mardi 22 août 2017

Le Pape François, serait-ce Judas au Vatican ?


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Que penser de ce vicaire du Christ oubliant ses fidèles en détresse ?

Rédigé par : Charles Demassieux

Lu chez Boulevard Voltaire





Selon la tradition, Pierre l’apôtre, premier évêque de Rome – et dont chaque pape devient l’héritier en s’asseyant sur son trône –, a été crucifié la tête en bas, se jugeant indigne de mourir comme le Christ. Pour autant, il n’a jamais été question qu’un pape marche à ce point sur la tête, tel François !

Ce dernier, qui s’assoit allègrement sur ses devoirs – protéger les catholiques et certainement pas adouber leurs bourreaux qui se glissent en nombre parmi ces migrants qu’il chérit tant –, vient de nous gratifier d’une nouvelle sortie dont il a le secret :

« Le Vatican a rendu public, lundi 21 août, le message du pape pour la journée mondiale du migrant et du réfugié, prévue en janvier prochain, [continuant] de plaider pour un accueil large des migrants et des réfugiés, soulignant que leur “sécurité personnelle” passe “avant la sécurité nationale” (source : La Croix) ».

François en rajoute une couche en appelant à un accueil « approprié et digne » des migrants, insistant « notamment sur l’extension et la simplification de l’octroi de visas humanitaires et pour le regroupement familial ». Il met aussi en garde contre « les expulsions collectives et arbitraires [qui] ne constituent pas une solution adéquate », demandant aux États d’éviter « toute forme de détention » des mineurs et prônant, enfin, une intégration contre « une assimilation, laquelle conduit à supprimer ou à oublier sa propre identité culturelle » (source : Valeurs actuelles). En clair, il prêche pour la fin de l’Europe historique, ni plus ni moins.

Aveuglement ou cynisme, que penser de ce vicaire du Christ oubliant ses fidèles en détresse, assez nombreux de par le monde pour qu’il s’en préoccupe prioritairement au lieu de singer ces chefs d’État européens à la botte d’un mondialisme apatride dont l’hégémonie se trouve encore freinée par les identités multiséculaires des peuples ?

En forçant le trait, le catholicisme étant, avec l’héritage gréco-romain, le socle culturel de l’Europe, François aurait-il été élu pour solder, chez nous, les comptes d’une religion deux fois millénaire et moribonde sur sa terre originelle, l’Orient ? Question qu’on est en droit de se poser.

Son discours fragilise un peu plus le catholicisme, déjà ébranlé par un anticléricalisme autochtone sans nuance, pour qui l’Église, c’est le mal, et l’islam, le salut. Plus largement, il met en danger la sécurité de tous les Européens, car le terrorisme islamique frappe les mécréants sans distinction.

Cela s’apparente à une trahison envers un continent victime d’un islam guerrier qui essaime, entre autres, les cadavres de catholiques coupables d’associationnisme – ou shirk, terme arabe désignant le fait d’associer un être à Dieu, donc le Fils au Père, étant par ailleurs admis, depuis le concile de Nicée, en 325, que le Premier est consubstantiel au Second, c’est-à-dire qu’ils sont de même essence, ainsi que le Saint-Esprit.

Toujours est-il qu’avec un tel discours, François nous donne là le baiser de Judas !




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