par Christopher A. Ferrara
SOURCE : The Remnant
Le 8 décembre 2016
C'est l'Avent, la saison sacrée de la première venue de Notre-Seigneur. Et quel meilleur moment pour un Pape jacassant perpétuellement de dégoûter le monde Catholique tout entier avec ce qu'il semble penser être une analogie habile entre le journalisme irresponsable et la coprophilie, l'attraction érotique perverse envers les excréments humains et la coprophagie, le désir pervers de manger des excréments. |
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« Et puis, je pense que les médias devraient être très clairs, très transparents et ne pas tomber en proie — sans offense, s'il vous plaît — à la maladie de la coprophilie, qui veut toujours communiquer du scandale, qui veut toujours communiquer des choses laides même si elles peuvent être vraies. Et puisque les gens ont une tendance à la maladie de la coprophagie, ça peut faire beaucoup de mal ».
François évidemment ne veut pas dire littéralement que « les gens ont une tendance à la maladie de la coprophagie », c'est-à-dire à manger du fumier. Il compare plutôt la tendance à raconter des commérages à un référent inapte et dégoûtant auquel il est étrangement attaché. Peut-être a-t-il simplement voulu jeter quelques paroles obscures lors de son entrevue de presse de la semaine pour montrer comment il est étymologiquement astucieux et bien lu. Mais il a seulement réussi à démontrer encore une fois qu'il est un pseudo-intellectuel sourd si épris de ses propres pensées aléatoires qu'il n'a aucune idée de l’embarras qu’il est.
La réaction appropriée — hormis l'horreur des dommages continus que cet homme inflige à l'Église et à la fonction pontificale, n'est pas de la colère mais de la pitié pour une âme agressive et malheureuse. Nous devons garder la perspective éternelle en vue et prier pour François aussi ardemment que nous prions pour notre propre salut.
Pourtant je me demande : ne trouvons-nous pas ici une autre ressemblance entre le Pape Bergoglio et Martin Luther ? (Même la page Facebook de Radio Vatican Radio a publié — avec approbation — le mème (mème = image parodiée ) Luther-Bergoglio sur Internet créé par un critique rompu à Photoshop).
Est-ce une coïncidence que Martin Luther ait eu lui aussi une préoccupation avec les excréments ? C'est lui qui a écrit des joyaux tels que « je suis en train de ch…, ainsi le monde est un grand trou de mer… ; nous finirons par nous séparer » et « j'ai de la mer… dans mes pantalons et mes caleçons ; accrochez-les à votre cou et essuyez votre bouche avec ». ( Et il y a beaucoup plus, croyez-moi )). Et c'est Saint Thomas More qui écrivait de Luther qu’il « ne conçoit rien dans sa tête autre que des bêtises, des rages et des folies ; [et] il n'a rien dans sa bouche autre que des égouts, de la mer… et du fumier — avec lequel il joue au bouffon de façon plus obscure et obscène que n'importe quel bouffon réel n’a jamais fait.
Comme Maureen Mullarkey l'a écrit au sujet de cette éruption stercorale (note : Qui se rapporte aux matières fécales, qui en contient ) de la bouche du Mont Bergoglio : « Ce pontificat est une corne d'abondance de tous les combles ». En effet, faites votre choix. Damian Thompson, qui proteste contre « l'étrange bêtise du Pape à propos de manger des fèces » sur le site The Spectator, constate le désenchantement grandissant de cette calamiteuse papauté avant de conclure : «Le Pape a 80 ans ce mois-ci. Un nombre surprenant de Catholiques se demandent si ce n'est peut-être pas le moment approprié pour se retirer. Comptez-moi parmi eux.
Mais c’est Rod Dreher qui capte le mieux l'essence du problème. Dans un article de son blog intitulé « Une conversation de caca avec le Pape François », il livre cette ligne dévastatrice : « Le Vicaire du Christ, Mesdames et Messieurs ». (note = les termes « Mesdames et Messieurs » font relation ici aux écriteaux sur les portes des toilettes ! )
François est déterminé à abaisser la papauté à son niveau et toute l'Église avec elle. Dans la mesure où cela est humainement possible, l'Église est devenue son jouet. Le résultat est à la fois une démonstration du pouvoir et du péril de la papauté.
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