Article écrit par Elisabeth Yore
Le 23 août 2016
Elizabeth Yore est une avocate internationale spécialisée en matière des droits de l'enfant, de la famille et un membre de l'Institut Heartland.Elle a enquêté sur plusieurs cas d'abus sexuels de l’Église.
La cause de l'environnement lui tient beaucoup à coeur car les Nations Unies entend propager dans ses programmes l'avortement et la contraception. Ça l'horripile de voir l'Église copiner avec les Nations Unies sans ne rien dire sur ces aspects.
Il y a une dizaine d'années, avec un orgueil typique, George Soros se vantait, qu’il « est le patron du Pape, maintenant ». Il semble que sa vantardise soit devenue une prophétie auto-réalisatrice avec le pontificat de François.
Les deux hommes les plus puissants du monde ont uni leurs forces pour former une alliance curieuse et troublante. L'un d'eux, souvent désigné comme l'homme le plus dangereux dans le monde, l'autre, le Vicaire du Christ.
À l’intérieur de quelques mois de l'élection du Pape Argentin Bergoglio, le cercle interne de Soros s’est fermement ancré au Vatican, faisant la pluie et le beau temps, rédigeant des documents, déterminant l’agenda politique de Soros avec la puissance et la persuasion morale du Vatican. Le mouvement global de l'écologie a finalement trouvé leur composante manquante critique, à savoir la voix de l'autorité morale. Les verts peuvent maintenant déposer leurs dirigeants ineptes, Al Gore, Leo DiCaprio et Michael Moore dans le bac de recyclage.
Comme la récente décharge de données sur Soros par WIKILEAKS le démontre, les tentacules du milliardaire Soros enchevêtrent les politiques et créent le chaos dans les pays du monde entier à travers ses légions d'agents dans ses organisations philanthropiques de l’Open Society. Son argent finance des groupes extrémistes qui cherchent à renverser le capitalisme et à promouvoir l’ordre mondial de l'environnementalisme radical. Sa coterie de conseillers couvre le monde entier dans des positions d'influence et de pouvoir, voyant à la réalisation de son programme radical.
Bien que l’Open Société finance des groupes de Catholiques radicaux, Soros a été incapable de saisir la papauté comme son prix ultime dans la domination du monde à cause des deux Papes conservateurs précédents qui se sont résolument opposés à son programme radical. Jusqu'à présent.
Le mouvement écologiste avait désespérément besoin d'un nouveau démagogue éblouissant pour renforcer sa cause sur le réchauffement climatique et pour taire ses critiques sous peine de crimes criminels ou de péché mortel.
Le 13 mars 2013, avec le changement soudain et inattendu du régime à la Cité du Vatican, Soros et ses agents des Nations Unies comprirent que le climat se réchauffait sur le coup et que les opportunités abondaient avec le nouveau pontife Argentin de gauche. George Soros ne pouvait pas imaginer un partenaire plus parfait sur la scène mondiale, un tel partenaire qu’il a recherché pendant toute sa carrière : un chef religieux majeur pontifiant comme étant l'autorité morale pour l’environnement. pour des pays sans frontières, pour les migrations de masse et les mouvements pro-islamiques.
Entre Jorge Bergoglio, avec le sourire, l’Argentin tout miséricordieux. En quelques semaines de l'élection de François, le Secrétaire général de l'ONU Ban Ki Moon, qui est le collaborateur de Soros, a fait sa visite de courtoisie obligatoire au nouveau pontife et Ban Ki Moon savait que quelque chose avait radicalement changé au Vatican. Après sa visite papale, le Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a annoncé au monde : « Nous avons discuté pour faire avancer la justice sociale et accélérer dans le monde l’atteinte des objectifs de développement durable(ODD). Nous avons également parlé de la nécessité pour nous tous et le monde de faire progresser la dignité et les droits humains, en particulier pour les femmes et les filles ». De façon choquante, le Vicaire nouvellement élu du Christ a apparemment béni les ODM (note : Objectifs de Développement pour le Millénaire) et les ODD qui sont de nature pro-avortements radicaux, mais ce fut seulement le début du coup de Soros au Saint-Siège.
Selon les termes de la Fondation des Nations Unies (une autre bénéficiaire de Soros), le Vice-Président Timothy Wirth, notoirement connu pour son arbre fait de condoms dans son poste précédent au Département d'État a dit : « Nous avons jamais vu un Pape faire quelque chose comme ça. Pas un seul individu n’a autant domination globale qu’il n’en a. Ce qu’il fait résonnera dans le gouvernement de tout pays qui a une circonscription de Catholiques ».
