Préambule Le prêtre Nicholas Gruner, Montréalais d'origine ( 4 mai 1942 ), a fait ses Humanités au Séminaire de Saint-Sulpice ( Mtl ), a gradué à l'Université McGill ( Mtl ) et fit ensuite des études post-universitaires ( théologie ) à l'Université Pontificale de Saint Thomas d'Aquin ( Rome ). Il est le fondateur du Centre de Fatima à Fort Érié, Ontario,(150 km à l'ouest de Toronto). Il est le plus grand spécialiste de la Consécration de la Russie au Coeur Immaculé de Marie demandée par Notre Maman à Fatima. Depuis 37 ans qu'il ne se dédie qu'à cette cause. La paroisse du Père Gruner est la planète ! Il a mis sur pied plus de cinq sites Web visant des clientèles distinctes. Des millions de personnes accèdent aux sites suivants : la Web Télé appelée Fatimatv.com , le site classique Fatima Network qui traite des nouvelles toujours du même sujet, un site d'archives des vidéos des entrevues réalisées et des conférences données par des sommités dans leur domaine : économistes, médecins, etc. Son équipe est composée de plusieurs experts : théologien, avocat, ex franc maçon, protestant converti,luthérien converti, éditorialiste, etc... Il gère aussi un site spécialisé pour les prêtres et un site pour les croisés dédiés à la cause de la Consécration. Tout cela, c'est sans mentionner les revues, périodiques et les lettres d'envoi à tous les évêques du monde au moins deux fois par année.Un infatigable de Maman Marie, quoi ! Mais pourquoi donc dédier 37 ans de sa vie sur la Consécration de la Russie au Coeur Immaculé de Marie ? Le Père Gruner est convaincu que la Consécration de la Russie au Coeur Immaculé de Marie est LA SEULE SOLUTION qui pourra apporter la Paix à toute l'humanité ; et, à défaut de la réaliser, des milliards de vie seront perdues. Pour lui, c'est la plus grande cause humanitaire, sociale, politique, économique et religieuse que l'humanité n'ait jamais connue. Mais pourquoi donc cette Consécration n'est-elle pas réalisée depuis le dévoilement du Message de Fatima qui est connu depuis 1960 ? Qui met des bâtons dans les roues, pourquoi et comment procède-t-on ? Le lecteur est invité à consulter cet article et celui-ci qui tentent de lever le voile sur ces questions. Sur une cause si importante, ses détracteurs, y compris leur chef qui ne sera pas nommé ici, ont pris plaisir à en confondre plusieurs : « Mais cette Consécration a été réalisée par Jean-Paul II en 1984 ! » disent-ils. Pourquoi alors que la Paix n'est pas sur terre après 31 ans ? Telle était la Promesse de Maman Marie : « Faites la Consécration et il y aura la Paix sur terre. » La partie encore cachée du Message de Fatima Mais il n'y a pas que la Demande de Notre Maman, à savoir la Consécration, qui est remisée au fond du tiroir. Il y a aussi une partie du Troisième Message de Fatima qui ne nous a jamais été révélée. Il y a certainement un lien entre l'omission de faire la Consécration et cette partie du Troisième Message qui nous est encore cachée. Peut-être que la Hiérarchie Ecclésiale aurait fait la Consécration d'une façon plus expéditive si ce Message Caché aurait été connu des fidèles. Voilà l'objet de la conférence qu'il a prononcée à Cleveland, Ohio ( USA ) en 2008 et dont nous vous reproduisons des extraits. Par ce qu'il dit dans cette allocution et dans d'autres similaires ainsi que par l'impact important qu'il a dans sa paroisse cybernétique mondiale, vous comprendrez qu'il est parfois peu prisé et surtout suivi au doigt et à l'oeil par le Vatican, ayant même eu à vivre dans le passé de la persécution. En somme, il met des bâtons dans les roues à ceux qui mettent des bâtons dans les roues ! Et ces derniers n'aiment vraiment pas ça ! Le Père Gruner affirme avec preuves, témoins et aussi une logique à toute épreuve qu'on nous a toujours caché une partie du Message de Fatima qui est probablement la plus importante pour nous de nos jours. Trop terrible pour les fidèles et le monde à entendre ? Parce que le Vatican veut laver son linge sale en famille ? Les deux ? |
Par le Père Nicholas Gruner, S.T.L., S.T.D. Canada
à Cleveland, Ohio à l'été 2008
Je suis sûr que vous avez tous entendu parler du Troisième Secret de Fatima et, sans doute, vous avez également appris qu’il a été dit que le Vatican l’a tout dévoilé en l'an 2000. Ce n’est pas tout le monde qui est persuadé de cela, y compris le présent Apostolat.
Une chose que nous savons, c'est que la désinformation, le silence sur l'urgent Message de Notre-Dame de Fatima vient d'en haut de la hiérarchie même de l'Église.
Mais, comment est-ce possible?
Le Cardinal Bertone (Diplomate en chef du Vatican 2006-2013), ainsi que d'autres responsables du Vatican, utilisent ce qu'on appelle la restriction mentale. Les moralistes catholiques nous disent que la restriction mentale est parfois autorisée et parfois elle ne l'est pas. Si, par exemple, un marin a été rappelé à bord de son navire, ses ordres ainsi que l'heure de départ du navire pourrait être un problème de sécurité. Conséquemment, si une tierce personne lui demandait à quelle heure son navire quitte, il peut utiliser un restriction mentale en disant « Je ne sais pas » parce que personne ne connaît l'avenir. Après tout, le capitaine pourrait être en retard d'une seconde. Vous pouvez donc éviter de dire toute la vérité à quelqu'un si cette personne ne dispose pas du droit de savoir, mais vous ne pouvez pas dire un mensonge directement.
