mardi 6 septembre 2016

Piqures de rappel


SOURCE : PRO LITURGIA --- Actualités du 6 septembre 2016

* * * * NOUVEAU Mardi, 6 septembre 2016. Qui a supprimé le latin de la liturgie ? Le Concile ? Non : les évêques. Qui a supprimé le chant grégorien de la liturgie ? Le Concile ? Non : les évêques.
Qui a supprimé les agenouilloirs dans les églises ? Le Concile ? Non : les évêques.
Qui a rendu obligatoire la célébration face au peuple ? Le Concile ? Non : les évêques.
Qui a autorisé les improvisations en liturgie ? Le Concile ? Non : les évêques.
Qui a autorisé que les prêtres puissent se dispenser de revêtir la chasuble pour célébrer la messe ? Le Concile ? Non : les évêques.
Qui a donné à certains fidèles le droit de se constituer en équipes qui privent d’autres fidèles de la liturgie de l’Eglise ? Le Concile ? Non : les évêques.
Qui a donné l’autorisation de célébrer la liturgie n’importe comment (rondes, danses...) et n’importe où (salles de fêtes, cirques...) ? Le Concile ? Non : les évêques.
Qui a habitué les fidèles à recevoir la communion dans la main ? Le Concile ? Non : les évêques.
« Je vous demande d’importuner vos pasteurs » a dit le Pape François au tout début de son pontificat. Au vu de la situation de l’Eglise en France, il va falloir qu’on s’y mette...

* * * * NOUVEAU Mardi, 6 septembre 2016. Quelle est la pire invention de l’après-Concile ?
Réponse : la “pastorale liturgique”. Tout ce qui s’est fait sous couvert de “pastorale liturgique” n’a abouti qu’à vider la liturgie de l’Eglise de son sens et à faire fuir les fidèles hors des églises. En réalité, la “pastorale” n’est qu’un mot vide qui, comme le faisait remarquer Benoît XVI, sert à justifier tout et n’importe quoi (1). La “pastorale” n’existe pas : Jésus ne nous parle que de “pasteurs”. Et le “pasteur” qui connaît vraiment sa mission et s’emploie à la remplir avec la foi de l’Eglise n’a pas besoin de “pastorale liturgique”.

(1) La bureaucratisation de l’Eglise ne favorise pas l’entrée des dons du Saint-Esprit, mais élève plutôt une barrière à leur action. La mise en garde continuelle contre la bureaucratie s'adresse à la tentative de l'homme de vouloir prendre en mains la chose de Dieu. (Cf. Nuove irruzioni dello Spirito. I movimenti nella Chiesa, éd. San Paolo, Milan, 2006)

* * * * NOUVEAU Mardi, 6 septembre 2016. En 1997, un journaliste demande à Mère Teresa quel est, selon elle, le plus grand malheur du monde actuel.
Réponse de celle qui est aujourd’hui considérée sainte par l’Eglise : « Ce n’est pas la misère ou la famine, dont sont victimes tant de pauvres ; ce ne sont pas les guerres, et les catastrophes de toutes sortes ; c’est la communion reçue dans la main : elle est un manque de respect vis à vis de la personne de Jésus-Christ. »

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