mardi 6 février 2018

Alors que les Catholiques Chinois
sont vendus à des dictateurs Communistes
Le Vatican vend Asia Bibi à ses persécuteurs Musulmans

De François : Pas un mot en leur nom



par Christopher A. Ferrara
SOURCE : Centre de Fatima
Le 5 février 2018


En 2010, la femme Pakistanaise Catholique connue sous le nom d'Asia Bibi (née Aasiya Noreen) a été condamnée à mort par pendaison pour le « crime » d '« avoir insulté l'Islam et le Saint Coran ». La disposition pertinente du code pénal Pakistanais ( article 295- C ) stipule que « quiconque ... souille le nom sacré du Saint Prophète Muhammad ( paix soit sur lui ) sera puni de mort, ou d'emprisonnement à vie, et sera également passible d'une amende ».

L'insulte alléguée est survenue lorsque Bibi, une ouvrière agricole travaillant dur par une journée chaude, a protesté contre l'interdiction absurde aux non Musulmans de boire de l'eau potable de la même coupe que les Musulmans. Elle a été arrêtée et inculpée après qu'une foule de Musulmans en colère a envahi sa maison et l'a battue ainsi que des membres de sa famille. Bibi, la première femme condamnée à mort pour « blasphème » au Pakistan, croupit en prison depuis lors tandis que ses appels sont interminablement traités et retardés et ses nombreux enfants grandissent sans leur mère.

L'auteur de cet éditorial est Monsieur Christopher A. Ferrara. Monsieur Ferrara est avocat de profession. Il agissait aussi comme collaborateur principal de Feu Père Nicholas Gruner, fondateur du Centre de Fatima, Fort Érié, Canada et ayant aussi des installations à Rome. Il est chroniqueur dans plusieurs autres sites catholiques dont Le Remnant Newspaper.

Le Pape Benoît XVI est intervenu presque immédiatement dans la parodie. Dans une déclaration publiée en novembre 2010, il a appelé à la libération de Bibi et a dénoncé les « situations difficiles des Chrétiens au Pakistan » confrontés à « la discrimination et la violence ». Mais, comme Antonio Socci nous l’a tout juste rappelé, le Pape François depuis les cinq années qu’il occupe la Chaire de Pierre, il n'a pas prononcé un seul mot pour sa défense. Pire, « il a refusé une audience privée avec la famille appauvrie d'Asia Bibi, qui avait réussi à se rendre à Rome pour demander de l'aide, et leur a refusé un geste d'attention ».

Pourquoi ? Pour citer Socci, parce qu'il « ne veut jamais déplaire aux Musulmans ». De plus, Socci note : « Après des attaques terroristes, il [ François ] soutient qu'ils n'ont rien à voir avec l'Islam, mais il ne peut pas dire la même chose à la face de la République du Pakistan « qui — sur la base de la loi sur le blasphème — condamne des innocents à la mort. Par conséquent, il reste silencieux ».

François continue de garder le silence même si, note Socci, citant l'avocat Italien Luigi Amicone : « Asia Bibi a passé les 3 140 jours passés dans une cellule d'isolement sans fenêtres dans une prison à sécurité maximale » alors que « même pas les tribunaux du premier et du deuxième échelon, qui l'ont condamnée à mort sous la pression de groupes fondamentalistes, ont eu le courage d'exécuter le verdict ... et la Cour Suprême du Pakistan continue de prendre son temps pour remettre à plus tard toute décision définitive » sur l'affaire.

Avec une exquise ironie, alors qu'un Pape sympathique au socialisme maintient son silence honteux, la mairesse socialiste de Paris, Anne Hidalgo, a offert asile à Asia Bibi et à toute sa famille, tout comme l'administration de la ville de Milan, dont Amicone est procureur de la ville .

Nous rencontrons ici une autre raison pour laquelle les Catholiques du monde entier reconnaissent, à leur horreur, la débâcle croissante de cette papauté, qui doit être considérée comme unique dans l'histoire de l'Église. Tout aussi unique, cependant, ce sont les circonstances ecclésiales terribles prédites dans l'avertissement prophétique du Troisième Secret de Fatima, dont ce pontificat doit certainement être une caractéristique centrale.

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