CNN est choqué, choqué d’avoir trouvé que Donald Trump
a dit des mauvaises choses il y a plusieurs années.
Écrit par Michael Matt | éditeur
SOURCE : The Remnant
Eh bien, n’est-ce pas quelque chose ! Alors que nous attendons tous le Commissaire Gordon qu’il convoque une réunion d'urgence du Conseil de Gotham City, nous sommes assis incrédules et abasourdis sur l'hypocrisie caricaturale des médias. Ces êtres humains misérables passent 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 à nous marteler leur agenda pro-sodomie, pro-avortement et pro-perversion dans la gorge du peuple Américain, et maintenant, dans ce cas, ils font semblant de défaillir en horreur sur le badinage cinglé de vestiaire de Donald Trump, il y a onze ans.
« Honte à Donald Trump », scandent les média hypocrites ... pour parler des choses viles que Bill Clinton a faites — des mêmes choses que Grand-Mère Clinton a couvertes, a adoucies et pour lesquelles elle a menti et nié. Bien sûr, l’horrible badinage de Trump aurait tué sa campagne dans l'Amérique dans laquelle j’ai grandi. Mais aujourd'hui ? Mais en 2016 ... après des décennies de colportage de perversion par les plus puissants dans le gouvernement, les médias et le divertissement ? Le mot « pervers » lui-même a perdu son sens sous la veille de ces pervers. Ces mêmes charlatans qui hurlent pour la tête aujourd'hui de Donald Trump ont passé la dernière année à exiger que les hommes aient le droit d'utiliser les douches et les toilettes des femmes dans toute l'Amérique.
Cette indignation morale venant de faillis moraux est juste un petit peu exagéré. Et c’est à propos d'une chose, bien sûr : obtenir que Grand-Mère Clinton retourne à la Maison Blanche. Dinesh D'Souza l’a bien résumé sur Fox News Channel hier : « Nous avons vu des média biaisés dans toute ma vie d'adulte, mais jamais je n’ai vu auparavant les media pousser de façon si agressive pour faire passer cette vieille bique ( chèvre) tordue à travers la ligne d'arrivée ».
Trump n’est pas un saint. ( Y a-t-il jamais eu un doute sur cela ? ). Il est un produit de l'époque. De plus, sur Remnant TV la semaine dernière, nous avons subi un peu de pression pour avoir soutenu que Donald Trump a perdu le premier débat avec Hillary Clinton et qu’il a vraiment mal perdu, non pas seulement aux points, mais aussi en terme de caractère. Il peut être manipulé, soit par la flatterie ou par l’insulte — une caractéristique non typique des hommes et des femmes dotés d’un caractère moral fort. Trump semble essayer de se dissimuler quelque chose à lui-même — quelque chose qui ressemble à une conscience perpétuellement coupable.
De l’autre côté de l'allée, d'autre part, son adversaire robotique manifeste les traits classiques du psychopathe, en commençant par une incapacité de l’âme à ressentir quelque culpabilité que ce soit que, je suppose, on doit s’attendre d'une femme qui a fait campagne depuis des années pour le droit de la mère à tuer ses bébés. Clinton semble ne pas avoir de conscience, mais présente une mégalomanie impitoyable qui rappelle Adolf Hitler et celle de Joseph Staline.
Trump est ce qu’il est. Et maintenant, il a été pris sur bande sonore à dire seulement ce qui devrait surprendre ceux qui ne connaissent rien aux magnats milliardaires de l’immobilier qui travaillent le soir dans le racket des casinos. Cela dit, je vais laisser Dieu juger Donald Trump. Je n’excuse pas et je ne suis pas surpris par ses pitreries, ce qui nous ramène au point que nous avons essayé de faire à la TV de Remnant : beaucoup de bonnes gens peuvent voter pour Donald Trump même s’ils savent exactement ce qu’il est. Pourquoi ? Parce que cette élection est plus grande que Donald Trump qui a besoin en passant d'un confesseur dès à présent, contrairement à son adversaire qui a besoin d'être arrêté.
Et si vous voulez blâmer quelqu'un pour la montée de Donald Trump au sommet du tas de fumier politique, blâmer les insupportables RINOs ( terme péjoratif : Republican In Name Only — Républicains de nom seulement ) —Paul Ryan, George H.W. Bush (qui vote pour Hillary en passant) Mitt Romney, John McCain et le reste des faux conservateurs dans le GOP ( Parti Répuplicain — Gran Old Party) qui ont menti aux pro-vie, pro-famille, pro-Dieu en Amérique depuis des décennies et qui ont été si occupés « rejoindre l’autre côté de l'allée » qu’ils viennent juste de tomber finalement de l'autre côté, causant des millions de braves gens à s’éloigner dans le dégoût.
