SOURCE : PRO LITURGIA sous l'onglet ACTUALITÉS en date du 3 mars 2017
* * * * NOUVEAU Jeudi, 23 février 2017. * * * * NOUVEAU Vendredi, 3 mars 2017. Des Cardinaux qui avaient vivement soutenu l’élection de Jorge Bergoglio au pontificat suprême souhaitent à présent la démission de François. Ils craignent que les réformes irréfléchies du Pape conduisent l’Église vers un schisme. Il faut préciser que ces Cardinaux ne sont pas considérés comme des conservateurs ou des traditionalistes, bien au contraire.
Source : Kathnet.
Voyez en fin de page la plus récente dépêche concernant ces Cardinaux qui sont désenchantés du capitaine du navire... |
* * * * NOUVEAU Vendredi, 3 mars 2017. La papauté a été conçue par le Christ pour servir l’Église, pas pour la diviser.
Après quatre ans de pontificat, les controverses provoquées par l’enseignement (ou le manque d’enseignement) du Pape François ont atteint un sommet critique.
Un article de Phil Lawler (“Ce désastreux pontificat”) publié jeudi soir et traduit ici mérite d’être lu et considéré avec beaucoup de sérieux, surtout après avoir entendu l’homélie problématique de François commentant vendredi dernier (24 fév.) l’Évangile où il est question du droit à répudier sa femme.
Voilà qu’un article du “Times” rapporte que les Cardinaux libéraux qui ont œuvré pour faire élire le Cardinal Bergoglio à la tête de l’Église sont à présent convaincus qu’il est en train de conduire l’Église vers un schisme et se disent prêts à quitter le navire. Cela vaut la peine de s’enregistrer sur le site internet du “UK Times” pour lire cet article en entier.
Ceci dit, je comprends qu’il serait mal venu de forcer le Pape à se retirer ou encore de manœuvrer dans ce sens. Je pense aussi qu’il serait invraisemblable que le Pape veuille se retirer. Je ne suis pas là non plus pour demander et suggérer qu’il devrait se retirer. Ce que je suis en train de dire, c’est qu’il y a de sérieuses dissensions dans l’Église, que le Pape François, de façon inexplicable, refuse de chercher des solutions et que son (in)action est la cause d’une grave crise.
Quelles que soient les opinion au sujet de ce pontificat - positive, neutre ou négative - il est évident pour tous que quelque chose ne tourne pas rond à Rome. Le mot qui vient spontanément à l’esprit est “dysfonctionnement”.
La réforme des finances du Vatican est abandonnée ; les Cardinaux s’attaquent les uns les autres ; les réponses à apporter aux problèmes d’abus sexuels au sein du clergé sont mises en veille ; certains Évêques s’expriment de façon diamétralement opposée à d’autres... Ce n’est pas là une Église “en ébullition” telle que François disait la désirer : c’est une Église à la dérive, qui a perdu toute direction.
Si tout cela s’était passé sous le pontificat de Benoît XVI ou de Saint Jean-Paul II, les médias s’en seraient donnés à cœur joie pour pousser la Curie à un vote de non-confiance. Au lieu de cela, les médias libéraux sont trop heureux d’aider François à se tirer d’affaire ; car ces médias-là aiment la direction vers laquelle se dirige l’Église : elle mène vers un schisme, la discorde, la confusion et le chaos.
En tant que catholiques convaincus, nous ne pouvons pas détourner les yeux de ce qui risque d’advenir. En ce début de Carême, je nous exhorte tous à redoubler d’effort dans notre prière et notre jeûne en faveur de la papauté en général et du Pape François en particulier. Et je presse chacun d’entre nous, en privé et en public, de parler de ce qui est entrain d’arriver. Enfin, dans la mesure de vos possibilités, et toujours avec une grande charité, je vous presse d’encourager vos prêtres et vos Évêques et de leur demander de défendre l’enseignement constant et éternel de l’Église.
D’après Tom Peter. Trad. MH/APL
* * * * NOUVEAU Vendredi, 3 mars 2017. A l’occasion du carnaval, le site officiel de la Conférence des Évêques de Suisse propose la vidéo suivante :
Durée : 5 min 14 sec
Même si l’on ne comprend pas le “schwiitzerdütch”, il faut voir cette vidéo jusqu’au bout pour comprendre à quel niveau l’Église est en train de dégringoler, sachant que les trois papes sont des assistants pastoraux salariés des paroisses de Lucerne.
Sur le même site de la Conférence des Évêque se trouve un article élogieux sur Hans Küng qui se félicite de la direction prise par l’Église depuis l’arrivée de François.