L'accueil chaleureux du Pape a résonné parmi les élites mondiales. Alleluia ! François a donné le feu vert à la charge controversée sur l'avortement, à la flexibilité sur le genre et aux Objectifs de Développement Millénaires (ODM) à tendance féministe ainsi qu’à leur progéniture, les ODD.
Jeffrey Sachs, Conseiller Spécial du Secrétaire général de l'ONU sur les ODM bénéficie également d'une longue relation économique de 30 ans comme pilier de Soros et est un proche conseiller et bénéficiaire des millions de Soros. Sachs s’est présenté au Vatican afin d’élaborer les premiers plans visant le déploiement par le Vatican de la théologie du réchauffement de la planète.
Immédiatement, l'ONU, par son écurie Soros d'experts infusés, a commencé à dominer l’agenda du Vatican en faisant taire et en bannissant tous points de vue opposés sur la science du réchauffement global. Heureusement pour Soros et l'ONU, François voulait seulement « dialoguer » avec un côté du débat sur le climat.
Jeffrey Sachs, économiste, directeur de l'Institut de la Terre de l'Université Columbia, Conseiller spécial du Secrétaire général UN, et collaborateur de longue date et bénéficiaire de Soros.
Depuis 1989, l'économiste Jeffrey Sachs a servi expert globe trotter péripatéticien de Soros, faisant la promotion de sa controversée « thérapie de choc » en suggérant de lever la monnaie et le contrôle des prix ainsi que diverses autres tactiques afin d’introduire les pays à un rythme rapide dans l'économie de marché libre avec des résultats mitigés. Sachs a rebondi avec l'aide de Soros et dirige le Earth Institute ( Institut de la Terre ) à l’Université de Columbia et a reconfiguré ses ensembles de compétences pour devenir le tsar de la pauvreté des Nations Unies qui dirige le projet Millenium Villages avec l'aide de 50 millions $ de Soros. Maintenant qu’il est fermement transformé en expert de la pauvreté, et gourou de l'environnement, Sachs construit son fief à l'ONU avec les dollars de Soros et s’est transformé en un expert de la pauvreté et en un alarmiste de l'environnement en tant que maître du tordage de bras en matière de catastrophe du réchauffement global.
Dans les trois mois de l'élection de Bergoglio, Jeffrey Sachs, proche confident de Soros, a été présenté comme le premier porte-parole du Vatican, expert, auteur et meneur de claque de la Théologie Écologique de François. Sachs est devenu un appareil parfait au Vatican avec ses 10 adresses électroniques au Vatican pour promouvoir les ODD. Sachs a orchestré le programme environnemental du Vatican en construisant un momentum et un consensus pour les ODD. Avec la collaboration d'un grand nombre d'autres acolytes de Soros au Vatican, ils écrivirent le manifeste radical du Vatican sur le changement climatique intitulé « Le Changement Climatique et Notre Maison Commune » en prévision du coup de grâce, l'Encyclique papale, Laudato Si.
Du jour au lendemain, le Saint-Siège s’est mis à plat ventre devant l’agenda du développement durable des Nations Unies alors que le changement climatique a pris un nouveau statut spirituel en tant que la théologie de François sur l’environnementalisme.
Joseph Stiglitz, économiste, Co-auteur et Collaborateur de Soros et bénéficiaire de l’Open Society, Membre de l'Académie Pontificale des Sciences Sociales
Il a été appelé l'économiste de Soros et son homme de pointe. Sans surprise, lui et Soros sont co-auteurs de livres ensemble. C’est Joseph Stiglitz, qui dirige l'Initiative financée par Soros pour le dialogue de politiques (Policy Dialogue), qui favorise l'établissement d'une « nouvelle monnaie internationale » et d'un système de taxation internationale. Aussi Stiglitz a un rôle clé dans la Révolution/Écologie de François / Soros en tant que membre de l'Académie Pontificale des Sciences Sociales (APSS) qui héberge et fonctionne comme le centre de commandement du Plan Papal Écologique. Stiglitz, comme Sachs, a servi longtemps comme collaborateur à Soros en tant que consultant. Soros et Stiglitz servent souvent comme co-panelistes lors de grandes conférences mondialistes et Soros a fourni des fonds de démarrage pour une autre organisation radicale, le Groupe Socialiste International de Stiglitz. Stiglitz et Sachs ont également co-écrit le manifeste environnemental radical du Vatican, « Le Changement Climatique et le Bien Commun » avec d'autres alliés de Soros.