Il y a des moments où vous ne pouvez pas utiliser la restriction mentale. Lorsque la personne qui vous pose la question a le droit de savoir, vous ne pouvez pas utiliser des phrases évasives en espérant qu'il ne vous comprendra pas et qu'ainsi il ne connaîtra pas la vérité qu'il a le droit de connaître. C'est alors que la restriction mentale devient un mal.
Certaines personnes pensent que les restrictions mentales sont toujours justes et peuvent être utilisées à tout moment, n'importe où. C'est faux. Mais il semble tout à fait clair que le Cardinal Bertone et d'autres Officiels du Vatican utilisent le procédé de restriction mentale. C'est ce qu'ils sont aujourd'hui avec Fatima et le Troisième Secret.
Voyez-vous, ils savent qu'il existe un deuxième texte de Troisième Secret. Ils savent que Soeur Lucie a écrit quelque chose d'autre. Ils savent que c'est sur une feuille de papier et est composé de vingt-cinq lignes. Et ils savent que l'Archevêque Capovilla (ndlr : il fut le Secrétaire particulier de Jean XXIII) n'invente rien quand il dit qu'il y a un autre texte.
Mais ils ne veulent pas vous dire tout cela. Le texte réel, le texte intégral, la partie qu'ils vous ont cachée est la partie que la Sainte Vierge veut vraiment que vous sachiez. C'est la partie qui mettra fin à la confusion dans l'Église à partir du Concile Vatican II jusqu'à aujourd'hui. C'est la partie qui va détruire le Modernisme destructeur qui s'est passé au sein de l'Église au cours des 47 dernières années. Afin de ne pas vous dévoiler tout le texte manquant, ils se sont persuadés aveuglément que ce texte « n'est pas authentique ».
Ils ont mis leurs propres opinions et hérésies au-dessus des paroles de la Mère de Dieu.
Le Cardinal Bertone, lors d'une émission télévisée, a suggéré « Comment la Sainte Vierge, le Mère de l'Église, l'Aide des Chrétiens, pourrait éventuellement dire qu'il y aurait une apostasie dans l'Église? » Il demande cette question mais le fait est que c'est mentionné dans les Saintes Écritures elles-mêmes.Le mot « Apostasie » a besoin de quelques explications. L'Apostasie est un mot grec qui signifie « révolte » ou « rébellion ». Les païens ne peuvent pas apostasier. Pourquoi donc ? Eh bien tout simplement parce qu'ils n'ont jamais été chrétiens. Par conséquent, ils ne peuvent pas se révolter contre le Christ s'ils ne L'ont jamais accepté en la premier lieu. Donc, l'apostasie ne peut arriver que parmi les chrétiens, et vraiment il ne peut que se produire que parmi les catholiques, parce que les d'autres soi-disant chrétiens ne sont pas vraiment chrétiens puisque leurs enseignements sont hérétiques.
Ainsi, l'apostasie doit être dans l'Église. Saint Paul dit que l'Antéchrist ne peut pas venir avant la venue de la Grande Apostasie. Il y a une seule Grande Apostasie, et c'est celle que nous vivons dès maintenant.
Nous pouvons prendre le Cardinal Ciappi au mot (ndlr : il fut le théologien personnel de 4 papes successifs) quand il dit « Dans le Troisième Secret, il est prédit, entre autres choses, que la Grande Apostasie dans l'Église commencera à partir du sommet ». Ainsi, ceux les coupables qui sont au sommet ne veulent pas que nous sachions qu'ils font partie de l'apostasie, que ce soit causé par leur silence, leur connivence ou leur promotion active de l'hérésie et du schisme.
Le Cardinal Bertone et ses amis se persuadent que le texte de Lucie encore caché dans lequel elle a écrit les paroles de Notre Dame et à l'intérieur duquel elle parle de l'apostasie dans l'Église qui vient d'en haut, ils se disent qu'il n'est pas authentique. Ils disent que ce ne sont que les idées de Lucie, que ça ne vient pas de la Sainte Vierge.
Et, sans vous dire la définition qu'ils ont dans leur esprit, ils disent qu'il n'y a pas d'autre texte, ce qui signifie qu'il n'existe aucun autre texte qu'ils considèrent authentique. Voici donc comment, par l'utilisation d'une restriction mentale, ils se sentent justifiés de dire que tout le secret a été dévoilé. Voici le texte, c'est le texte, rien d'autre.
Mais cette pensée est fausse. Comme Je l'ai expliqué, vous disposez d'un droit de savoir parce que la Sainte Vierge vous a donné ce message, à vous les fidèles. Par votre baptême, vous disposez d'un droit au Secret et vous avez le droit de le demander. Et ce fut défini par le Concile de Lyon et le premier Concile du Vatican.
Dans les questions ayant trait à la juridiction ecclésiale, tous les fidèles ont un droit à une décision du Pape. Cela inclut tous ceux qui sont catholiques baptisés. Vous avez un droit à cela et vous devriez demander le respect de vos droits. En fait, le Concile Vatican II, dans son paragraphe 37 de Lumen Gentium — portant sur La Constitution de l'Église — vous dit que vous avez le droit de demander et de faire connaître vos souhaits, en particulier ces choses qui concernent le bien de l'Église. (Voir aussi Droit Canon, Canons 212 et 213.) Si quelque chose se qualifie en ces matières, c'est bien le Troisième Secret. Vous avez le droit de le savoir.
