Fatima Network Perspectives
Le 18 septembre 2015
Le 11 septembre dernier, François a prononcé un discours lors d’une autre conférence sur le « changement climatique » au Vatican organisée par quelque chose appelée la « Fondation pour le développement durable » sur le thème « La justice environnementale et le changement climatique ». Ce discours contient ce qui pourrait bien être l'énoncé le plus complètement dénué de sens jamais entendu prononcé par un Pontife Romain. Lisez-le vous-mêmes et voyez si vous pouvez discerner quelque contenu significatif que ce soit : |
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... Chacun est appelé à répondre personnellement, dans la mesure appropriée pour lui, fondé sur le rôle occupé dans la famille, dans le monde du travail, dans l'économie et la recherche, dans la société civile et dans les institutions. Les recettes improbables ne seront pas tirées. Personne ne les a ! Plutôt, en offrant ce qui est arrivé dans le dialogue et en acceptant que sa propre contribution soit mise en discussion : une contribution est demandée de tous en vue d'un résultat qui ne peut être que le fruit d'un travail commun. Le grand ennemi ici, c’est l'hypocrisie. Votre rencontre représente à juste titre un exemple de la pratique de ce dialogue lequel, dans l'encyclique Laudato Si, je proposais comme le seul moyen de résoudre les problèmes de notre monde et de chercher des solutions réellement efficaces. Ça me semble un signe d'une grande importance, même Providentiel, que des représentants extraordinaires de différents « mondes » prennent part à cette rencontre : monde de la religion et de la politique, de l'activité économique et de la recherche scientifique dans de nombreux secteurs, des organisations internationales et ceux qui sont engagés dans la lutte contre la pauvreté ».
« Pour porter ses fruits, ce dialogue a besoin d'être inspiré par une vision qui est à la fois transparente et large ainsi que de procéder selon une approche intégrale, mais surtout participative, y compris toutes les parties concernées et aussi ceux qui restent plus facilement en marge des processus institutionnels ».
Hein ? Ces remarques, qui se lisent comme sortant d'un générateur aléatoire de mots, sont si éloignées de la sphère d'intelligibilité que ça provoque de l'inquiétude concernant l'état mental de François. Mais encore plus alarmant est la personnification qui suit qui est tout à fait étonnante de la terre — un dogme de la religion environnementaliste — apparaissant à la fin de ces remarques décousues. Notez le bafouillis syntaxique :
« Désormais, j’offre au Seigneur notre effort commun, Lui demandant de le bénir afin que l'humanité puisse enfin écouter le cri de la terre — aujourd'hui notre Mère, la Terre, est parmi les nombreux exclus qui crient vers le Ciel à l'aide ! Notre Mère, la Terre, est une exclue ! — Aussi le cri de la terre, notre Mère et Sœur, et des plus pauvres parmi ceux qui l'habitent, et de veiller sur eux [sic] ....
Oui, vous lisez correctement : le Pape a dit que la terre est une « exclue », l'une « de nombreux exclus ». La terre est une Mère et une Sœur qui nous crie avec d'autres personnes pauvres. Ou, comme François l’a écrit dans Laudato Si : « La terre elle-même, accablée et dévastée, est parmi les plus abandonnés et maltraités des pauvres ».
Que peut-on dire face à ces déclarations bizarres provenant d'un Pontife Romain ? Le monde est en train de sombrer dans un abîme de dépravation totale : l'avortement, la contraception, le divorce et l'homosexualité militante détruisent le peu qui reste de l'ordre moral dans les nations jadis Chrétiennes du monde occidental. Les péchés des hommes crient vengeance au Ciel, mais François nous implore d'entendre à la place le « cri de la terre » imaginaire concernant le « changement climatique ». Le changement climatique — à savoir une hausse présumée dans les températures et du niveau des mers — est ce qui préoccupe François et non pas le sort d'innombrables âmes immortelles à cause des péchés qu'il semble trop vouloir accommoder avec son « Synode de Malheur » et avec ses procédures en nullité par la « voie rapide ».
« Vous savez sûrement que ceux qui font le mal n'auront pas de place dans le Royaume de Dieu. Ne vous y trompez pas : les gens immoraux, adorateurs d'idoles, adultères, pédérastes, voleurs, envieux, ivrognes, calomniateurs ou malhonnêtes, n'auront pas de place dans le Royaume de Dieu. (1 Corinthiens 6 : 9. -10) ». Rien n’est plus fondamental que l'Évangile du Christ. Pourtant, François a effectivement réécrit cet avertissement biblique essentiel qui se lit quelque chose comme ceci : « Ne savez-vous pas que les injustes ne posséderont pas le Royaume de Dieu ? Ne vous y trompez pas : ni les cupides, ni les ravisseurs, ni les riches, ni ceux qui nuisent à l'environnement doivent posséder le Royaume de Dieu ».
Les péchés de la chair, comme a dit Notre-Dame de Fatima à Jacinta, sont la cause du plus nombre d'âmes damnées par rapport à tous les autres péchés et ils ne sont jamais mentionnés par ce Pape. Au lieu de cela, il condamne les « légalistes » et les « Pharisiens » qui ne pensent pas que l'Église devrait accueillir l'état adultère des « divorcés/remariés » dans sa « pratique pastorale ». Pendant ce temps, on nous dit d'écouter le « cri de la terre » comme étant une « exclue ».
Avec chaque jour qui passe, ce pontificat devient plus étrange et plus alarmant. Il n’y a jamais eu un Pape comme celui-ci et son apparition sur la scène ne peut être qu’un signe de la venue d'événements plus dramatiques pour l'Église et le monde. Notre-Dame de Fatima, priez pour nous !
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