C’est intéressant et significatif de savoir que Stiglitz a servi également de conseiller économique de longue date à la Présidente Argentine Cristina Kirchner et à son mari, l'ancien Président, collègues Péronistes avec François.
Les plus proches collaborateurs de George Soros se sont cachés avec succès et se sont intégrés au Vatican pour mener à bien leur stratégie environnementale globale de gauche radicale avec la bénédiction et l'aide du Saint-Siège. Pourtant, il y a plus d’acolytes de Soros qui peuplent le Vatican.
Le Centre de Contrôle de Soros / Vatican : L’Académie Pontificale des Sciences Sociales
L’Académie Pontificale des Sciences Sociales sert de groupe d’experts académiques et de remue-méninges au Vatican. Son Chancelier, l’Évêque Argentin Marcelo Sanchez Sorondo, un progressiste radical, a soudainement été habilité à mener son agenda extrémiste lorsque son compatriote Argentin Bergoglio a assumé le Siège de Pierre.
Au cours de la période 2013-2015, l'Académie a fourni frénétiquement et efficacement une couverture pour le plan ONU / Soros / ODD qui a éclos et été mis en œuvre sous la direction de Sorondo en ouvrant grand les portes pour les alliés de Soros.
L’Évêque Sorondo a fait dévier la critique sur la relation soudaine et exceptionnellement confortable de l'ONU avec le Vatican. L’irritable Sorondo a fait remarquer en réponse aux préoccupations sérieuses à l’effet que le Vatican se laissait constituer de lui-même une plate-forme pour les Nations Unies afin qu’ils promeuvent leurs propres priorités. L’Évêque Sorondo a défendu l'ONU et a fait remarquer : « Les Nations Unies ne sont pas le diable. Au contraire, c’est tout le contraire ».
Sorondo semble impliquer que l'ONU a reçu une mission de la part de Dieu. Mais, comme le dit le dicton, le diable est dans les détails et les détails comprennent l'équipe de George Soros.
Les cerveaux de Soros, à savoir Sachs et Stiglitz, ont mené la révolte du Pape pour promouvoir l’agenda du changement climatique ONU / Soros avec l'aide de d’autres bienfaiteurs Soros.
Le Copinage Soros / ONU au Vatican
Mgr Marcelo Sanchez Sorondo, Chancelier de l'Académie pontificale du Vatican (APSS), siège au Conseil consultatif du Réseau de Solutions en Développement Durable des Nations Unies avec Ted Turner (fondateur de CNN) et Jeffrey Sachs. Sorondo a récemment été honoré par la Fondation des Nations Unies, l'une des organisations philanthropiques de George Soros, pour son travail à promouvoir les ODD et Laudato Si.
Jeffrey Sachs, un confident de longue date et collaborateur de Soros et cerveau économique de confiance, a co-écrit le document du Vatican, le Changement Climatique et le Bien Commun. Sachs a parlé bien en évidence à l’APSS du Vatican au moins 9 fois sur la catastrophe du changement climatique. Soros a dépensé des dizaines de millions pour financer de nombreux projets de développement des Nations Unies de Sachs en Afrique.
Partha Dasgupta, membre du APSS, a co-écrit le document du Vatican sur le Changement Climatique et le Bien Commun. Dasgupta a siégé au Conseil consultatif externe du Earth Institute de Sachs avec George Soros.
Peter Raven, membre du APSS, a co-écrit le document du Vatican sur le Changement Climatique et le Bien Commun. Raven a collaboré à la recherche du contrôle radical de la population avec Paul Ehrlich, qui a servi de base pour le livre controversé et discrédité, The Population Bomb. Lui aussi, a siégé au Conseil consultatif de l'Institut de la Terre de Sachs avec George Soros. Raven a siégé au Comité exécutif de la Fondation internationale de la science de George Soros pour l'URSS.
Joseph Stiglitz, membre de l’APSS, et collaborateur de longue date de George Soros, co-auteur de livres avec Soros, il a reçu un financement de Soros pour l'Internationale Socialiste et il est conseiller économique de longue date des Présidents socialistes Argentins, Cristina et Nestor Kirchner.