Maintenant, si le pape Benoît est de la même opinion, à savoir que ce n'est pas authentique, alors vous avez un droit à une décision de sa part qu'il vous dise à l'avance qu'il y a un autre texte mais qu'il juge de par son autorité papale qu'il est non authentique. Vous avez au moins un droit à cela. Vous ne pouvez pas le commander mais vous pouvez lui dire que s'il ne vous donne pas ce qui vous appartient pour votre propre Salut, il met son propre Salut en danger.
Comment est-ce possible ? Parce que lorsque le Pasteur de votre paroisse accepte la responsabilité de pasteur chez vous, tout catholique vivant dans cette paroisse a un droit aux sacrements de lui. Donc, si vous tombez dans un puits profond et qu'il y ait une chance que le
puits se replie sur vous et vous tue, la prêtre de la paroisse a l'obligation d'aller dans ce puits au risque de sa vie pour vous donner l'Extrême Onction. Saint-Alphonse dit que, au péril de sa vie, un pasteur d'âmes doit le faire.Cette obligation s'applique également à l'Évêque. L'Évêque est aussi le pasteur de votre âme. Et aussi le Pape qui est est le pasteur de votre âme. Chacun d'entre eux a une obligation stricte en justice de prendre soin de votre âme.
Donc, si le Pape Benoît possède de l'information que vous avez besoin pour sauver votre âme, en particulier un message de la Vierge qui parle des dangers auxquels vous faites face, en ce moment, alors vous avez un droit à cette information. Même si cela coûte au Pape sa vie pour vous la donner, il doit vous la donner. Vous n'avez pas seulement le droit de demander, vous avez l'obligation de demander.
Nous pourrons ne pas aimer ce que le Secret contiendra. Je suis sûr que le Troisième Secret va nous dire des choses qui nous ne voulons pas entendre. Mais toutes ces choses sont utiles pour notre Salut. Nous devrions les écouter et leur prêter attention. Le Père Malachi Martin,(ndrl : il a lu la partie non dévoilée) quand il était sur le Art Bell émission à la radio l'année avant qu'il décède, a déclaré que lorsque le Secret sera finalement dévoilé, les églises seront bondées et les gens seront sur leurs genoux à frapper leur poitrine et qu'il y aura de long files pour la confession.
Le Troisième Secret ne porte pas sur qui a raison ou a tort, mais c,est vraiment à propos de nous tous dans le monde d'aujourd'hui à l'effet que nous sommes tous en grave danger. Je pense que je connais assez bien le contenu du Secret après avoir lu à son sujet et publié de l'information à ce sujet depuis de nombreuses années. Assurément, nous avons eu assez de témoins qui nous ont confié un bonne partie de sa teneur. Mais les Paroles de Notre Dame, qu'Elle a choisi pour nous donner le Message, sont encore plus importantes. Elles ont plus de poids que chacun de nous peut donner, elles sont plus facilement crues et elles sont plus efficaces. Donc vous devriez demander que le secret vous soit dévoilé.
Nous devons remercier Notre Dame de faire avancer les choses même si le Cardinal Bertone, malgré ses efforts pour enterrer la partie secrète du Message, a de plus en plus montré qu'il y a un autre texte. Le Cardinal Bertone évite soigneusement certaines questions même quand elles proviennent d'un intervieweur qui lui a été amical dans son propre livre écrit par Bertone. Bertone évite dans son livre de traiter du témoignage de Mgr Capovilla (ndlr: le secrétaire particulier de Jean XXIII) qui affirme qu'il reste toujours un deuxième texte du Secret à être révélé même si Capovilla a déclaré cela très clairement. En ce qui concerne les déclarations du Cardinal en regard du témoignage de Soeur Lucie, je vais vous expliquer, à la lumière de sa propension à faire de la restriction mentale, ce qui a transpiré.
Soeur Lucie a toujours été très obéissante et très respectueuse, en particulier envers le Pape. Et ainsi, lorsque le cardinal Bertone s'est rendu voir Sœur Lucie et lui a déclaré quelque chose comme: "Le Pape dit que autre texte ne est pas authentique ». La réponse de Lucie aurait éré quelque chose comme ça : «Eh bien, si le Pape dit que ce n'est pas authentique, alors ce n'est pas authentique. Auquel cas , c'est le seul texte. «Le seul problème avec cela, c'est que le Pape n'a jamais dit cela dans sa capacité officielle en tant que Pape. Il peut l'avoir dit en privé au Cardinal Bertone mais c'est une bien différente chose pour un pape qui ferait une telle déclaration en pleine connaissance que ce qu'il fait est une décision officielle pour l'Église. Et ce, aucun pape ne nous a jamais fait une telle déclaration.
Donc tout ce que le Pape Jean-Paul II a dit en privé au Cardinal Bertone ou tout ce que le Pape Benoît XVI a dit en privé ne fait pas en sorte que le document relatif au Troisième Secret ne soit pas authentique.
Le Cardinal Bertone aurait eu dix heures de temps en compagnie de Soeur Lucie. Il nous dit qu'il lui a parlé sans cassette enregistrement, sans sténographe ni appareil vidéo ou photo. Et nous avons l'équivalent d'environ quatre minutes en valeur de discussion. Qu'est-ce qui s'est passé pour les neuf autres heures et 56 minutes ?