Blâmez Hillary Clinton et son ambition colossale qui a causé des millions, comme Maureen Mullarkey l’a écrit dans sa récente chronique : « Je suis prête à :
... voter pour Homer Simpson avant que je laisse aller cette femme dans le Bureau Oval. Un vote pour Clinton est un vote pour rouler vers la faillite et laisser l'avatar à la main entachée de sang d'une république bananière manger nos entrailles. Pour attribuer la présidence à une arnaqueuse ignoble —une avec une caisse noire perfide appelée une « Fondation »— serait un péché contre la franchise.
Blâmez les médias dont l'hypocrisie est sans précédent dans les temps modernes et dont la promotion du ticket démocratique — qu’importe qui en porte le fanion —a polarisé ce pays.
Et tout cela n’est pas pour minimiser Donald Trump qui s’est comporté comme un adolescent imbécile dont la mère a besoin de lui laver la langue avec une barre de savon.
Néanmoins, étant donné tout ce que nous savons à propos de Donald Trump, pourquoi est-ce que le monde, la chair et les médias rassemblent toutes les puissances de l'enfer pour écraser cet homme ? De quoi ont-ils si peur ? Ce n’est pas l'homme lui-même de toute évidence qui a réussi à force de trébucher pour se rendre jusqu’à l'endroit où il est rendu maintenant, et ce presque par défaut, le champ était si inepte contre lequel il a fait campagne. Ce n’est pas un géant intellectuel qui planifie avec précaution le renversement de l'establishment libéral. Ce n’est pas un saint qui se prépare à gouverner l'Amérique avec une Bible dans sa main.
Alors quoi ? Pourquoi le haïssent-ils ? Il n'y a qu'une seule possibilité : c’est à cause de ce qu’il représente présentement et des rappels désagréables de ses promesses de campagne mises de l’avant à un moment où la victoire totale était à portée de main pour les plus vicieux Christophobes dans l'histoire. Donald Trump —le grossier et l’inepte politicien —est en train de dire toutes les mauvaises choses (dans la mesure où les Christophobes sont concernés) dans sa tentative de gagner la confiance des millions d'Américains privés de leurs droits qui croient encore en Dieu, au droit de l'enfant à naître et aux droits de la famille et les enfants.
Les Christophobes ont contrôlé leur opposition, l’ont même cooptée (dans le cas du GOP) ( Parti Républicain), et maintenant VOICI ! Donald Trump gaffe, incroyablement, et met toutes les questions qui comptent le plus sur la table, ce qui amène les masses mécontentes à leurs pieds à nouveau, inspirées et prêtes à se battre. Il a défié tout le faux establishment conservateur, d'une part, tout en percutant de grands trous béants dans la coque du destroyer de l’extrême gauche de l'autre.
C’est un être humain incroyablement imparfait, oui, mais Trump sait ce qu'il faut pour gagner. Et dans ce cas, gagner signifie assumer les causes qui comptent pour les gens qu'il est censé représenter. Sa logique était saine : « Je suis censé être un conservateur. Les conservateurs croient ceci et cela. Par conséquent, je dois endosser ceci et cela.
Et pour Trump, le « ceci et cela » signifiait :
1- Faire des déclarations audacieuses affirmant qu’il est pro-vie
2- Choisir comme Vice-Président le plus passionné des pro-vie, pro-Dieu, pro-famille que l’Amérique a vu depuis des décennies
3- Promettre de nommer des juges pro-vie et des constitutionnalistes stricts pour SCOTUS ( Supreme Court of the United States — Cour Suprême des États-Unis ).