Hans Schellnhuber, membre nouvellement nommé du APSS, a co-écrit le document du Vatican sur le Changement Climatique et le Bien Commun. C’est un scientifique allemand et un membre de FuturICT, une organisation financée par George Soros. Il est aussi une voix et un promoteur strident du contrôle de la population.
Naomi Klein, anti-capitaliste Marxiste et environnementaliste radicale qui a été invitée par François pour prononcer une conférence sur l'environnement en juin 2015. Klein est membre d'un groupe environnemental financé par George Soros appelé 350.org. Klein a été franche au sujet de la nécessité de renverser le capitalisme et comme, Sachs et Stiglitz, elle a parlé publiquement et a soutenu Occupy Wall Street (financé par Soros) lors des démonstrations en octobre 2011.
Emma Bonino. Le Pape François a rencontré Bonino au grand choc et horreur des Catholiques. Elle est un membre éminent du Conseil Mondial de l’Open Society Foundations de Soros, son organisation philanthropique majeure de financement. Bonino, un femme politique italienne, est également connue comme la femme avorteuse de l'Italie qui a personnellement effectué des milliers d'avortements bien qu’elle ne soit pas médecin. Le Pape François l’a appelée « une des plus grandes de l'Italie » qui est semblable à appeler Kermit Gosnell ( note : ancien médecin américain qui pratiquait des avortements. Il a tué trois bébés qui avaient survécu à ses procédures d’avortement) qu’on appellerait l'un des plus grands d'Amérique.
Le changement climatique, pas le Catholicisme, à l'ordre du jour du Vatican
Sachs et ses alliés de Soros ont chronométré leur travail au Vatican avec une précision stratégique. Le 25 mai, 2015, le Pape a publié sa très attendue Exhortation sur l'environnement, Laudato Si, qui appelait à l'adoption des ODD. Le 25 septembre, 2015, le Pape François s’est adressé à l'Assemblée générale des Nations Unies, exhortant l’approbation des ODD, qui a passé le vote fortuitement à cette date.
François a fièrement vanté que son Encyclique environnementale, Laudato Si, serait utilisée pour promouvoir le passage des objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies en septembre 2015 et suivie par le passage du Traité sur le Climat à Paris (Cop 21) en décembre 2015. Jeffrey Sachs a reconnu que François et son Encyclique « Laudato Si a rendu possible l'adoption à la fois des objectifs de développement durable des Nations Unies en septembre 2015 et l'Accord de Paris sur le Climat en décembre 2015 ».
Un onzième commandement est déclaré : Tu dois réduire ton empreinte carbone.
À la fin de 2015, le Gang Soros avait livré à son patron, George Soros, une Encyclique papale sur le réchauffement global de 185 pages, le passage des ODD et, surtout, le feu vert pour commencer la mise en œuvre du Traité de Paris sur le Climat, une redistribution mondiale de la richesse par des taxes sur le carbone dans le monde industrialisé.
Mission accomplie, M. Soros.
Soros et Bergoglio — un match dans les écosystèmes célestes. Leurs empreintes carbone s’alignent sur de nombreuses questions politiques. George Soros est le plus grand propriétaire terrien en Argentine (un demi-million d'hectares) avec plus de 150 000 têtes de bétail et il possède également des actifs financiers Argentins massifs. Jorge Bergoglio, le premier Pape latino-américain, le péroniste Argentin avec une profonde préoccupation pour l'économie Argentine en lutte. Deux côtés du peso Argentin, un pontife natif de l’Argentine avec des poches profondes à la Banque du Vatican, l’autre, un courtier de pouvoir milliardaire mondialiste avec des poches plus profondes encore.
Les deux aiment le pouvoir et le chaos ; François est connu pour son refrain tristement célèbre « Faites un gâchis, créez le chaos » et Soros pour son cryptique « Discernez le chaos et devenez riche ». Les deux hommes comprennent qu'ils émergent plus puissants lorsque les institutions et les gouvernements sont déstabilisés.
Jorge et George, des idéologues politiques mondialistes identiques : des écologistes, pro-Iran, pro-ONU, pro-Cuba, pro-Argentine, pro-migrations de masse, pro-monde sans frontières, anti peine de mort et anti-Trump.
George Soros est maintenant le patron de François.
C’est une vérité qui dérange.
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