M. Socci (ndrl : journaliste chroniqueur dans un des plus grands journaux de l'Italie et animateur d'émission télé extrêmement populaire. A écrit un livre prouvant qu'il y a une partie non dévoilée au Secret. Il était convaincu en commençant son enquête qu'il n'y avait pas de texte secret. Grand ami de Bertone avant son livre, Bertone ne veut plus le voir !) se demande cette même question et suggère que peut-être qu'ils n'ont pas rien enregistré parce qu'ils ont appliqué sur Soeur Lucie de la pression pour l'amener à leurs thèses. Il dit que cette question précise lui est venue à l'esprit quand il a lu que Soeur Lucie, à un certain point, dit au Cardinal Bertone « Je ne suis pas à la confession ici, vous savez. » Mais qu'est-ce qui l'a provoquée à dire cela ? Eh bien, le Cardinal Bertone ne semble pas se souvenir de ce qui a pu la pousser dire ça. Cependant il se souvient très certainement de la réponse. Avait-il dit quelque chose comme : « Eh bien, si vous ne concordez pas avec nous, nous pourrions vous refuser l'absolution, vous savez ? » Bien sûr, sa réponse aurait pu être dans ce contexte : "Je ne suis pas à la confession, vous savez. » Il y a beaucoup de choses ici entre les lignes, mais le fait demeure : le Secret est la clé pour provoquer la Consécration.
Frère Michel, lors de son premier colloque que nous avons tenu à Rome en 1985, a déclaré en substance :
« En 1960, le Vatican était censé dévoiler le Secret et ils ne l'ont pas fait. Le résultat de cela, c'est qu'ils ont méprisé Notre Dame publiquement. Par conséquent, réparation doit être faite pour ce mépris devant Elle avant qu'elle n'accorde la grâce de consacrer la Russie. Et la seule réparation publique qui serait acceptable consiste dans le dévoilement Secret (complet) de Fatima. »
Je ne peux pas discuter avec son raisonnement. Il pourrait être erroné, mais avec le temps qui passe, il semble plus en plus qu'il ait raison.
Ce que nous voyons se dérouler à Rome, en Italie et au Vatican est le fait qu'effectivement une restriction mentale a été utilisée pour affirmer que le Vatican a publié tout le Troisième Secret. Cette affirmation est trompeuse. Ça semble être un mensonge éhonté. Le seul façon que le Cardinal Bertone peut justifier une telle affirmation est de se persuader lui-même que les Paroles mêmes de la Sainte Vierge Marie contenues dans le Troisième Secret ne sont pas « authentiques ». Les paroles de Notre Dame qui prédisent une crise de la Foi dans l'Église émanant du sommet sont réfutées par Bertone et ils le font parce les Paroles de Notre Dame réfutent la désorientation diabolique qu'ils représentent.
Ils pensent qu'ils en savent plus que la Mère de Dieu et ils pensent que leur voie est droite même si nous sommes en une tel pétrin dans l'Église. Avant 1960, 70% des catholiques dans ce pays allaient à la messe tous les dimanches. Aujourd'hui, seulement 25% assistent à la messe du dimanche. Ici, dans ce diocèse, le nouvel évêque vend vingt à trente églises, mais il y a plus de Catholiques « de nom » qu'il y a 40 ans. Et, malheureusement, ce n'est pas inhabituel. Le fait est que l'apostasie est ici ainsi que partout ailleurs.
Les paroles de Notre Dame dans le Secret sauront au moins donner aux gens une chance de plus pour réaliser qu'ils n'ont pas à suivre la personne à leur droite ou à gauche, ou leurs évêques ou leur prêtres alors que beaucoup d'entre eux vont en enfer à toute vitesse. Au moins vous saurez ce qu'il vous faut faire pour aller au Ciel. Vous saurez également ce que vous pouvez faire pour aider ceux qui sont autour de vous pour aller là-bas aussi. Lorsque le texte intégral des Paroles de Notre Dame est enfin révélé, nous serons tous laissés avec ce choix.
C'est pourquoi le Père Malachi Martin disait que lorsque le Secret «tout entier » — j'ajoute les mots «tout entier » parce que ce qu'ils ont publié n'était que la plus petite partie — sera dévoilé alors le églises seront bondées, parce, si le clergé n'aura pas compris, les laïcs au moins, assez d'entre eux, aura compris ce qu'il y avait à comprendre : « Mais la Vierge parle moi ! Et je ferais mieux de changer ma vie, je ferais mieux d'aller me confesser, je ferais mieux de faire des réparations, je suis mieux de me ressaisir face à Dieu avant qu'il ne soit trop tard pour moi. C'est pourquoi Soeur Lucie dit :
« Ma mission n'est pas de dire au monde de la description des châtiments matériels qui auront lieu certainement si nous ne nous amendons pas. Non ! Ma mission est de dire à tous que nous allons tous, en effet, en enfer si nous nous n'amendons pas.» Voilà sur quoi porte le Secret. Et oui, le Secret vous indiquera également d'être sur vos gardes contre certains types de ministres qui ne soutiennent pas ce que l'Église a toujours enseigné. C'est ce à quoi le Pape Jean-Paul II a fait référence parlant d'un tiers du clergé catholique qui travaille pour le diable. C'est choquant de l'apprendre mais c'est bel et bien écrit dans les Écritures Saintes. Donc le Cardinal Bertone et ses amis ne devraient pas être affirmatifs à l'effet que c'est impossible de se produire.
