| Sommaire Si vous êtes invité chez un voisin et que vous savez qu'il déteste les chats, allez-vous lui parler de chats ? Quand vous allez visiter les Protestants, allez-vous parler d'indulgences sachant que ce fut une des plus grandes raisons de protestation du Père du Protestantisme, Luther ? Et qui paie pour ce mutisme ? Les fidèles qui pourraient voir toutes leurs peines dues au purgatoire remises en cette Fête de la Divine Miséricorde... Il n'est pas trop tard, profitez-en... |
| L'incident Parmi tant d'autres... Dimanche de la Divine Miséricorde, le 3 avril 2016, j'entre à la Basilique de ce Sanctuaire Marial reconnu par l'Église Universelle — ce n'est pas peu dire — je vais me confesser parce que je suis un des plus grands pécheurs très certainement. Au sortir de ma confession, je réalise que j'ai oublié de demander au confesseur s'il y a une valeur spéciale accordée à ma confession en ce Dimanche de la Divine Miséricorde.
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De retour à la maison, je commence à fouiller pour obtenir une réponse à mon interrogation parce que non seulement ce prêtre ne voulait rien en entendre parler mais le célébrant n'en a pas pas davantage parlé ni au début de la Messe, ni pendant son homélie ni à la fin de la messe.
L'Église ( du moins cette Basilique) n'existe-elle pas
avant tout pour sauver des âmes ?
Voici l'essentiel de ce que j'ai pu trouvé :
C'est Jean-Paul II qui a institué cette fête quand il canonisa Soeur Faustine Kowalska le 30 avril 2000. Cetta sainte reçut des messages de Jésus que l'Église reconnaît officiellement. Et lisez ce message particulier de Jésus :
« Je désire que la Fête de la Miséricorde soit un recours et un refuge pour toutes les âmes, et surtout pour les pauvres pécheurs. (...) Je déverse tout un océan de grâces sur les âmes qui s’approcheront de la source de Ma miséricorde. Toute âme qui se confessera et communiera recevra le pardon complet de ses fautes et la remise de sa punition »
Toute âme qui se confessera (dans les huit jours qui précèdent ou suivent ce Dimanche de la Miséricorde) et communiera, recevra le pardon complet de ses fautes et la remise de leur peine ; en ce jour sont ouvertes toutes les sources divines par lesquelles s'écoulent les grâces ; qu'aucune âme n'ait peur de s'approcher de Moi, même si ses péchés sont comme l'écarlate. [...].
Bon... c'est l'essentiel... On verra un peu plus loin les détails supplémentaires. Mais même à cela, vous pouvez vous dire : « Bien oui, quand je me confesse et que j'ai un sincère repentir et un ferme propos de ne pas recommencer, tout est correct... Qu'est-ce que ce message me dit de plus et pourquoi cette fête est si importante ...
du purgatoire même si vous vous confessez
adéquatement de vos fautes ?
| Un petit exemple pour comprendre En somme tout ce que l'Église devrait nous enseigner Commencez-vous à piger ? Un garçonnet un peu fébrile ( peut-être qu'il était pour pleuvoir, qui sait ?) danse autour de sa maman dans la cuisine avec un verre de jus à la main. Sa maman lui dit d'arrêter car il pourrait faire gaffe avec son verre de jus. Comme de fait, il s'enfarge dans ses pas et le verre tombe par terre et se casse. Le garçonnet regarde sa maman tout éploré et lui dit : « Tu avais raison, maman. J'aurais dû t'obéir ( repentir). Je ne le ferai plus maman (ferme propos). Sa maman lui pardonne ( absolution ) mais elle ajoute : « Il faut que tu ramasses ton dégât maintenant. ( peine due au péché). |
Voyez-vous ? Ce n'est pas parce qu'on a été pardonné de nos péchés par l'absolution donnée au confessionnal que nous sommes exonérés de réparer le mal qu'on a fait. C'est ce que l'Église appelle les peines dues aux péchés, autrement dit les réparations à faire pour les dégâts qu'on a fait, l'équivalent dans notre petit exemple de ramasser la vitre et le jus par terre.
Il y a deux moyens de réparer nos fautes : les souffrances endurées sur terre que nous offrons au Seigneur ou, bientôt... c'est à venir.... une certaine durée de purification au purgatoire.
de remettre votre compteur de temps au purgatoire à zéro
10, 20, 30 60, 100 ans de moins au purgatoire...
Est-ce que ça vaut la peine que l'Église nous en parle ?
Elle dont la préoccupation principale est notre âme ?
Même mot mais signification contraire. On parle ici du mot « oecuménisme ». Le Dogme le plus mentionné par les Pères de l'Église ainsi que par tous les Papes précédant le Concile Vatican II était : « Hors de l'Église, point de Salut ». Ce Dogme a été jeté aux poubelles par ce Concile.
Le principe sous-jacent à ce Dogme est le fait que l'Église Catholique est la seule religion qui détient la « Plénitude de la Vérité ». Par conséquent, toutes les autres religions qui ont parfois emprunté des éléments de vérité à l'Église Catholique sont fausses car ces vérités cohabitent avec des erreurs. Or, la Vérité ne peut pas cohabiter avec l'erreur. Ces religions sont toutes fausses et, si elles désirent s'unifier avec l'Église Catholique, elles doivent abandonner leurs erreurs et ne prendre que la Plénitude de la Vérité de l'Église Catholique.
