mardi 1 août 2017

Souvenir des paroles de Saint Padre Pio sur l'avortement


Le dur avertissement du saint stigmatisé, au milieu de signes que certains dans l'Église perdent de vue ou n'ont peut-être jamais constatés, une horreur pour un péché aussi grave.


Par : Edward Pentin
Le 31 juillet 2017

SOURCE : National Catholic Register





La décision de faire en sorte que l'avorteuse notoire Emma Bonino parle de l'immigration dans une église Italienne la semaine dernière a suscité une grande condamnation.

Mais cela a également mené certains à discuter, y compris le représentant local de Caritas qui a parrainé son discours, que l'atroce record d'avortements de Bonino, dont elle ne s'est jamais repentie, pourrait être mis de côté pour se concentrer sur cet autre aspect de l'enseignement social Catholique.

Pourtant, de mettre à l'écart effectivement la gravité de l'avortement en faveur d'inviter une radicale laïque pour former un front commun sur l'immigration signifie peut-être combien l'Occident et certains dans l'Église sont devenus engourdis à l'avortement et à la gravité du péché.

Saint Padre Pio, par exemple, croyait que l'avortement n'était pas seulement le meurtre d'un être humain innocent mais aussi un véritable suicide.

Dans une histoire maintenant célèbre, le Père Pellegrino Funicelli, qui a assisté Padre Pio pendant de nombreuses années, a confronté le saint sur ce péché, lui demandant :

« Aujourd'hui, vous avez refusé l'absolution à une femme parce qu'elle avait volontairement subi un avortement. Pourquoi avez-vous été si rigoureux avec cette pauvre malheureuse ? » (Padre Pio refusait parfois d'accorder l'absolution à un pénitent s’il présentait une contrition insuffisante ; souvent ils revenaient et il donnait l'absolution s'ils étaient sincères).

Padre Pio a répondu : « Le jour où les gens perdront leur horreur pour l'avortement sera le jour le plus terrible pour l'humanité. L'avortement n'est pas seulement un homicide mais aussi un suicide. Ne devrions-nous pas avoir le courage de manifester notre Foi devant ceux qui commettent deux crimes en un seul acte ?

« Suicide ? » a demandé le Père Pellegrino.

« Le suicide de la race humaine sera compris par ceux qui verront la terre peuplée par des personnes âgées et dépeuplée d'enfants : brûlée comme un désert » a répondu Padre Pio.

Bonino, qui se vante d'avoir accompli plus de 10 000 avortements en 1975, aspirant l'enfant à naître de l'utérus avec une pompe à bicyclette et mettant les restes mutilés dans un pot en verre, a ironiquement noté dans son discours la population en déclin en Italie.

Pour elle, les migrants sont une réponse pour combler cet écart même si, comme un auditeur a protesté (et a été sorti de la salle en conséquence), elle est au moins en partie responsable de cette lacune à travers ses crimes d'avortement.

L'avertissement de Padre Pio, qui reste tellement aimé en Italie, était donc prophétique. Et c'est comme si l'enthousiasme de Bonino pour accueillir les immigrants visait à dissimuler le suicide de masse de la population d'un pays précipité par la légalisation de l'avortement en Italie pour laquelle elle a lutté si fort.

Plus de six millions d'entre eux sont morts depuis que l'avortement a été légalisé en Italie en 1978 et, comme beaucoup de pays Occidentaux, l'Italie est également critiquée par le mouvement pro-vie et l'ensemble des Catholiques pour éteindre son existence par la contraception.

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