La définition que Notre Seigneur a donné au sujet des portes de l'enfer qui ne prévaudront pas contre l'Église ne signifie pas que l'église de chez vous sera toujours là. Après tout, l'Église en Afrique du Nord fleurissait du temps de Saint Augustin et pourtant, dans les cinquante années suivant sa mort, l'Église a été anéantie en Afrique du Nord. Elle n'a pas récupéré à ce jour c'est-à-dire quelques 1600 années plus tard. Alors juste parce que le Christ a promis qu'Il sera avec Son Église ne signifie pas que vous serez dans l'Église ou que l'Église sera toujours dans votre région. Dans l'Ancien Testament, Jérémie a averti : « Si vous ne vous réformez pas, l'ennemi viendra à travers le trou dans ce mur là-bas et de vous prendra en esclavage ». Et les prêtres disent : « N'écoutez pas Jérémie, il est à l'origine de dissension et de désunion ».
Jérémie était un vrai prophète. Il est venu de Dieu. Mais ils ne l'ont pas écouté et ça s'est passé exactement comme il avait dit : l'ennemi est venu à travers le dit mur et les emporta en esclavage là où ils sont restés pendant quarante ans.
Les prêtres avaient dit : « C'est ici la ville sainte. Dieu ne peut pas permettre que cela se produise. »
Beaucoup de catholiques disent : « Eh bien, Dieu a promis qu'Il va être avec l'Église de tous les temps de sorte que vous n'avez pas à vous soucier à propos de l'Église catholique. » Non. Ne présumons pas que nous allons demeurer fidèles. Si nous délaissons l'Église, nous ne sommes plus des membres de l'Église, et tout catholique qui devient hérétique ou schismatique — ou pire encore, apostat — délaisse l'Église et n'est plus catholique.
Donc, la promesse ne nous est pas destinée à titre individuel. C'est à l'Église. Nous devons rester fidèles à nos vœux de baptême pour rester dans l'Église, au moins garder le voeu de la foi.
Il y a trois choses pour devenir catholique. La première est d'avoir la foi et de la garder, la seconde est d'être baptisé et la troisième est de reconnaître l'autorité légitime qui est l'autorité de l'évêque et du pape. Si vous ne reconnaissez pas son autorité légitime, c'est ce qu'on appelle un schisme. Toutefois, si même le Pape va au-delà de sa légitime autorité, vous n'avez pas à reconnaître son autorité de illégitime. Et il est facile de tomber dans le schisme aujourd'hui, il en est de même pour une hérésie. Le schisme peut aussi être provoqué par le pape ou par l'évêque, comme nous le verrons.
Un schisme ne signifie pas une désobéissance au Pape ou à un évêque. Un schisme signifie une brisure dans l'unité. Le péché de schisme se réfère généralement à des gens qui n'acceptent pas l'autorité légitime du pape ou de l'évêque. Mais ça peut se produire de manière inverse. Le Pape ou l'évêque peut également être schismatique.
Cela sonne presque comme une contradiction. Mais permettez-moi de vous donner un exemple : si un père de six enfants a dit à la moitié de ses enfants de peindre le salon en vert et à l'autre moitié de le peindre en rouge, qu'arrivera-t-il ? Une querelle éclatera entre tous les enfants parce que le père a fait des demandes contradictoires. Même si le père en avait fait une suggestion seulement, l'effet serait le même. Les enfants seraient encore à se quereller quant à savoir si la pièce doit être rouge ou verte.
Maintenant, ce n'est pas juste une parabole. C'est ce qui est passe dans l'Église aujourd'hui et ça vient de notre Saint Père, le Pape.
Comment cela est possible ? Eh bien, on m'a demandé : « Je pensais que la Messe en latin était interdite ? J'ai pensé que les prêtres qui continuaient à dire la messe en latin étaient des rebelles.
Eh bien parlons seulement de la Messe en latin pour un moment et de la participation du Pape dans cette situation. On voit que le Pape Paul VI, quand il nous a donné le nouveau Missel en 1969, n'interdisait pas l'ancienne messe. Maintenant, vous pourriez avoir l'impression qu'il l'avait « interdite » l'ancienne messe et vous pourriez croire que c'est vrai, mais si vous étudiez de près la question, il ne l'a pas interdite. Et le Pape Paul VI savait qu'il ne l'avait pas interdite, l'admettant même ce fait en privé. Pourquoi est-ce important ? Tout comme l'exemple du père avec son salon, il y a des catholiques qui pensent qu'ils doivent obéir en allant à la nouvelle messe et en n 'allant pas à l'ancienne messe. Et il y a des catholiques qui pensent qu'ils doivent obéir en allant à l'Ancienne Messe et non la Nouvelle Messe. Et lorsque les fidèles se rencontrent, ils se disent « Vous êtes désobéissants.» « Non »et ils répondent : « c'est vous qui êtes désobéissants. »
Et nous avons donc un schisme parmi les fidèles. Nous avons la désunion parmi les fidèles. Cela se produit parce qu'on a donné l'impression que c'était un ordre alors que ce n'était pas vraiment un ordre.
Je vais vous donner un autre plus exemple personnel. En Janvier 1967, le Chancelier de l'Archidiocèse de Montréal nous publie une lettre disant qu'on ne pouvait pas promouvoir une certaine apparition non encore approuvée dans ce diocèse.
