Fondateur du Centre de Fatima avec des bureaux au Canada et à Rome, sa paroisse était la planète à cause de ses différents sites Internet qu'il avait mis sur pied : un site télé toujours actif et un site traditionnel. C'est sans compter ses revues, bulletins et lettres qu'il envoyait au moins deux par an à tous les Évêques du monde.
Son seul but : promouvoir l'urgence du Message de Marie à Fatima qui demandait en autres choses la Consécration de la Russie à Son Coeur Immaculé, ce qui n'est pas encore fait et qui causera une intensité de fléaux humains et naturels inimaginables.
Le bon Père Gruner est décédé le 29 avril 2015 à l'âge de 73 ans.
Mais pourquoi tant parler de lui ? Parce qu'à toutes les émissions auxquelles il participait à Fatima TV, sa chaîne, il terminait toujours, mais toujours ses émissions en demandant au public de ne pas oublier de dire leur chapelet tous les jours. Ses collègues qui animaient les autres émissions faisaient de même.
Une chose est certaine : le Père Gruner ne tirait pas de bénéfices personnels à nous demander de dire le chapelet tous les jours. Qu'est-ce qu'il avait compris que nous ne comprenons pas encore ? Nous allons tenter ici de comprendre ses motifs à tant insister ainsi.
Voyez ce que fait la pollution matérielle fait tous les jours :
Eh bien, il en va de même tous les jours en ce qui concerne la pollution spirituelle dont vous n'êtes pas plus conscients habituellement que la pollution matérielle. Des exemples ?
Un collègue qui a eu une altercation avec quelqu'un d'autre à votre bureau et il déverse son fiel envers cette personne auprès de vous. Vous craignez de le ramener à l'ordre de peur qu'il vous prenne en grippe aussi.
Une pub sur un panneau géant que vous croisez régulièrement qui annonce du lait. Vous y voyez un beau corps de femme (ou d'homme) à demi nu qui tient un verre de lait et la dame (ou l'homme) dit : « Il n'y a pas de mal à se faire du bien ».
Vous attendez chez votre dentiste. Vous prenez la première revue qui vous vient sous la main. C'est la revue Salon (allez voir, c'est du vrai). C'est une revue très chic, très renommée et prestigieuse. Vous tombez sur un article intitulé « Je suis un pédophile, pas un monstre ».
On est exposé dans ce siècle profane, pire qu'à Sodome et Gomorrhe, que dire... on est bombardé par des messages subliminaux qui constituent une pollution de notre esprit sans que nous le sachions. Et on n'a pas parlé de la télévision qui ne cesse de nous présenter des gays et des lesbiennes. Bof ! C'est même rendu démodé : si on veut conserver ses cotes d'écoute, on invite des transexuels...
Mais il n'y a pas que la sexualité qui fait horreur. Pensez aux séries dramatiques où il n'y a qu'envie, colère, jalousie entre les protagonistes...
Eh bien dire le chapelet permet à Marie de nettoyer la pollution de notre esprit. Et il tombe tellement de suie spirituelle de nos jours que c'est rendu une nécessité.
Le cumul de la suie ressemble au même phénomène que celui de la suie dans les vitres. Plus on attend pour les laver, moins la lumière peut rentrer. Et dans le cas spirituel, satan aime bien ce phénomène car moins il y a de lumière en vous, plus il peut se faire de la place sans être vu tant il y a des ténèbres.
En somme, dire le chapelet, c'est se mettre en mode bidirectionnel ou WIFI avec Marie. Mais vous me direz que vous n'entendez pas ce qu'Elle dit... En réponse, on pourrait facilement croire que le Ciel a des moyens de communications passablement plus avancés que les nôtres. Par ailleurs, Elle parle avant tout à notre âme. Et pour que notre âme puisse L'entendre, il faut qu'elle soit en paix. Le caractère répétitif du chapelet est VOULU. Cette répétition berce l'âme... la met en paix...
L'aspect répétitif du chapelet pourrait un peu se comprendre aussi de la façon suivante : quand on va voir un optométriste pour un examen, il nous demande de fixer droit devant nous une image, un point, une lettre ou un chiffre. Pendant ce temps, il s'approche en biais de nous avec sa lumière pour nous examiner l'intérieur de l'oeil. Le chapelet nous invite à réciter des pans de vie de Marie ( Annonce de l'Archange Gabriel, Visite de Marie à Élisabeth). Contempler ces tableaux, c'est comme regarder droit chez l'optométriste pendant que Maman Marie fait son bon travail en nous.
Souvenez-vous que vous vous adressez à la Mère de Dieu... Est-ce que Dieu peut refuser quelque chose à Sa Mère ? Certains préfèrent s'adresser directement à Jésus... Eh bien, ces personnes ont moins de chances ! Pourquoi ? Parce que, lorsque Marie va présenter une de nos demandes à Dieu, 1) Elle sait prendre les mots qui passent mieux. Après tout Elle le connaît depuis plus longtemps que nous ! 2) Elle ajoute de ses propres mérites à nos demandes, elle bonifie en quelque sorte nos demandes... C'est loin d'être à négliger...
devait nous souhaiter
Mais ne faites pas comme quelqu'un qui décide de faire du jogging et qui se tape 10 kilomètres à sa première sortie ! Non, commencez par 3, 10 Je vous salue Marie. Allez-y mollo...
Si vous désirez le faire mais que vous n'avez pas le goût, c'est normal : il y a une suie très active en vous qui n'aime pas ce que vous allez entreprendre. Vous avez l'impression que vous n'avez pas le goût, mais ça ne vient pas de vous... Cette sensation de ne pas avoir le goût d'entrer en communication avec le Ciel vous prouve justement que vous en avez besoin !
Ne vous inquiétez pas si vous baîllez ou pleurez malgré vous... C'est Maman Marie qui passe le balai dans votre âme... Il faut bien que ça sorte d'une manière ou d'une autre. On appelle ça des « libérations ».
Écourtez la promenade de votre chien, votre jogging, votre temps sur les réseaux sociaux et pensez à nettoyer la vitre de votre âme à défaut de quoi, avec le temps, il y aura tellement de suie que vous ne pourrez plus avoir assez de lumière pour distinguer les vessies des lanternes qu'on vous servira.
Pas grave...
Eh bien, vous avez de la chance ! Vous pouvez visiter cet endroit sur ce site qui vous l'explique en détails, petits bouts par petits bouts pas trop longs. À la fin, vous recevez un doctorat en chapelet (hihi)
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