Le Concile de Vatican II est venu piétiné complètement ce Dogme ( n'oubliez pas, c'est un Dogme ) par des écrivains probablement inspirés par la Franc-Maçonnerie ( tiens, tiens, Notre Maman et Jésus nous disent qu'ils ont le contrôle du Vatican présentement — ça a dû commencé déjà à ce moment-là, non ?)
La notion de l'oecuménisme de l'Église post-Conciliaire ( je n'ai pas écrit 'Catholique' ) consiste à affirmer que toutes les religions ont des bonnes choses en elles. Il faut donc s'approcher d'elles toutes et apprécier leur richesses. D'où Jean-Paul II, Benoît XVI qui vont prier dans des Synagogues, dans des Mosquées...
D'où le Pape François qui s'en va commémorer les 500 ans de la Réforme Protestante en Suède avec des Luthériens l'année prochaine. Il s'en va fêter Luther, celui qui a fait le plus de mal au Catholicisme au cours des 500 dernières années. Comprenez-vous quelque chose ?
Et quelle fut la plus grande récrimination de Luther contre l'Église Catholique lorsqu'il s'en est séparé ?
Il est vrai qu'à cette époque il y a eu des abus de la part de l'Église Catholique en matière d'indulgence. Le ménage a été fait peu après.
Mais quand on refuse de parler des indulgences qui nous a été transmises par une Sainte, comme Soeur Faustine, canonisée par l'Église elle-même, indulgences qui pourraient alléger de beaucoup le sort des âmes alors que l'Église préfère taire cela afin d'amadouer les Protestants ( tout comme elle fait en parlant si peu de Marie qui n'est pas reconnue par les mêmes Protestants ), on fait affaire non plus avec une Église qui cherche à sauver les âmes mais à une organisation politique qui cherche à unifier plusieurs religions pour compenser la pertes de fidèles qu'elle accuse présentement.
Une Église qui ne veut plus enseigner ce qu'elle sait
Parce que ça nuirait à ses intérêts politiques
Une Église visible qui n'est plus divine
Une Église qui a oublié sa mission: les âmes.
Voici les détails
Pour recevoir l'indulgence plénière associée à cette période il faut :
Se confesser et communier (ci-possible le même jour)
Une prière à Marie, Mère de Dieu
Je vous salue Marie pleine de grâce, le Seigneur est avec vous; vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort. Amen.
Le "Je crois en Dieu" (Crédo) Deux versions
Celui des apôtres est considéré comme le résumé fidèle de la foi des apôtres.
Je crois en Dieu, le Père tout-puissant, Créateur du ciel et de la terre.
Et en Jésus-Christ, son Fils unique, notre Seigneur; qui a été conçu du Saint Esprit, est né de la Vierge Marie;
a souffert sous Ponce-Pilate, a été crucifié, est mort et a été enseveli, est descendu aux enfers,
le troisième jour est ressuscité des morts, est monté aux cieux, est assis à la droite de Dieu le Père Tout-Puissant, d'où il viendra juger les vivants et les morts.
Je crois au Saint-Esprit, à la sainte Église catholique, à la communion des saints, à la rémission des péchés à la résurrection de la chair, à la vie éternelle. Amen.
Celui de Nicée-Constantinople, issu des deux premiers Conciles œcuméniques en l'an 325 et 381.
Je crois en un seul Dieu, le Père Tout-Puissant, Créateur du ciel et de la terre et de l’univers visible et invisible.
Je crois en un seul Seigneur, Jésus-Christ, le Fils unique de Dieu, né du Père avant tous les siècles
Il est Dieu, né de Dieu, Lumière, né de la Lumière, vrai Dieu, né du vrai Dieu, engendré, non pas créé, de même nature que le Père, et par Lui tout a été fait.
Pour nous les hommes, et pour notre salut, Il descendit du ciel ; par l’Esprit Saint, Il a pris chair de la Vierge Marie, et S’est fait homme.
Crucifié pour nous sous Ponce Pilate, Il souffrit sa passion et fut mis au tombeau. Il ressuscita le troisième jour, conformément aux Écritures, et Il monta au ciel ;
Il est assis à la droite du Père. Il reviendra dans la gloire, pour juger les vivants et les morts ; et son règne n’aura pas de fin.
Je crois en l’Esprit Saint, qui est Seigneur et qui donne la vie ; Il procède du Père et du Fils ; avec le Père et le Fils, Il reçoit même adoration et même gloire ; Il a parlé par les prophètes.
Je crois en l’Église, une, sainte, catholique et apostolique. Je reconnais un seul baptême pour le pardon des péchés. J’attends la résurrection des morts, et la vie du monde à venir. Amen.
Une prière pour le Pape
Dieu qui as choisi ton serviteur François I pour succéder à l'apôtre Pierre à la tête de ton peuple et représenter le Christ en notre temps, aide-le à soutenir tous ses frères: qu'il assure l'unité, l'amour et la paix, que toute l'Église soit en communion avec lui, et tous pourront trouver auprès de Toi, notre Père, la vérité et la vie. Par Jésus le Christ Notre-Seigneur. Amen.
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