J'étais au séminaire de l'autre côté de la rue et quand j'ai lu la lettre, je me suis dit : « Eh bien, il semble que je ne peux plus promouvoir cette apparition davantage .» Quelle qu'en soit la raison, j'ai relu la lettre et j'ai réalisé qu'en fait, il n'était pas dit ce que je pensais qui était dit. On ne me donnait pas ordre de ne rien faire, mais on me donnait l'impression qu'il fallait que je ne fasse rien. Je suis allé au Vice-chancelier, un ami à moi, le Père Willard, qui devint plus tard l'Évêque Willard, et je lui ai dit : «Cette lettre publiée récemment par le Bureau de la Chancellerie semble donner un ordre, mais de fait elle ne donne pas d'ordre. Ai-je manqué quelque chose ? Est-ce que je comprend ? "Sa réponse a été des plus éclairante :
« Vous avez bien lu correctement. C'est exactement dans une telle intention qu'Ils l'ont écrite. »Donc, ils ont prévu de me donner une impression que c'était un ordre mais ils ne voulaient pas prendre la responsabilité d'avoir donné un ordre. Par conséquent, sachant ce qu'il ont effectivement dit, je n'étais pas lié par obéissance à ce soi-disant « Ordre ». Cependant, ma mère a lu la lettre à mon insu, à la façon que je l'avais comprise la toute première fois et s'est mise que à penser que moi et tous les autres partageant maintenant mon point de vue, étions ordonnés de ne pas faire certaine chose concernant cette apparition. Si quand j'ai persisté, elle a porté le jugement que j'étais désobéissant. C'est quelques cinq ans plus tard que je ai découvert ceci et, pendant tout ce temps, le Bureau de la Chancellerie avait causé un schisme, une rupture pour ainsi dire du côté de ma mère et je suis devenu la victime. Ce n'était pas la faute de ma mère et ce n'était pas de ma faute. C'était la faute du supérieur.
C'est précisément ce qui est passe dans l'Église de nos jours mais à une beaucoup plus grande échelle quant au Sacrifice de la Messe, quant à l'ordre de ne pas utiliser la Messe Tridentine. Le fait est qu'il n'y a pas d'ordre de ne pas utiliser la Messe Tridentine. Il n'y en a jamais eu. Non seulement n'en a-t-il pas eu, mais il leur est impossible pour eux de donner une tel ordre.
Comment pouvais-je être si certain de ce sujet avant même que le Motu Proprio du Pape Benoît XVI ne soit publié ? Je peux être si certain de ce sujet parce il est défini dans le dogme catholique que le Pape ne peut pas interdire la messe tridentine. Si vous voulez en savoir plus à ce sujet, vous pouvez le lire le livre du Père Kramer, Le Suicide de Altération de la Foi dans la liturgie (en anglais). Cependant, je peux vous donner l'essence de l'argument très simplement. Le 13ème Canon de la septième session du Concile de Trente dit :
« Si quelqu'un dit que le rites reçus et approuvés par l'Église catholique habituellement utilisés dans l'administration solennelle des Sacrements peuvent être méprisés ou peut être librement omis par les ministres sans péché, ou peuvent être changés en d'autres nouveaux rites par tout pasteur quelconque de l'Église, qu'il soit anathème. "
En d'autres termes, « un pasteur de quelque rang qu'il soit », ça inclut le Pape. Le Pape est le Pasteur de tous les pasteurs, mais il est toujours considéré comme une pasteur. Ni le pape, ni le Cardinaux, ni les Évêques, ni les prêtres peuvent changer le Rite selon lequel les sacrements sont administrés solennellement. Non seulement ils ne peuvent pas le faire pour le Messe, mais pour tous les sept Sacrements. Et c'est une déclaration du Concile de Trente.
En d'autres termes, c'est un dogme invariable de la Foi catholique pour le Pape, un Concile, un Évêque ou un prêtre qui leur interdit de changer le Rite de la Messe dans un autre « Nouveau » Rite de la Messe.
Vous avez cela codifié par le Pape Saint Pie V, dans son document papal Quo Primum en 1570, quand il affirme que « Cette messe » — qui signifie la messe tridentine — « est le Rite reçu et approuvé pour la messe et personne, pas même un Cardinal ou un Évêque ou un prêtre peut modifier ou interdire à un prêtre de dire cette messe. « Et il proclame cela comme obligatoire, à la fois selon droit et selon le dogme, à perpétuité, ce qui ne signifie pas même ses successeurs peuvent changer quoi que ce soit. Ce n'est pas juste ce pape qui fait loi sur ce sujet; il est témoignait ainsi de ce que le Concile de Trente faisait référence quand il a affirmé qu'on ne pouvait pas changer les Rites. Et c'est pourquoi le Pape Paul VI n'a pas — il ne le pouvait pas même s'il avait voulu — interdit l'ancienne messe. Toutefois, il a donné l'impression qu'il l'interdisait. Et c'est ce qui est à l'origine du problème dans l'Église depuis.
Par conséquent, il n'est pas si inconcevable de croire Cardinal Ciappi quand il nous dit que l'apostasie dans l'Église origine du sommet.
Le même argument s'applique aux documents de l'Église. Les documents de l'Église, — en particulier les documents officiels — proclamant les enseignements du Concile de l'Église, doivent être rédigés de telle manière que tout le monde puisse les comprendre dans le même sens. Les documents du Concile du Vatican II sont ambigus et équivoques dans certains passages, ce qui signifie qu'ils seraient compris dans de nombreux sens différents. C'était précisément l'intention des auteurs qui ont rédigé ces écrits. Mais, que ce fut intentionnel ou non, le fait est que divers enseignements de certains de ces documents sont certainement contestés. À ce titre, ces documents manquent quelque chose qui doit être là. On observe la vraie nature du mal qui est : « Le manque de quelque chose que Dieu avait l'intention qui y soit. » Si les documents manquent de la clarté nécessaire, il n'est pas déraisonnable de dire que le documents, à cause de ce manque de clarté, sont ipso facto mauvais.
