Elizabeth Yore est une avocate internationale spécialisée en matière des droits de l'enfant et un membre de l'Institut Heartland.
Elle a servi comme avocate générale au National Center for Missing & Exploited Children, et avocat général au ministère de l'Illinois des enfants et des Services à la famille. Elle mène des enquêtes et des consultations sur les enfants disparus et exploités autour des cas mondiaux.
Elle a enquêté sur les abus sexuels de l’Église et elle a assisté les victimes Belges de pédophilie et leurs familles. Elle sait donc ce dont elle parle ici.
Le 31 juillet 2016
SOURCE : The Remnant
«
Prêtres, soyez des pasteurs
qui portent « l’odeur des brebis » »
Le Pape, le 28 mars 2013
Peut-être, les décennies d'enquête et de recherche pour les enfants disparus et enlevés dans le monde entier m'ont fourni un aperçu des dangers pour les enfants. Peut-être qu’à connaître les tactiques et les histoires de prédateurs sexuels augmente mon inquiétude sur les adultes naïfs et crédules qui placent les enfants et les adolescents dans des situations dangereuses et compromettantes.
Peut-être que connaissant la vulnérabilité des jeunes qui engagent des conversations avec des gens de la rue, que ce soit des malades mentaux ou des sans abri et qui mettent ainsi en péril leur sécurité et leur bien-être. Peut-être que les années d'enquête sur des voyous qui se présentent comme des gens de la rue, et qui prennent en proie des enfants impressionnables et des adolescents en les attirant dans la traite des personnes, dans les drogues et d'autres crimes violents, influence mon commentaire à propos de l'avis catéchétique bizarre et troublant donné par un Évêque Américain aux Journées Mondiales de la Jeunesse en Pologne.
Je suis sûre que cet Évêque est un brave homme. Pourtant, son allocution et ses vues non seulement amplifient l'absurdité profonde du mantra de la miséricorde perpétuée par le Pape François et ses collègues Évêques, mais il pose un grave risque pour les enfants.
Aux Journées Mondiales de la Jeunesse en Pologne, l’Évêque, Mgr Frank Caggiano de Bridgeport au Connecticut, a suivi les diktats de l'Année Jubilaire de la Miséricorde avec sa « conférence catéchétique » sur la miséricorde, ce qui démontre l'inanité et l'idiotie de la manie de la miséricorde du Pape François. L’Évêque Caggiano a incroyablement instruit 150 jeunes que le fait de donner 1 $ à une personne sans-abri que l’on voit dans la rue ne suffit pas pour un Catholique et a préconisé une pratique dangereuse au nom de la miséricorde. « Comme l’Évêque Caggiano l’a fait remarquer : « Mes amis, ça peut être assez bon pour le monde mais ce n'est pas assez bon pour Jésus-Christ. Ce n’est pas ce que nous sommes appelés à faire. Nous sommes appelés à plus que cela » a expliqué l’Évêque Caggiano.
Et ensuite en invoquant cette phrase inoubliable répétée sans cesse par le Pape François, l’Évêque Caggiano a affiché et acté les vraies actions Catholiques miséricordieuses envers la personne sans-abri.
« Vous vous mettez à genoux, placez vos mains sous eux, vous les rapprochez de vous et vous les soulevez » a-t-il dit. « Et l'odeur du mouton survient quand votre cœur et son cœur sont si proches qu'ils se touchent ».
Touchés, hein ?
Ne retenez pas votre souffle pour quelques citations du Catéchisme de l'Église Catholique.
Peut-être que l’Évêque Caggiano ne faisait pas attention, le 5 juin 2002, quand Elizabeth Smart à 14 ans, a été enlevée de sa chambre à coucher au milieu de la nuit par un homme sans-abri, Brian David Mitchell. Ed et Lois Smart, les parents d’Elizabeth, avaient souvent recherché et aidé des gens de la rue sans-abri de Salt Lake City en les payant pour faire des petits boulots autour de leur maison. Ils n’ont pas simplement passé dans la rue et donné à 1 $ dans leur panier, non, ils voulaient faire plus. Mitchell était l'une des personnes sans-abri qui a été aidée par la famille Smart et qui a travaillé pendant 5 heures à faire un petit boulot chez eux. Sans doute, leurs intentions étaient miséricordieuses envers les sans-abri, mais périlleuses pour leurs six enfants.
Pendant neuf mois, Elizabeth Smart a été violée quotidiennement à plusieurs reprises par Brian David Mitchell alors que ses parents et les forces policières la recherchaient désespérément.
Ce n’est pas une fin très miséricordieuse pour une jeune fille innocente. Ni pour les milliers de jeunes filles violées dans les rues par des hommes migrants musulmans en Allemagne, en Suède, en Norvège, au Danemark et en France.
Apparemment, l'Évêque Caggiano a fortement influencé son auditoire de jeunes parce qu'ils ont été suffisamment châtiés pour leurs attitudes impitoyables envers les personnes sans-abri.
Une des filles à sa conférence a commenté :
« Au lieu de simplement remettre de l'argent aux gens, je devrais me lever, leur donner une accolade et leur faire sentir comment ils sont une personne aussi, comment ils sont acceptés dans la société. Quelque chose de plus que simplement matériel comme leur donner quelques pièces de monnaie et continuer son chemin. »
« Je pense que je dois réévaluer la façon dont je vois les choses maintenant et comment j'agis envers les personnes qui sont sans abri ou moins fortunées » a-t-elle dit.
La théologie de la miséricorde autoproclamée du Pape François dégénère en un cours de sociologie banale et insipide de niveau 101, un cours sur comment pratiquer une étreinte dans la rue. Je peux entendre les missionnaires du Pape François maintenant : « Honk…honk ( coups de klaxon ), si vous avez besoin d'un câlin… » Vraiment, les Évêques, avec votre précieuse M.T.S, ( maladie transmisse sexuellement ), êtes-vous vraiment tomber en amour avec cette foutaise ? Les moutons puants sont la nouvelle norme de salut par laquelle nous sommes tous jugés dans l'Église du Pape François ? Rejetez le Modernisme de la miséricorde du mouton puant du Pape François, dans toutes ses manifestations hideuses et fausses, et invoquez l'intercession du martyr courageux, le Père Jacques Hamel. Y a-t-il un de vous qui soit un berger courageux ?
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