4- Promettre d'abroger l'Amendement Johnson ( Cet amendement interdit aux organisations exemptées de taxes de participer à la vie politique. Les Églises sont les premières à se taire même devant les salles de bains mixtes, l’avortement, etc… Trump veut annuler cette clause … L’Église pourra parler… )
5- Promettre de protéger la liberté religieuse
6- Promettre de mettre un terme au cauchemar du « monde sans frontières » de George Soros
7-Promettre d’abroger Obamacare — le socialisme brut à son pire
8- Promettre d’abroger le Tronc Commun tout en protégeant l'enseignement à domicile ( Tronc Commun : curriculum scolaire et canevas de cours obligatoires pour tous les étudiants du pays. Matières essentiellement athées. )
9. Maintenir la loi et l'ordre à un moment où le chaos dans les rues est orchestré afin d'atteindre volontairement le pouvoir pour une élite mondiale
10- Promettre de couper les budgets à Planned Parenthood et protéger l'amendement Hyde ( L’amendement Hyde est une mesure législative empêchant l’utilisation de fonds publics pour défrayer les coûts associés aux avortements dans le programme social de soins de santé connu sous le nom de Medicaid; et)
11- Se tenir debout fermement pour le droit des Américains à se défendre
Et ainsi de suite. Ils ne détestent pas Trump. Ils vous détestent. Ils me détestent. Ils détestent Dieu. Ils détestent l'enfant à naître. Ils détestent l'Amérique. Et pour gagner la Maison Blanche, Trump s’est déclaré lui-même le champion de tout ce qu'ils détestent. Ce que tout cela signifie pour Trump est sans importance pour eux. Ce dont ils sont terrifiés, c’est un peuple revigoré et les idées qu’il représente maintenant. Et pour cela, le playboy milliardaire est devenu ennemi public numéro un pour les médias, Hollywood, Washington et le reste des satellites de l'Enfer dans ce pays.
Trump se retrouve au milieu d'une révolution mondiale contre Dieu et la famille qu’il n’a même pas commencé à comprendre lui-même. L'Église Catholique — la seule voix morale à laquelle le monde n’ait jamais eu à obéir — se tait. Les politiciens font le pied de grue. À sa propre manière maladroite, Trump est vraiment un outsider — non pas dans le sens que CNN utilise le mot, mais un vrai outsider qui n’est pas sur le comité de planification du Nouvel Ordre Mondial, et, donc, il doit être détruit.
Je ne suis pas en train de défendre Donald Trump ou les choses bestiales qu’il a dites sur cette bande sonore. Nous avons les dirigeants que nous méritons et, au final, notre aide ultime n’est pas au nom de Donald Trump ou à tout autre homme politique mais plutôt au Nom du Seigneur qui a fait le ciel et la terre. Dans la mesure même où nous avons un chien dans ce combat, nous considérons notre survie à court terme et la protection de nos enfants.
En tant que Catholiques, nous ne sommes pas obligés de participer à ce processus politique (peu importe inadéquat qu’il est) qui impacte directement sur nos familles et nos vies. La Sainte Mère l'Église nous dit que nous devons faire tout notre possible pour atténuer les circonstances et tirer le meilleur parti d'une situation terrible. C’est notre droit devant Dieu et devant nos semblables.
Et ce blitzkrieg ( allemand=guerre éclair) contre Trump qui est mené par la machine Clinton et leurs complices volontaires dans les médias traditionnels est tellement de la poudre aux yeux destinée à confondre et à distraire les masses juste assez longtemps pour que les maniaques globalistes Sans Dieu puissent entreprendre la prochaine étape et ça ne sera pas du gâteau !
La semaine dernière, nous avons fait une vidéo à la télé de Remnant sur une seule question politique. Nous avons choisi l'avortement comme notre premier exemple d'un seul problème qui l'emporte sur tous les autres. Si Trump n’est pas assassiné ou contraint de démissionner, nous allons continuer à offrir des services vidéo à l'appui des questions qui aident les bonnes gens à justifier leur vote en fonction de biens conflictuels et endommagés.
Cette semaine, nous avons choisi le Deuxième Amendement ( droit de tout citoyen de posséder des armes à feu ) — selon l’idée que la raison pour laquelle la gauche haineuse dans ce pays méprise tant le Deuxième Amendement n'a rien à voir avec un désir sincère de leur part de lutter contre la violence armée dans nos villes — violence que leur politiques fomentent et qu’ils utilisent eux-mêmes à leur propre avantage. Au contraire, cela fait partie de leur plus grand plan pour émasculer Amérique et mettre un terme à la notion que les citoyens Américains peuvent se défendre eux-mêmes, se nourrir eux-mêmes ou même penser par eux-mêmes sans que le puissant gouvernement fédéral.
La guerre sur le Deuxième Amendement est une composante psychologique clé de la création de l'État Providence.
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