Le Pape Pie VI, en 1794, condamnait le Synode de Pistoia pour diverses raisons mais l'une d'entre elles était que les documents rédigés n'étaient pas clairs et remettaient en question des choses qui avaient été déjà définies dans le dogme.
C'est la raison pour condamner les documents ambigus dans l'Église. Et c'est la raison pour affirmer que les fruits de Vatican II sont mauvais. Maintenant, si les fruits de l'arbre sont mauvais, alors selon les Paroles de Notre Seigneur : « Un arbre peut-il avoir de mauvais fruits ? », nous pouvons en déduire que le Concile est mauvais. C'est ce que dit le Troisième Secret à propos de Vatican II. Est-ce une hérésie de dire une chose pareille ? Non ! Sur les 21 conciles que nous avons eus, nous en avons eu un autre avec de mauvais fruits. En 553 après J.-C., la deuxième Concile de Constantinople a eu lieu. Le Pape Saint Grégoire le Grand, quelques 40 ans plus tard, a dit à ses évêques qui avaient un problème de conscience à donner leur consentement à l'un de ces documents ambigus,les a invités à juste ignorer, à faire comme si ce n'était arrivé, à continuer dans la foi. Et c'est ce que nous devons faire avec une grande partie du Concile Vatican II.
C'est pourquoi Notre Dame a parlé du Concile dans le Troisième Secret et elle a dit qu'un mauvais Concile ferait beaucoup de mal. Et c'est pourquoi ils considèrent Ses paroles comme « non authentique ». Ils ne connaissent pas l'Écriture catholique, ni le Dogme ni même l'histoire de l'Église catholique assez bien. Ils doivent savoir qu'une « Grande Apostasie » est prédite dans l'Église selon l'Écriture Sainte.
Mais, plutôt que de m'écouter, écoutez à la Sainte Vierge. Demandez vous-mêmes le texte manquant de Ses Paroles parce il est important pour le salut de votre âme. Vous voyez que ce n'est pas juste une question de préférence personnelle, sur le latin ou autrement. Le Messe elle-même consacre la foi. Et l'Institution de la Messe nous dit ce qu'il en est de notre foi. La loi de la foi est la loi de prière. Ce que vous priez est ce que vous croyez. Et ce que vous croyez est ce que vous priez.
Si vous êtes formés à la confession protestante, après un certain temps vous commencez à penser comme un protestant. Si vous recevez la Communion dans la main, vous aurez l'idée que ce n'est pas important. En fait les Arians et les Protestants reçoivent la Communion dans la main dans ce but précis. Les Arians ne croyaient pas que Jésus était le Fils de Dieu et égal au Père, ils voulurent exprimer leur manque de croyance de telle sorte que les gens pouvaient le comprendre ainsi quotidiennement du fait de recevoir la Communion dans la main ; c'était au quatrième siècle.
Et quand les protestants voulurent rejeter le dogme de la transsubstantiation, ils ré-installèrent la Communion dans la main à nouveau. Le but était d'influencer la façon du peuple de penser, comment ils devaient prier afin de les amener à croire ce que leurs dirigeants, eux, voulaient qu'ils croient. Ce est une très profond mais c'est un très simple exemple qui j'espère que vous allez comprendre.
Prenons un autre exemple. Si le toit est en réparation au-dessus du Tabernacle du Grand Autel et que le pasteur s'inquiète qu'un réparateur pourrait échapper un marteau sur lui, par respect, le pasteur déplacera de côté le Bienheureux St-Sacrement temporairement jusqu'à ce que les réparations soient faites. Cependant, s'il n'y a pas de réparations en cours dans l'église, s'il n'y a aucune raison pour déplacer le Saint-Sacrement sur une base permanente mais qu'il le fait de toute façon, sans dire un mot, il vient de donner un message à la personne moyenne que le Saint-Sacrement est sans importance. Les gens viennent à l'église et ils font leur génuflexion à une chaise et ils n'accordent même pas d'attention au Saint-Sacrement.
C'est ce qui se passe dans nos églises depuis les 40 dernières années. Et ça vient d'en haut. C'est dans le secret. Pie XII, parlant en 1931, bien avant qu'il ne devienne pape, quand il était Secrétaire d'État, a déclaré que suit :
« Je suis inquiet par les Messages de la Sainte Vierge à Lucie de Fatima. Cette persistance de Marie sur les dangers qui menacent l'Église est un avertissement divin contre le suicide de l'altération de la foi dans sa liturgie, sa théologie et son âme. Un jour viendra où le monde civilisé reniera son Dieu, quand l'Église doutera comme Pierre a douté. Ils seront tentés de croire que l'homme est devenu Dieu. Dans nos églises, les chrétiens vont chercher en vain le lampe du Sanctuaire où Dieu les attend. Comme Marie-Madeleine, pleurant devant le tombeau vide, ils vont demander : « Où L'ont-ils emmené ? »
C'est ce que nous avons eu sous les yeux au cours des quarante dernières années. Ici, Pie XII a donc prédit cela 1931, et il dit que c'est du Message de Fatima. Il doit être contenu dans le Secret qu'ils ne vous ont pas donné, parce que vous ne pouvez pas trouver mention de cela n'importe où ailleurs. Le fait est que, à l'exception de ces quelques personnes qui ont assez de foi pour réaliser et demander la question : « Où L'ont-ils emmené ? », Il y a des dizaines de milliers de catholiques qui ne réalisent même pas qu'ils sont protestantisés à chaque jour, à chaque semaine, car ils vont à ces cérémonies et services qui ont été protestantisés du haut vers bas. Voilà comment les catholiques anglais — entre Henry VIII, qui est décédé vers 1540, et Elizabeth, décédée vers 1600 — sont sortis de l'Église : en changeant progressivement la liturgie et en protestantisant leur façon de voir et de penser ainsi que leurs agissements dans l'église. Et, dans une génération ou deux, ils n'étaient plus catholiques. Les dirigeants protestants n'ont jamais eu à-dire un mot. Tout ce qu'ils avaient à faire était de mettre en oeuvre la nouvelle doctrine portant sur la pratique liturgique.
