque de coopération.

Un exemple a eu lieu peu après la terminaison de l'audit de Price Waterhouse Coopers (PwC) lorsque le Wall Street Journal a interviewé le Cardinal Pell. Le Cardinal avait accepté l'entrevue mais, selon la pratique standard, n'avait pas informé la Maison Pontificale qu’il avait accepté de faire cette entrevue. Le lendemain, il a reçu un appel disant que le Pape voulait lui parler pour savoir ce qu’il avait dit au Wall Street Journal. Le personnel du Secrétariat pour l'économie (SPE) s’est demandé comment le Pape avait pu savoir cela alors que l'entrevue n’avait toujours pas été publiée.

Une source a souligné que lorsqu'il est question de la façon dont les choses sont perçues dans les médias, le Cardinal Pell est prompt à être contacté, mais quand ça concerne des décisions importantes concernant le contrôle des finances au Vatican, c’est le contraire. Le Secrétariat d'État a depuis ordonné à ceux impliqués dans la réforme financière de ne pas donner d’interviews.

Progrès

Mais en dépit de cette résistance et des réactions nerveuses, de réels progrès ont été accomplis. Dans un communiqué publié après la fin de l'audit de Price Waterhouse Coopers (PwC), le Secrétariat pour l'économie (SPE) a dit que « beaucoup a été accompli et que les réformes sont irréversibles » bien que le communiqué ait insisté que la mise en œuvre des changements « prendra du temps ». La principale réalisation, affirme ce communiqué, est celle où le Vatican « sait maintenant où il se situe financièrement » et qu’il y a maintenant « des informations financières beaucoup plus complètes et précises ».

Ce communiqué déclare que son principal défi maintenant « est de diminuer et d’éliminer les déficits annuels » et de veiller à ce que le vérificateur général « identifie toute corruption au plus tôt et réduise toute inefficacité ».

Le Secrétariat pour l'économie (SPE) est à essayer d'avoir les entités du Vatican à se conformer à trois niveaux de contrôle :

  1. amélioration de la « ligne de front », i.e. les transactions au jour le jour ;
  2. le contrôle et la vigilance par le Secrétariat pour l'économie (SPE) pour conseiller, surveiller et analyser les entités du Vatican ;
  3. et des audits externes qui passent maintenant par le vérificateur en chef du Vatican plutôt que par Price Waterhouse Coopers (PwC)
. Le Dicastère se concentre principalement sur la première de celles-ci parce qu’on croit que, si ces opérations quotidiennes suivent une procédure correcte, alors les deux autres objectifs seront finalement bien atteints aussi. Pour cette raison, on ne croit pas que le motu proprio du 4 juillet sape nécessairement son travail, mais aide à clarifier les rôles.

Pour le Secrétariat pour l'économie (SPE), ce qui est le plus important, c’est que de bonnes personnes et de bonnes procédures soient mises en place ou sinon toutes les réformes seront « construites sur du sable » selon l'une des sources informées du Vatican. Pour sa part, le Cardinal Pell est dit « ne pas être particulièrement bouleversé » par les derniers événements tant et aussi longtemps que les procédures les plus importantes sont bien reçues et suivies et que les personnes en charge sont honnêtes. Mais aussi longtemps que différentes entités restent peu coopératives et ne parviennent pas à consulter le Secrétariat pour l'économie (SPE), une bonne mise en œuvre semble destinée être en péril.

« C’est un long processus » a déclaré Zahra, qui a souligné que beaucoup dépend d’un « changement de culture » et de modifier « la façon dont nous faisons les choses ». Il a ajouté qu'avec l’unité de contrôle et de vigilance du Secrétariat pour l'économie (SPE) de concert avec le vérificateur général et l'Autorité d'information financière, il « n'y a jamais eu tant de couches de contrôle au sein du Saint-Siège sur les questions liées au financement et à l'administration ».

« Je suis confiant que si ces organismes fonctionnent avec efficacité de la manière qu’ils opèrent présentement, ce sera plus que suffisant pour être un sérieux obstacle actif à toute tentation de mal faire » a-t-il dit.

Mis à part les obstructions, d'autres signes sont assez encourageants. Certains dicastères sont dits « avoir très hâte » d'adopter les nouvelles procédures et le Conseil Pontifical Cor Unum a salué le Secrétariat pour l'économie (SPE) pour son « exemple remarquable de collaboration » entre les dicastères du Vatican afin d’« améliorer l'efficacité et les contrôles ». La réponse aux invitations du Secrétariat pour l'économie (SPE) de mettre en œuvre des contrôles est perçue, comme une source du Vatican l’a dit, « extrêmement positivement », et que près de la moitié des six ou sept entités du Vatican veulent aller de l'avant immédiatement. Même maintenant A.P.S.A. semble ouvert à des contrôles plus stricts bien qu'il reste difficile de savoir si elle est prête à les mettre en œuvre.

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Le National Catholic Register a sollicité les commentaires du Secrétariat d'État mais il n'a pas répondu à nos demandes reliées aux réformes financières.

Le 14 juillet, le National Catholic Register a émis une série de questions à Mgr Giovanni Becciu, le « substitut » au sein du Secrétariat d'Etat en charge de l'administration de la Curie romaine au jour le jour. Les questions demandaient une réponse à la critique qui affirme que A.P.S.A. et d'autres dicastères ont essayé de cacher de l'information financière et à l’affirmation que le Secrétariat pour l'économie (SPE) n'a pas été correctement notifié des grandes décisions.

L'Archevêque a refusé d'y répondre en disant qu’il voulait pas donner d’interviews pendant ses vacances. Son bureau a choisi de ne pas offrir quelqu'un d'autre pour y répondre.

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