* * * * NOUVEAU Vendredi, 3 mars 2017. D'un fidèle de Belgique : «“Trop c’est trop” . C’est ce qu’on commence à entendre sur les parvis des églises bruxelloises devant la gestion chaotique, sinon suicidaire, de l’archidiocèse depuis le départ de Monseigneur Léonard.
Les Fraternités monastiques de Jérusalem quittent Bruxelles. Pourquoi ? Parce que l’Évêque leur demande de laisser l’église dans laquelle elles ont investi spirituellement et matériellement depuis quinze ans afin de se conformer au moule de la réforme des paroisses en “unités pastorales”. L’église “du Parvis” deviendra l’église centrale de Saint-Gilles. C’est-à-dire qu’à terme, elle sera la seule église en activité pour une commune de 50 000 habitants.
L’idée des unités pastorales est simple : il s’agit de redémarrer un projet vieux de dix ans, mis à l’arrêt par Monseigneur Léonard et qui consistait à fusionner les paroisses en “unités pastorales” et à désacraliser une partie des églises. Les conséquences sont multiples : les prêtres sont détachés des paroissiens et sont isolés au maximum. Les “unités pastorales” n’ayant pas encore d’existence canonique, elles sont créées de toutes pièces par les Évêques de Belgique et se prêtent mieux à ce qui semble être leurs priorités ainsi que celles de Rome. Des responsables d’unités pastorales s’adressent au nom de l’Évêque au curé et sont choisis selon leurs “compétences” : des hommes, des femmes, des prêtres, des laïcs, des croyants, des incroyants... tout y passe.
Les Évêques belges ne peuvent plus attendre : le sacerdoce féminin, ils l’ont déjà inventé en imaginant le contexte qui lui serait favorable.
Argument avancé par l’épiscopat pour fermer et désacraliser les églises : l’entretien des églises coûte trop cher à l’État, dont la majeure partie est partagée entre la région de Bruxelles-Capitale et les communes. Or ce coût est de 4€ par an et par habitant !
Les communautés mises en place par Mgr Léonard déplaisent : voulant demeurer dans la foi catholique, elles échappent en (trop grande) partie au contrôle diocésain et sont donc moins modelables. Le mot d’ordre semble être de les éliminer au nom de la
sacro-sainte collégialité téléguidée ici par la conférence épiscopale, là par le conseil épiscopal où l’on retrouve des laïcs et des prêtres en places depuis 20 ans et dont le travail est de saper, démolir, liquider tout ce qui est encore catholique.
Quand on ne démolit pas au nom de la “collégialité”, on saccage au nom de l’ “ouverture” : le vice-président de la conférence épiscopale a annoncé qu’il demande de permettre la bénédiction religieuse des “couples” homosexuels (Bisschop Bonny pleit voor ritueel in de kerk voor holebikoppels, dans atv.be, 5 octobre 2016), tandis qu’un autre archevêque soutient la communauté de l’Abbé Gabriel Ringlet connu pour être le plus hétérodoxe du pays ( défenseur du “droit” à l’avortement, à l’euthanasie, ennemi public de Mgr Léonard ).
Les fidèles et les prêtres se sentent trahis. Ils ne savent pas ce qui adviendra demain de leur paroisse, de leur communauté, de leur curé… Peu de haine chez eux, mais de la peur, de l’inquiétude et beaucoup de déception. Nombreux sont ceux qui prient pour leurs Évêques, enfin qu’ils apprennent à accueillir et à encourager à nouveau les communautés florissantes au lieu de les fermer. Il y va de l’avenir de la Foi en Belgique.»
* * * * NOUVEAU Vendredi, 3 mars 2017. Hier, 2 mars, une “liturgie-tamponneuse” a été célébrée à Granville, dans le diocèse de Mgr Le Boulc’h, ex-curé démolisseur de Lannion (Côtes d’Armor). C'est une véritable épidémie d'Alzheimer spirituel qui touche l'épiscopat Normand :
* * * * NOUVEAU Vendredi, 3 mars 2017. Selon le “Times”, le Pape François serait de plus en plus isolé. Même ses “Cardinaux-supporters” seraient en train de discrètement le lâcher. Il s’agirait pour eux de ne pas passer pour les chevilles ouvrières d’un possible schisme.
On constate que, depuis cinquante ans, c’est toujours la même stratégie calamiteuse : une poignée de prélats prétendument intelligents estiment urgent de tout bouleverser à tort et à travers, et quand ils se rendent compte qu’ils perdent complètement le contrôle de la situation, ils freinent des quatre fers. Mais c’est toujours trop tard : le mal est fait, et est quasiment irréparable...
* * * * NOUVEAU Vendredi, 3 mars 2017. Agé de 88 ans, Gustavo Gutierrez, l’un des pères de la sulfureuse “théologie de la libération”, a déclaré que le Pape François est un cadeau inespéré pour l’Église, une véritable bénédiction.
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