Donc il ne s'agit pas de vos préférences. C'est votre foi, c'est de votre âme dont nous parlons. C'est dans le Troisième Secret. Vous avoir un droit au dévoilement du Troisième Secret entier. Et alors, qu'est-ce que nous pouvons nous faire ? Nous ne devons pas simplement devenir orgueilleux et dire : « Eh bien, si seulement j'avais un bon pape, un bon évêque, un bon secrétaire d'État, ou d'un bon prêtre, ou autre chose, alors je serais correct. Mais parce qu'ils sont mauvais, je suis correct aussi car ce n'est pas de ma faute ». Mais le fait est que le châtiment que nous traversons dans la souffrance est dû à nos propres péchés. On n'a pas de se lever sur nos grands chevaux et dire : « Eh bien, si j'étais Pape, je ferais mieux ».
Le fait est que nous sommes là où nous en sommes, où Dieu nous a placés. C'est à nous de faire pénitence et le travail que Dieu nous a donné à faire. C'est ce qui nous revient et nous pouvons tous prier le Rosaire tous les jours. Notre Dame insiste que nous priions le chapelet tous les jours. Lucie nous dit qu '« il n'y a pas de problème dans le monde, qu'il soit national ou international, physique ou moral, qui ne peut pas être résolu par le Rosaire ». Donc, nous devrions prier le Rosaire et demander à Dieu de donner les grâces à nos évêques, à nos prêtres, à notre Pape, et à nos cardinaux, pour qu'ils deviennent bons s'ils ne sont pas bons ; et s'ils sont bons mais manquent de courage, comme les Apôtres avant la Pentecôte, qu'ils obtiennent le courage de se tenir debout en public pour la vérité. C'est ce pourquoi vous devez prier la Rosaire.
Nous prions le chapelet pour notre propre compréhension. Il se peut que les mensonges que nous avons reçus et acceptés sont en partie dus au fait que nous voulions les croire. Nous prions pour que nous discernions la vérité et pour que nous la vivions la vérité partout et toujours.
Nous devons prier le Rosaire fréquemment et avec ferveur, et amener les autres à faire de même, pour notre propre salut principalement, mais aussi pour le salut de nos voisins et amis. En fin de compte, nous prions pour le salut de pas seulement des catholiques, mais de tout le monde dans le monde. Notre première fidélité doit être à Dieu.
Le pape Léon XIII nous souligne que toute grâce nous vient de Dieu le Père par l'humanité sacrée de Jésus-Christ et par les Mains de la Bienheureuse Vierge Marie.
Ça nous vient selon cet ordre: Dieu, Notre Seigneur, la Sainte Vierge, puis l'Église. C'est l'ordre et cela devrait être l'ordre de nos priorités aussi. Nous devrions prier pour nos prêtres et nos évêques et nos cardinaux et le pape. Ils sont tous besoin de nos prières. Aidez ceux qui sont portés à vos intentions par vos prières et vos sacrifices. Ça nous vient de l'Écriture (cf. I Tim. 2: 1-3). Je vous invite aussi être informés et de bien lire sur le sujet parce que on vous dit des demi-vérités et la partie qui vous manque est la partie dont vous avez besoin. C'est pourquoi je vous invite à lire la documentation que nous publions, mais au moins, certainement, toute autre bonne documentation sur le sujet.
Notre Dame de Fatima nous a dit que des nations entières seront anéanties. Il est donc important pour nous de réaliser que l'heure est en tardive et que nous ne pouvons pas tout faire, mais chacun de nous peut faire quelque chose.
Et Dieu attend de nous ce que nous pouvons.
Les 50 personnes qui sont venues à Fatima le 13 Juin 1917, l'ont dit à leurs amis et voisins. C'est ce que Dieu attendait qu'ils fassent. Ces 50 personnes se sont transformées en 5000 en Juillet et en 15000 en Août, en 30 000 en Septembre et en 70 000 en octobre, uniquement par le bouche à oreille.
Chacun de nous peut se qualifier sous ce chapitre. Chacun de nous peut le dire aux autres. Chacun de nous peut être informé. Chacun de nous peut prier le Rosaire. Chacun de nous peut faire les Cinq Premiers Samedis. Il existe d'autres choses que nous pouvons faire. Rappelez-vous, priez le chapelet tous les jours. Notre Dame insiste sur cela, c'est votre bouée pour le Ciel. Soeur Lucie dit « vous plairez à Notre Seigneur et à Notre Dame, vous sauverez vos propres âmes et vous aider à sauver beaucoup d'autres âmes par la prière du Rosaire. » Que Dieu vous bénisse.
Notes: (1) Christopher A. Ferrara, Le Secret Encore caché (Pound Ridge, NY: Bon Conseil Publications, 2008), p. 43. (2) Voir Dz. 466, D.S. 861; aussi Dz. 1830, D.S. 3063. (3) Voir Dz. 856, D. S. 1613. (4) Roche, Pie XII Devant L'Histoire , Pp. 52-53. Cité dans le Père Paul Kramer, Du diable Final Battle (Terryville, CT: Le Missionnaire Association, 200
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